[EVENT - Fin Septembre] Retenir l'armée de Mu

Ordre de Post a écrit:: Conteur
Cinead
Aoden

> Rappel : La Chute du Pilier Principal <

Des hordes d'ennemis s'engouffrent dans le temple depuis le corridor ouvert venant aux restes du Pilier Principal. Bon nombre passent alors, traversent le temple alors que le Légat est au prise avec le reste. Dans un ultime effort il élève un mur de feu comblant l'entrée mais certains guerriers de Mu le traversent sans peur. Les autres, eux, se retournent alors pour affronter celui qui leur fait face.

Pourtant, ceux présents dans le Hall des 7 Océans ressentent sur eux l'immense pression sur leurs épaules. La plupart s'écroulent alors, allant jusqu'à mourir... Mais ceux qui résistent, qui restent, eux, fondent sur le Légat.

Hall des Sept Océans a écrit:: L'Armée de Mu est entrée dans la "Zone Dangereuse" pour les ennemis d'Atlantis.

Elle subit alors une Attaque Cosmique Puissante avec l'effet Boomerang : 35 + 15 = 50 dégâts.

Trop tot

Un craquement et des cris. Plongé dans ses registres, Cinead ressentit alors un frisson lui parcourir l'échine de bas en haut. Puis la terre s'était mise à trembler. Il se releva brusquement, courant jusqu'à la salle du trône pour regarder devant lui l'horreur. Les fissures et la chute de roches.

- Non... Non ! NON ! NON ! Pas maintenant c'est trop tôt !!!

Déjà alors la flamme dans ses yeux brûlait et la colère prenait le dessus. Son Cosmos irradiait autour de lui, flamboyant, si bien que ses habits commençaient à fumer. Se consumer lentement. Son écaille vint alors le recouvrir pièces par pièces et déjà la chute du Pilier commençait. Il reculait alors jusqu'à se placer derrière un mur non loin des urnes des écailles n'ayant pas de porteur quand le souffle eut atteint le palais. Gravas, poussière et vent. Le Cinabre avait fermé les yeux un instant, s'était protégé le nez et la bouche pour ne pas respirer cet air vicié. La terre tremblait encore.

Trop tôt se disait-il. Ils n'étaient pas prêts, pas encore. L'absence de Nereus, Endymion et Nimuë était préjudiciable, la Cité était diminuée de la moitié de sa puissance. Comme si tout cela avait été finement calculé... Les temps étaient troubles, oui, comme jamais. Le Pilier allait chuter un jour, Cinead l'avait appris il y a peu, pour affronter cette engeance qui menaçait son peuple, cette bombe à retardement : Elle avait finalement explosée. Pourtant le fait était là. Le sceau avait été brisé et l'engeance libérée : Il devait faire son devoir désormais, fier Atlas, Légat, Purificateur, Roi d'Atlantis. L'heure de faire ses preuves. Alors son corps s'embrasait, il n'était qu'une flamme ardente et rougeoyante alors qu'il soufflait la poussière autour de lui par la puissance de son Feu. Il avançait, déjà les hordes d'ennemis s'approchaient. Il se positionnait alors rapidement au beau milieu de la salle du trône avant de voir la foule qui s'avançait, hurlante, armes en mains. Quelle tristesse... les Atlantes ne devaient pas subir un tel assaut et pourtant, malgré la confiance en lui et ses pouvoirs il comprit rapidement qu'il ne pourrait tous les repousser seul. Il ferma les yeux, profitant de quelques secondes le séparant de l'armée pour en appeler aux siens.

"Calista, nous sommes envahis de l'intérieur. Rends-toi à ton Pilier pour le protéger des troupes que je ne peux retenir. Une fois ton mur levé le Capitaine de Circé te rejoindra. Fais attention à toi ma sœur et protège notre Cité. Je t'aime."

"Capitaine de Circé, nous sommes envahis de l'intérieur. Rends-toi au Pilier du Pacifique Nord pour le protéger jusqu'à ce que le mur du Pacifique Sud soit levé. Défends le pilier contre nos assaillants et rejoins le Général de Scylla une fois le Pilier sécurisé."

"Généraux des Lyumnades et de Chrysaor, nous sommes envahis de l'intérieur. Des forces se sont dirigées vers les Arches d'orichalques et semblent vouloir nous prendre en tenaille. Dirigez vous au plus vite vers le Pilier de l'Atlantique Nord pour le défendre des éventuels assaillants. Prenez garde, Atlantis compte sur vous. J'ai confiance en vous."

Alors ses prunelles rougeoyantes virent le jour tamisé par la poussière à nouveau, observant les fines particules évoluer devant lui. Et un peu plus loin, les fêlons, les vils. Déjà Cinead faisait tourner sa masse avant de la projeter à l'horizontale vers la première ligne qui fonçait, percutant plusieurs des hommes qui s'écroulèrent à terre sous la puissance du coup. Mais déjà ils étaient là, nombreux. Le Purificateur ne pouvait se charger de tous... L'aura des Atlas montait en lui en cette pièce, alors qui commençait à les frapper un à un, fracassant les cranes, déviants les coups d'épées, brisant les bras. Lui même subissait des entailles, des chocs, mais il n'en avait que faire. Il était chez lui, dans son domaine, rien ne pourrait l'arrêter. Pourtant masse d'entre eux se dirigeaient vers l'entrée, vers les marches. Cinead bondit alors sur le trône de Poséidon et fixait l'entrée du Temple juste avant qu'un mur de flamme ne l'encombre.

- Vous êtes-ici sur les terres de Poséidon. Vous faites face à son représentant et au Roi de cette Cité. Je ne vous dirais pas de fuir, de rentrer chez vous ou de rester m'affronter... Le résultat n'en sera qu'égal : vous périrez de ma main ou de celle des Atlantes.

Alors perché là haut, qu'il observait les corps crouler sous la force des océans, Cinead projeta une puissante et large brume ardente, emplie de cendres incandescentes. Et déjà autour de lui de les cris de douleurs remplaçaient ceux de l'euphorie du combat. Son visage, à lui, était plus fermé que jamais et son Cosmos brulant. Les quelques hommes l'ayant touché à main nues avaient vu leurs membres prendre feu instantanément. La colère d'Atlas s'abattait sur sur eux. Les flammes se nourrissaient déjà des cadavres un peu partout. Le Feu Destructeur..

« Hm… tu l'auras pas volé celle-là, vieux connard de On. » L'homme tout encapuchonné essuya rapidement le sang qui maculait la lame qu'il cachait dans le mécanisme très sophistiqué de son brassard, un autre cadeau des hautes instances. « Oh quelle tragédie, un garçon si jeune ! »

Il avisa du corps écrasé sous un énorme morceau de pierre, un jeune homme dans la fleur de l'âge avec toutes les prétentions dues à son rang, futur magistrat, future figure emblématique de l'une des plus puissantes famille atlante. Dommage qu'il eut été emporté si tôt par cette odieuse tragédie. Un rire narquois fila et Aoden O'Bannon glissa dans les ombres, parmi la désolation et le chaos indescriptible qui secouait toute la cité.

⚜⚜⚜

La terre tremblait, grondait, se déchirait. Déjà dans le lointain il avait pu entendre les premiers cris d'agonie. Et il avait souri, n'avait esquissé qu'un vague signe de la main et c'était tout, la patriarche des O'Bannon s'était replongé dans sa lecture alors qu'il sentait le Légat se lever à son tour. Entrer en scène d'une manière, il devait bien l'avouer, assez flamboyante. Pour finir, l'homme encapuchonné se détourna de sa contemplation, retourna le grand miroir bordée par d'épaisses écailles et perles nacrées. Encore quelques instants et ce serait à lui d'entrer en scène.

Le feu bleu accrocha sa lame qu'il venait de dégainer dans les ténèbres. Qu'il abaissa presque immédiatement de peur d'être trahi par cet infime détail. Perdu dans la bataille, comment le Cinabre pourrait-il s'en apercevoir ? Il était si proche de lui et pourtant, alors que le Légat se perchait audacieusement sur le trône, lui, eut un nouveau sourire indéchiffrable.

L'assaut a été lourd pour les Muiens, il reste encore quelques guerriers haletants mais toujours prêts à se battre.

Un souffle cosmique est émis depuis le Pilier Principal et atteint tout Atlantis. Le Cosmos nocif se fait alors plus présent dans la cité et celui de Poséidon se voit amoindri.

Une deuxième vague massive arrive alors depuis le Pilier Principal. Trop nombreux, certains franchissent les flammes de l'entrée du temple qui sont moins hautes désormais.

Feu Destructeur

Ils n'étaient plus qu'une maigre poignée, essoufflés. Barbares haletants, mais toujours armes en mains. Ils étaient féroces, engagés dans leur combat, pourtant ils n'étaient plus beaucoup. Le Cinabre siégeait debout sur son trône, enfin celui de son Dieu, observant les dégâts autour de lui, sentant l'odeur des corps brûlés, dévorés par les flammes qui ne tarissaient pas. Une odeur de mort régnait dans ce lieu sacré et déjà pourtant, au loin derrière un vrombissement sourd, puissant, avant qu'un souffle d'énergie noirâtre n'envahisse la cité tout entière, Cinead subissant de plein fouet son impact, lui qui était proche du point d'émergence.

Le corps du Légat virait alors du rouge au bleu, complètement, contrant avec force cette vague nocive, protégeant Cinead de son impact et son aura. De ce fait, il n'avait senti la présence, cette âme qui s'était introduite en son palais, cachée juste derrière lui. Les flammes rétrécissaient, alors que sur ses épaules se faisait sentir une nouvelle force puissante, agressive. Par instinct, et il le ressentait au fond de lui, cette force était mauvaise pour Atlantis. Pour les Atlantes. Mais il le savait, cette engeance maléfique en voulait au Dieu, en voulait au peuple. Cela il ne pouvait l'accepter... Et pourtant derrière lui déjà, en provenance du Pilier détruit, de nouveaux cris puissants et enragés. Un long soupir le Légat se jetait déjà sur les hommes encore présents, attendant de pieds ferme l'arrivée massive qu'il percevait déjà. Sa masse percutait les corps, les brisait sans aucun soucis, ne laissant dans l'atmosphère que le souffle des flammes et le craquement des os, les complaintes des ennemis d'Atlanits au sol. Les cris, moins guerriers.

Non, Cinead n'était point un guerrier pourtant, un soldat. Il n'aimait pas se battre. Et pourtant, face à la menace, la colère s’emparait de lui et son regarde de flamme portait sur ses ennemis sa rage. Ses coups puissants de forgeron, la chaleur extrême qu'émettait son corps et la morsure brulante des flammes qu'il maniait avec une grande aisance. Ce craquement, il le savait, avait annoncé un ennemi. En avait été averti... Il n'était pas un guerrier, mais accordait une importance particulière à brandir les armes face à ceux qui souhaitaient entraver la paix d'Atlantis, et dans ces moment là il n'avait aucune pitié. Ses coup de masse et de poings s'abattaient alors que déjà le nombre derrière lui pénétrait le parvis du temple. Extrèmement nombreux, comme la première fois il pourrait tous les retenir. Pourtant il se jetait à corps perdu, protégé par sa fabuleuse écaille, pour faire payer au maximum. Alors, devant la foule, la masse, il cracha une immense gerbe de feu ayant pour but d'en brûler et tuer un maximum, qu'ils ne puissent tous franchir le temple et ainsi alléger la tâche des Généraux occupés à défendre leurs Piliers. Et pourtant au milieu de cette masse qui commençait à roussir, le Légat ressentit une présence connue. Une âme puissante... Non... Il éleva alors la voix, la portant plus haut que le cri des guerriers qui s'acharnaient sur lui alors que d'autres fuyaient vers l’extérieur.

- Aoden ! Qu'est-ce tu fais ici ?! C'est toi ?! Tu m'avais dit qu'on aurait du temps pour se préparer !!

« Enculés ! »

Il fut surprit par l'apparition de ces quelques guerriers à la peau sombre et peinte d'arabesques improbables. Gueulant et beuglant des propos dont l'Amiral ne prêta même pas attention, il entrait dans la danse. Sans trop d'effort il en attrapa un premier qu'il fit s'empaler sur sa lame dissimulée, le fit s'écraser sur un autre et d'un coup de pied, se délogea pour se glisser dans les ombres. Le sang peu à peu, se répandait sur le sol du Temple de Poséidon.

Aoden crispa ses mâchoires en ressentant l'énergie d'Océan et se maudit intérieurement. Encore, son poing s'écrasa sur la tronche d'un des guerriers, sa mauvaise humeur ne faisant que croître. Même si, au fond, le vieux bougre était assez satisfait : tout se passait comme il l'avait imaginé. Tandis qu'il encaissait l'assaut de cette masse de plus en plus grouillante, il vit du coin de l’œil le Légat se démener comme un beau diable.

Au milieu de ce tumulte, le jeune rouquin était parvenu à le repérer. Cette fois il ne sut effacer un sourire pleinement satisfait :

« Bah non ! C'est Poséidon en personne que tu vois galérer comme un con ! Ah ah ah ! » Un craquement d'os se fit entendre, une gerbe de sang vola. « Je suis trop vieux pour ces conneries. Cinabre ! On est clairement dans la merde et ça aurait dû se passer… plus tard mais... »

Mais sa fille en avait décidé autrement. Ou avait pas eu le choix. Car lui aussi, il avait entendu le chant d'Amphitrite.

« Je t'expliquerai mais avant ça, essaye de pas crever ! »

Son cosmos s'envola, balayant tout sur son passage. D'entre ses lèvres une vague mélodie grave et sombre. Une silhouette indécise, non loin. Aoden tempêta, l’invectivant :

« Putain t'étais là ! T'auras pas pu venir me filer un coup d'main au lieu de regarder tranquillement toi ? Tsss ! »

Un rire, mais l'ombre restait ombre. Une ombre qui se prit à rire joyeusement, heureuse de se trouver au cœur du chaos. Et du désespoir.

Il en arrive plus que ce que les deux Atlantes peuvent gérer. Le Légat et le Grand Amiral se font submerger par une nouvelle vague en provenance du Pilier Principal et bon nombre d'entre eux parviennent à franchir l'entrée du temple. Pourtant déjà, l'efficacité du duo commence à se faire sentir tant le nombre de cadavres grandit à vue d'oeil.

« Je suis là ! Atlantis ne tombera pas ! »

A cet instant Poséidon fend le faux ciel Atlante et distille son Cosmos dans la cité et dans le cœur de chaque Atlante, levant le poids du Cosmos mauvais qui pesait sur les épaules de chacun.

Odeur

Il régnait là une odeur de mort, puissante, forte, si bien que tous ici s'en trouvaient incommodés. La senteur de la chair brûlée, du sang sur le marbre, tout cela mélangé à la poussière lourde qui voletait dans l'air clos du temple. Les deux Atlantes ou les guerriers barbares de Mu, aucun n'étaient épargnées par l'atmosphère charognarde, à la différence peut être que que les assaillants y trouvaient, peut être, une certaine force. Une habitude. Il y a avait le chant des cris enragés qui s'opposaient à la voix puissante du Grand Amiral qui ne ménageait personne en ce lieu, dansant aussi bien de son verbe que de ses mains, usant d'une fine lame pour taillader et égorger un à un les hommes qui souhaitant la chute de la cité engloutie. Un fier allier qui secondait le Légat, rassuré en un sens de ne plus avoir à gérer cette tâche seul.

Ce fut après l'arrivée d'une nouvelle vague, toujours aussi nombreux, qu'un puissant Cosmos familier se fit ressentir dans la cité toute entière au même moment qu'une voix puissante résonnait entre les murs, dans le cœur de chaque Atlante. Seigneur Poséidon. C'était lui, oui, de retour en sa patrie, alerté par les secousses et la détresses des siens, de ses écailles. Il revenait pour mettre un terme à cette folie, pour contenir le mal et le chasser s'il en avait la force accompagné de ses Généraux. Le Cinabre semblait alors regagner en force et affichait un air plus grave, comme si lentement sa propre colère semblait absorbée par une autre bien plus noir, calme en apparence mais dévastatrice. Alors il frappait, faisait tourner sa masse au dessus de sa tête avant de faucher les crânes, les uns après les autres, de ces pauvres fous qui se dressaient contre lui. Il crachait alors des nuées ardentes pour les bruler et les aveugler avant de leur bondir dessus, prêt à leur enfoncer leurs yeux jusqu'au beau milieu de leurs cervelles. Bientôt les éclats sanglants venaient à se répendre sur son visage, lui qui privilégiait la distance se retrouvait face à face avec ses opposants, n'hésitant plus à donner de son corps, de son front de ses poings pour les terrasser.

- Si ce n'est toi, c'est donc Nimuë... elle doit être en grand danger...

Avait-il lancé sur un ton étrangement calme alors qu'autour de lui les Muiens prenaient feu à son contact, embrasés par son Cosmos brûlant d'une rage nouvelle. Naviguer dans cette salle, remplie de corps, commençait à devenir compliqué, la fumée des morts dévorés par les flammes commençait à obscurcir leur vision à tous. Pourtant l'Atlas pouvait évolué les yeux fermés ici même, guidé par les âmes qu'il ressentait et la force de ses ancêtres qui le rendait plus fort. Il continuait donc à ôter les vies, les unes après les autres, se rapprochant peu à peu de son allier jusqu'à venir dos à dos contre lui, entourés par une foule de guerriers dont la fureur semblait toujours plus grande.

- Le Seigneur arrive Aoden... Et il n'est pas de bonne humeur.

« Elle doit l'être oui, mais je la sais protégée par Amphitrite. Elle s'est réveillée de son sommeil ! »

Clama Aoden pour rassurer le Cinabre au plus fort de la bataille. Poséidon revenait en son royaume, animé lui aussi d'une frénésie sans nom. Destructrice, ravageuse. Son Ombre pouvait le sentir tout proche maintenant. Gorgé de son pouvoir, le patriarche des O'Bannon, plongé dans un mutisme et un silence inquiétant, calquait le Légat pour répandre son propre message de mort. Là une gorge tranchée, ici un mouvement aussi précis que fatale quand sa lame trouva la faiblesse entre les deux yeux d'un soldat de Mü. Des cris en réponse, une écœurante fragrance de chair brûlée aussi.

« Oh non, il n'est pas de bonne humeur. Et je vais en prendre pour mon grade ! »

Mais qu'importe, cela n'avait pas de réelle importance pour lui. Ses plans se déroulaient à merveille, mieux encore qu'il l'avait suspecté. Il y avait bien quelques tâches sombres pour noircir son tableau mais dans l'ensemble, tout s'agençait à la perfection. Les O'Bannon continueraient de briller longtemps après lui. De cela, il en était convaincu.

« Tu te débrouilles bien, Cinabre ! À l'occasion, il serait intéressant de s'entraîner ensemble. Avec ma fille. »

Car dans ses projets, il y avait une chose qui concernait Cinead et qui le plaçait en tout premier plan. Mais cela, il se garderait bien d'en parler à qui que ce soit. Hormis au Diable, s'il ne commettait aucuns impairs. L'homme ne semblait pas souffrir, ni même d'être essoufflé. On comprenait désormais pourquoi, en le voyant combattre ainsi, pourquoi on disait de lui qu'il était une Légende parmi les Atlantes.

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