Deukalyion Armure :
Écaille du Kraken
|  Deukalyion Algos ~ Général du Kraken  Ven 1 Mai - 17:00 | |  | Deukalyion Algos Qui est-il ? Nom : Deukalyion Algos
Date de naissance : 3 juin 527
Âge : 25 ans
Sexe : Masculin
Armure demandée : Ecaille du Kraken Comment est-il ? Rapport d'incident – 4 Juillet 541.
Deukalyion de la famille Algos. 14 ans. Cheveux bruns courts et éparses, yeux bleus, taille moyenne, corpulence moyenne. Signe distinctif : aucun.
Il s'est rendu coupable d'une rixe lors de sa première patrouille officielle en tant que garde d'Atlantis. Rappelons qu'il a intégré le corps armé du maintien de l'ordre depuis seulement un mois. Le problème n'est pas qu'il ait fait preuve de violence, non, la fonction l'exige parfois. Ce qui pose problème c'est que l'individu s'en est pris à un de ses compagnons d'armes pour des enfantillages. La victime a subi de nombreux hématomes ainsi qu'une fracture de la mâchoire. Deukalyon Algos sera donc condamné à une peine d'un mois d'emprisonnement dans le premier niveau des geôles. Elle sera suivie d'un mois de travaux publics forcés et d'une période de mise à l'épreuve qui décidera de son avenir au sein de la force de protection.
Rapport d'incident – 6 Août 546.
Deukalyion de la famille Algos. 19 ans. Cheveux bruns courts et épars, yeux bleus, un mètre quatre-vingt-six centimètres, quatre-vingts kilogrammes. Signe distinctif : plusieurs cicatrices sur le visage dont une lui ayant fendu la lèvre inférieure.
Il s'est rendu coupable d'insubordination ainsi que d'agression sur son supérieur hiérarchique direct. À la vue des antécédents du coupable, il a été décidé de son renvoi immédiat du corps armé. Les charges sont les suivantes, coups et blessures sur un officier supérieur qui a dû subir l'amputation de son bras, ce dernier ayant été écrasé par un bloc de marbre.
Pour la violence et la gravité de son crime, l'individu sera maintenu en détention durant trois années au second niveau des geôles. En cas de bonne conduite au bout d'une année, il pourra être placé au premier niveau. Il fera l'objet, à la fin de sa peine, d'une période d'examen sous étroite surveillance pendant des travaux forcés d'une période à définir en fonction de son comportement.
Note personnelle : Réel gâchi, L'individu démontrait des capacités martiales des plus prometteuses, ses faits d'armes durant la bataille d'Alexandrie le mettaient même en place de choix pour intégrer le corps des Marinas…
Retranscription du plaidoyer de sortie - 1er Août 548.
Intervenante – Neikea Lupe.
Deukalyion n'est pas une mauvaise personne… Bien au contraire. Il sait se montrer respectueux, surtout envers la hiérarchie et par-dessus tout envers nos protecteurs et notre Dieu. Il est très pieux. Seulement il n'a pas eut une enfance des plus tendres… La perte de sa sœur jumelle, puis celle de ses parents... Il s‘est très vite retrouvé seul, l'armée était pour lui un véritable salut, mettant à profit ses capacités et permettant de canaliser la violence latente qui l'habite. Nous avons vécu ensemble durant cinq années, et jusqu'à la guerre il avait su se contrôler. Son geste n'est pas excusable je sais bien, et même si je ne l'accompagne plus aujourd'hui je suis sûr qu'il a compris qu'il devait se tenir droit. Son éviction de l'armée sera difficile pour lui, il devra faire des efforts pour s'intégrer à nouveau. Je prie encore pour lui, pour que notre Dieu lui accorde sa bonté, qu'il puisse l'aider à affronter ses démons. Vous êtes venus me chercher en me demandant à moi si je pensais qu'il méritait d'être libre désormais… Je suis certainement ce qui se rapproche le plus d'une famille pour lui, même si nous ne nous voyons plus. Je pense que oui, il mérite d'être libre. L'enfermer pour une période plus longue ne lui servira pas, et encore moins à notre cité.
Nous sommes bien d'accord qu'il ne saura jamais que cette discussion a eu lieu, n'est-ce pas ? Son Histoire Ils étaient deux. Une fille et un garçon qui naquirent par une nuit sans lune. Selena en premier, Deukalyion en second, descendants d'une famille sans prétention nommée Algos. Ils passèrent ensemble une enfance heureuse sous l'égide des Bjornaer que leurs parents servaient depuis bien longtemps. Inséparables. Pourtant le destin avait choisi de les déchirer, car plus ils grandissaient et plus Selena semblait souffrir. Un mal que même les prêtres et soigneurs ne parvinrent pas à endiguer jusqu'à son décès. C'est à partir de ce moment là que quelque chose se brisa en lui, devenu l'ombre d'une moitié, un être incomplet qui n'aura pour seul but que d'errer dans ce monde. Il pleura oui, à n'en plus finir, jusqu'à ce que sa peine s'efface, et son chagrin en fit de même. A peine quelques mois plus tard ce fut le tour de ses deux parents, ils laissèrent place au vide. Nulle larme pour cette fois. Nulle peine. Nul chagrin.
Ils étaient deux. Ils étaient un. Il n'était plus.
Les âges passaient et le jeune adolescent se réfugiait dans la violence, à chercher ses camarades, à en venir au poing, à la pousser au premier coup. Il se battait souvent, se mettait en danger. Il ne voulait pas se faire remarquer comme le scandaient les autres, non. A vrai dire, son cœur s'était éteint, il était vide, un creux béant avait prit la place de son âme. De sa sœur.
La douleur, elle, était réelle. Tangible. Elle, il pouvait la ressentir. Lorsqu'elle venait à ses nerfs, qu'il ressentait la chaleur sur sa peau, les tiraillements de ses muscles, la brûlure de son sang, dans ces moments là oui il se sentait presque en vie. Alors il continuait, il courrait parfois jusqu'à ce que ses jambes lui crient d'arrêter. Il frappait des murs pour les colorer d'une teinte cinabre… Il comprenait qu'il ne pouvait s'en prendre à n'importe qui, innocemment. Mais parfois il suffisait d'une injustice, d'une maltraitance, d'un petit bourreau de quartier et son sang ne faisait qu'un tour, y voyant là une occasion propice et légitime de se sentir en vie. Et c'est ainsi qu'un jour, en défendant une jeune fille qui se faisait tourmenter, il attira le regard de cette dernière. Elle s'appelait Neikea de la famille Lupe, une famille honorable bien que modeste. Lui ne la remarqua pas de la même manière, l'ignorant presque, comme tous les autres. Elle, elle ne pouvait plus le lâcher des yeux. C'est à force de le croiser « par mégarde » qu'ils commencèrent à se rapprocher. Des plus en plus.
Il n'était plus. Ils étaient un. Ils étaient deux.
Il avait trouvé en elle un apaisement, un moyen de ne plus chercher la douleur, d'être moins belliqueux. Oh bien sûr on ne le refaisait pas, il essayer toujours de défendre ceux dans le besoin et c'est d'ailleurs ainsi que sur les conseils de son aimée il s'enrôla dans la garde d'Atlantis. Un espoir de plus pour lui, et un avenir plus sûr pour la famille qu'ils souhaitent former ensemble. A son quatorzième anniversaire il se présenta donc au Pilier de l'Indien et entama sa formation. Tout se passait pour le mieux, il annonçait être un bon élément que ce soit sur la partie théorique ou pratique. La formation n'était très longue, le travail de simple garde étant assez simple. Pourtant, a peine fut-il sorti pour sa première patrouille que les choses se compliquèrent, dans le sens où une altercation eut lieu avec un des ses collègue garde, une plaisanterie graveleuse au sujet d'une demoiselle qu'ils avaient croisé… Or la jeune femme en question n'était autre que Neikea. Deukalyion bondit alors sur son « collègue » et le passa à tabac, avant que les autres gardes ne l'arrête. En résultat donc une mise à pied, une petit séjour dans les geôles et une fois sorti une petite séance de travaux forcés, cependant au vu de ses bonnes capacités il fut autorisé à poursuivre sa vocation une fois sa peine échue.
Les années passèrent, sans incident notable, Neikea et Deukalyion grandissaient l'un auprès de l'autre et semblaient vivre une vie agréable. Lui arrivait à calmer ses pulsions habituelles, profitant de l'amour qu'ils partageaient pour combler le vide qui l'occupait jusqu'à leur rencontre. Cependant cela ne pouvait pas durer. Vint la bataille d'Alexandrie. Le jeune Algos fut dépêché dans la ville pour tenter de repousser l'assaut, les combats faisaient rage un peu partout. Il combattait avec férocité, reprenant peu à peu ses anciennes habitudes, devant imprudent et cherchant le contact. Plusieurs hommes tombèrent face à lui sans qu'il n'ait rencontré de réelle résistance jusqu'à ce qu'il atteigne une place où trônait un soldat du sanctuaire, seul, entouré de six gardes d'Atlantis au sol. Certainement morts. Deukalyion stoppa sa course en se faisant remarquer par l'envahisseur. Lui n'avait qu'une lance et son adversaire une épée, certainement un excellent bretteur en observant la scène. Il ne semblait avoir subit aucune blessure et les tâches rougeâtres au sol indiquaient clairement que les Atlantes n'avaient pas eu la même habileté. L'homme du Sanctuaire semblait occupé à graver quelque chose sur sa lame jusqu'à ce qu'il remarque l'arrivée de l'Algos. Ils se fixaient, instaurant entre eux une tension palpable au milieu des cris lointains. Il fallut une explosion à quelques rues de là pour que l'un, comme l'autre, se lacent dans l'affrontement. L'Atlante utilisa sa lance en premier, profitant de la portée de son arme mais l'attaque fut aisément parée d'un coup de lame sans que l'assaillant ne stoppe sa course. Il profita de son élan pour pivoter sur lui même et asséner un mouvement de lame partant du bas, en résulta une entaille sur le visage de Deukalyion, faisant virevolter son casque. Chancelant, il se rattrapa rapidement pour reprendre une position de garde avant de sentir la douleur sur le bas de son visage, vint ensuite la chaleur, le goût de fer lui emplissant la bouche. Le soleil commençait à tirer sa révérence, le ciel se teintait alors de braise et de cendre. Le temps semblait se ralentir. L'instinct de survie reprenait ses droits, comme dans son passé qui semblait si lointain une profonde sensation de plénitude s'insinuait au plus profond de son être. Ses dents commençaient à claquer, non pas du fait de la peur, mais de l'excitation provoquée par la douleur. Plus d'amour en cet instant, plus de fierté, plus d'honneur. Juste le néant et la douleur qui prenait place et cette dernière était des plus intense, plus que toutes celles qu'il avait pu ressentir. Mais il n'y avait pas que cela. Son corps semblait plus profond, son âme presque infinie. Il n'était pas en mesure de comprendre en cet instant, mais une force qui le dépassait était à présent à ses côtés.
Un deuxième coup arrivait alors, l'homme à l'épée semblait réjoui de la blessure qu'il avait infligé à l'Atlante et débordait alors de confiance mais il ne put rien faire. Il n'eut même pas le temps de porter son estoc que déjà Deukalyion se trouvait face à lui et sa lance profondément enfoncée dans la poitrine. Il n'y eut qu'une gerbe de sang et un râle avant qu'il ne s'écroulent tous les deux, l'un vivant et l'autre trépassé. L'Atlante regardait alors vers le ciel, épuisé, la bouche en sang, il observait ce qui se dessinait entre les bâtisses. C'est alors qu'il l'aperçu, lointaine et pourtant si proche, auréolée d'une teinte orangée et sublimée. La Lune. Séléné. Son cœur se serra.
- Tu es là…
Il se releva alors, ramassant au passage la lame qui avait eu l'audace de l'embrasser. Un glaive spatha des plus traditionnel qui comptait sur le centre de sa lame une cinquantaine de petits points. Un rite auquel se livrait son ancien propriétaire. Un acte barbare et dédaigneux. Ce jour lui fit changer son allégeance, une épée Atlante qui protégerait Poséidon et sa glorieuse cité.
A partir de ce moment précis, il changea. Ou plutôt se rapprocha de son état antérieur. Petit à petit sa relation avec Neikea commençait à se dégrader, Deukalyion se renfermant sur lui même. L'amour qu'il lui portait n'avait pas changé pourtant, et même s'il continuait à ressentir une certaine plénitude à ses côté quelque chose n'allait pas, sans qu'il ne le remarque. Jusqu'au jour où ce fut trop dur gérer pour elle, qui pourtant lui avait fait tant de promesses, éprivant tant de désir à vouloir tout affronter elle et lui. Elle s'éloigna, et un jour s'en alla. Et lui, seul, ne pu que de nouveau se conforter dans ce qu'il connaissait, qui avait été ravivé par la guerre.
Ils étaient deux. Ils étaient un. Il n'était plus.
Les mois passaient, Deukalyion reprit son service dans une Atlantis à l'atmosphère bien amère. Peut être l'était-il lui aussi. Il avait commencé un entraînement spécifique à la maîtrise du Cosmos suite aux évènements de la guerre, la Cité ayant besoin de nouveaux Marinas. Il continuait son travail de garde en parallèle. Il était devenu plus dur, plus sévère et parallèlement s'opposait aux excès de zèle, aux exactions commises par ses camarades. Difficile de s'en prendre à de simple poireaux désormais, il était devenu plus fort que n'importe quel citoyen, lui qui cherchait le contact ne pouvait plus se mesurer à eux. Ils ne pouvaient plus le toucher. Plus le blesser. Alors il profitait des entraînements pour prendre des coups, pour les rendre aussi bien sûr.
Une année après la guerre il était à la tête d'une petite unité en tant que capitaine, dévasté par la perte de son amour, par la rancœur à son sujet il avait sombré au plus profond de ce vide qui l'habitait. Il s'emportait facilement, si bien qu'un jour face à l'injustice il ne put se retenir. Un commandant de la garde qui s'en prenait à une pauvre femme seule, certainement pour abuser d'elle. Deukalyion n'était pas en fonction à ce moment là, flânant dans la cité comme n'importe quel habitant. Il ne put que s'offusquer devant cette scène et repoussa le commandant, lui intimant de stopper ces actes. Malheureusement le premier coup vint de l'Algos, s'en suivi alors un court affrontement jusqu'à ce que le commandant sorte sa lame alors que son adversaire était désarmé. Pourtant cela ne l'arrêta pas, pas même lorsqu'il reçu une nouvelle entaille au visage... Cela eut pour effet de le faire à nouveau s'emplir d'une force surnaturelle, assénant un puissant coup de tête au commandant avant d'attraper un bloc de marbre au sol sans aucune difficulté, le lâchant sur la bras armé du commandant.
C'est ainsi qu'il eut l'illustre honneur de rejoindre une nouvelle fois les geôles dans le deuxième niveau et ce pour une durée bien plus longue. Trois années. C'était là la peine qui avait été décidée pour lui, en plus de le radier définitivement de la garde, enterrant la dernière chose qui lui permettait de donner un petit sens à sa vie. Ce furent là deux années bien difficile pour l'Atlante, se consacrant aux arts de l'esprit et ceux du corps, se renforçant au fil des jours dans les conditions difficiles qui étaient siennes. Deux années, oui, son bon comportement lui ayant octroyé de pouvoir sortir en avance, sans qu'il ne le sache grâce à son ancien amour qui avait plaidé sa cause.
Le temps passait, il avait réussi à retrouver un place auprès de la famille Tremere en tant que garde du corps. Il naviguait donc entre la résidence principale, les tavernes et les les terrains vagues pour continuer ses entraînements seul. Jusqu'à un jour de l'automne 550, peu avant l'invasion d'Okeanos ou il eut le malheur de se retrouver dans une bagarre d'ivrogne. Et il eut le plaisir de retrouver les geôles encore une fois, pour des faits moins grave que ses précédentes condamnations cependant. Ces dernières ne jouaient pas en sa faveur, et bien qu'il n'y avait que le trouble à l'ordre public, il fut décidé que sa peine soit plus longue que pour les autres fauteurs de trouble. Si bien que le jour même de célébration du nouveau Légat de Poséidon, Deukalyion se retrouvait derrière les barreaux… Enfin… ce jour-ci les gardes en décidèrent autrement. En effet, lui et quelques autres prisonniers furent emmenés à l'entrée du purgatoire.
- Bon… On vous a réunis ici parce que nous ne pouvons participer à la grande fête donnée en l'honneur de notre nouveau Légat ! En quoi cela vous concerne ? Disons que puisque nous ne pouvons être divertis, vous allez vous en charger. On vous donne la chance de prendre l'air mais… Toi. Et toi. Battez-vous. Dans les règles de l'art s'il vous plait.
Deukalyion fut donc désigné pour ce premier combat face à ce qui apparentait à une grosse brute. L'affrontement était assez équilibré au départ, jusqu'à ce l'adversaire de l'Algos utilise la chaîne qui le retenait pour le faire tomber au sol, que ce dernier rencontra directement en plein visage. Une violente douleur l'envahit alors qu'il voyait son sang face à lui. En tournant la tête, il ne put que foudroyer son opposant du regard, se sentant de nouveau plein de vie, près à en découdre et à laisser s'exprimer ses profondes pulsions. Son corps était à nouveau plongé dans un tout, à la différence que cette fois il ressentait au plus profond de lui un appel lointain, comme un écho. La seconde d'après il vit le corps de l'autre prisonnier se faire écraser par une grande masse bleutée. Dans la stupeur générale il se releva alors sans quitter l'objet des yeux. Un Écaille.
- J'ai rien fait ! C'est pas moi hein !
- Bordel de MERDE ! Qu'est-ce que c'est ça ?! Depuis quand des Écailles tombent sur des gens comme ça ? On est dans la panade là comment on va expliquer ça au chef ?!
Dans un sens il avait raison. Dans un autre il avait tort. Le purgatoire était près du Temple de Poséidon où résidaient les Écailles. Celle du Kraken avait désigné une nouvelle âme capable de la revêtir, un nouvel éveillé avec qui se lier. Mais ça, il n'en savait rien pour le moment. Ironique pour un prisonnier. Il fut donc raccompagné à sa cellule, sans en savoir plus. Sans savoir non plus qu'il allait bientôt recevoir la visite de non pas un, mais deux Légats. L'ancien, et le nouveau.
Et qui sait… Peut être même quitter sa cellule plus tôt que prévu…
Il n'était plus. Ils étaient un. Ils étaient deux. Et vous, qui êtes vous ? Age : 29
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Dernière édition par Deukalyion le Ven 1 Mai - 17:52, édité 1 fois |
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