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 Mehry - l'Ophiuchus [Terminée]

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MehryMehryArmure :
Armure de l'Ophiuchus

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Message Mehry - l'Ophiuchus [Terminée]   Mehry - l'Ophiuchus [Terminée] EmptyDim 3 Mai - 21:53
Ola ola,
Ce petit message pour vous prévenir de ne pas poster de message à la suite de cette présentation car la deuxième partie n'est accessible que pour le staff. Merci !


Mehry
Qui est-il ?
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    Nom : Ses proches lui ont légué le nom de Mehry. Toutefois, il est probable que ses lèvres vous susurrent le doux nom d’Ehsan.
    Date de naissance : 30 novembre 520
    Âge : 33 ans
    Sexe : Femme
    Armure demandée : Armure de l'Ophiuchus


Comment est-il ?

    Les amandes persanes s’éveillent, transpercent les ombres qui sommeillent ; les spectres naissent du silence, s’emparent des parages et s’enracinent dans les perceptions volages. Dupée par les soubresauts et les suées, l’âme est dépouillée des songeries enchantées qui ne laissent, derrière elles, que les traces des bêtes calcinées. Calcinées, certes, mais vivantes. Nichées dans le creux d’un rocher, les abominations se lamentent, regrettent, maudissent, répandent les perles salées. Sans retour, elles déclinent.

    Cette pièce vide ne comporte qu’une spectatrice, le témoin de ces Jeux Interdits ;
    À l’aube du souvenir, le théâtre ne correspond néanmoins, qu’au berceau des tragédies.

    Lasse, la masse se redresse alors, déploie sa colonne comme un félidé. Focalisée sur le minois désabusé, la paume se reporte sur le tissu dépourvu de caractère ; le sable s’écoule dans le récipient de verre, les aiguilles du temps ne tournent plus. Ont-elles déjà seulement fonctionné ?

    Le regard parcours la région, circonspect, pour s’immobiliser lorsque le masque entre dans son champ de vision. Un fardeau, une loi qui expose ce qu’elle refuse en tout point d’admettre : cette existence de Femme qui l’obsède. Une aversion gravée dans ses viscères, dont elle n’omet cependant pas les rares avantages qu’elle acquiert. Ainsi, à l’abri des humains, les chaînes se transforment ; du masque naît un nouvel outil, un instrument matérialisant ce voile assurément trompeur.

    Sur ses commissures retroussées, l’esquisse d’une moquerie amère s’affirme, bien qu’éphémère : l’espèce est puissante, en effet, surtout lorsqu’il s’agit de répéter les erreurs de naguère.

    Ashkan s’est trompé.
    Tout du moins, le semble-t-il.

    L’épiderme sème les graines de la tendresse, effleure le corps de ce nâi si précieux à son âme. Abordable par la matière, il n’en demeure toutefois pas moins un inestimable vestige de la Ctésiphon d’autrefois. D’un mouvement indistinct, ses doigts s’emparent de ce costume concrétisé, le portent au-devant de son museau  basané : la Mascarade ressuscite alors, elle se souvient d’eux, de ces paroles maintes fois affirmées.

    Il est possible qu’ils disent vrai.
    Alors, peut-être qu'elle et lui ne forment qu'un ?


Son Histoire

    — Il te faut apprendre la vérité et la transmettre à ceux qui, un jour, croiseront ta route. Je ne l’évoquerai qu’une fois, alors écoute attentivement pour que notre descendance puissent connaître notre foi : Auramazdâ ne souhaite que le meilleur pour chacun de nous. Il représente la plus pure des Lumières en ce Monde et ne cherche qu’à répandre le Bien. Ces quatre dons qu’il nous a offert sont un cadeau, un cadeau pour nous permettre de l’aider dans sa mission. La Perception, le Savoir, la Joie et la Mémoire, il te les a légué à toi aussi, mon enfant. N’aies crainte de l’avenir, le Seigneur de la Sagesse est au centre de tout et nous protège, mais, surtout, n’oublie pas : méfie-toi des vipères.

    Mussées dans les ombres, des rictus s’esquissaient d’un étrange mutin. Devant leurs yeux, des êtres faibles racontaient des histoires derrière lesquels ils pourraient se caparaçonner, justifier leur insipide existence. Ils se leurraient cependant, car le moment viendrait où les fragiles fanatiques périraient de la main de leur propre religion ; il ne resterait d’eux que le mépris, la haine, les sanglots et la mémoire d’une boue rougie, écrasés sous le poids de ces tares immuables. Les idéaux, la domination, l’espoir d’une gloire éphémère : devenir immortel, d’une certaine manière.

    Ô, seuls les dieux étaient immortels,
    Dans leur immense folie, les hommes n'en étaient qu'une pâle copie.

    Ctésiphon, Perse, année 530

    — Des gardes menacent aux abords de la cité, combien d’entre-nous vont-ils massacrer avant d’être satisfaits ?!
    —  Nous resterons ici. La lumière divine nous protège et, quand bien même ils veulent nous faire taire, nous devons continuer à croire !
    — Que fait-on des…
    — Ils approchent !


    Prunelles Céladons écarquillées arpentaient les formes adultes, les pousses encore ignorantes, puis s’immobilisèrent sur l’origine de cette affirmation ; brillantes d’effroi, elles questionnaient les figures d’autorité dans le plus grand des secrets. Grinçant le long des murés, les sombres lames se transformaient en Grenat, alors même que les cendres hâlaient encore les allées.

    — Ashkan, c’est toi l’aîné. Prends Ehsan avec toi et partez d’ici ! Dépêchez-vous !

    Comme vissées dans le sol, les jambes ne parvenaient à se mouvoir ; les chaînes invisibles des sentiments l’empêchaient d’y voir avec clarté. Pour unique réaction, les lèvres entrouvertes et muettes. Du haut de ses dix années, l’incompréhension ne pouvait que régner, face à toute cette monstruosité : le Bien n’était-il pas la clef ?

    Avant même d’en assimiler les informations, de déceler la chaleur qui en émanait, une main empoigna le bras de la dernière née, la tirant vers l’extérieur. Un, deux, trois pas suffirent pour constater, dévisager le masque qui s’émiettait. D’un geste, ils se précipitèrent jusqu’à en chuter. Du rouge, du noir, des larmes et des cris ; par-devers les enfants, ils perpétuaient leurs crimes. Mécanique, la pression se fit plus importante et, avec elle, l’envie pressante de s’enfuir. S’enfuir, disparaître et, pourquoi pas, oublier. Mais, cela, les anciens ne leur pardonneraient pas.

    Le véritable visage des Hommes se dévoilait et, pour doucereuse accompagnatrice, le moyen qui assurerait leur survie.

    — Mehry, débout, on bouge ! Et, par pitié, lâche-moi ce truc !

    Quoi qu’il en dise, elle ne le lâcherait jamais.
    À mesure qu’ils avançaient dans la brume factice, le souffle s’accélérait, incontrôlable. Cette flûte représentait tout ce qu’il restait d’eux. Cette poignée constituait l’intégralité de leur histoire et, dans son esprit, elle s’éveillait peu à peu.

    Ton art ne devait pas disparaître.

    Il ne s’éteindra pas, la Persane ne saurait l’autoriser. Pas plus qu’elle n’accorderait à cette énergie la possibilité de la quitter. Parce que, cette main, il ne fallait en aucun cas la lâcher. Un pourquoi dérisoire, un instinct faussé pour celle qui découvrait l’horreur ; il y avait un frère à protéger, un ami à épauler, voilà tout.

    Calcinés, les rêves. Annihilés, les espoirs. Consumée, l’innocence des jours passés. Les Puissants venaient de le décider : la Perse n’était plus leur alliée. Il leur fallait donc la quitter.

    Notre Terre se meurt. Chaque jour, les âmes pleurent…

    Elle pleuraient pour être comprises, pour que les visages déformés retrouvent un nom. Hélas, personne ne les entendait et les enfants s’enfermaient dans un monde dépourvu de bruit. Pour l’éternité, ces êtres deviendraient des inconnus, des fantômes que, tantôt ils aimaient, tantôt ils méprisaient.
    Leur Terre était déjà annihilée.

    — Reprenons la route. Tu as entendu parler de Justinien ? J’imagine que non, les vieux nous interdisaient de discuter d’autre chose que de Mazdak… C’est un Empereur, tu sais, et les théories à son sujet sont plutôt folles !

    Petite chose crédule dévorait son morceau de pain, prêtait une oreille attentive à son aîné ; des bêtises, sans l’ombre d’un doute, mais les rumeurs les maintenaient éveillés. En outre, Ashkan appréciait plus que quiconque les récits mystérieux et s’attelait à l’embobiner.

    — Et donc ?
    — La clef, je pense qu’elle se trouve là-bas.
    — Hm.

    Une longue et sinueuse route se dressait devant eux, un chemin qui, peut-être, les mènerait à la séparation. Un éloignement inévitable, certes, mais provisoire. C’est ce qu’ils croyaient ; à la dérobée, il s’en était pourtant allé, ne laissant derrière lui que des remembrances sur un papier.

    Voyager, découvrir, retrouver les traces de sa propre vie : ses pas la mèneraient bien quelque part. Quelque part dans cette région que l’on nommait, autrefois, Anatolie. Une découverte parsemée d’odeurs pour le moins familières, dont les parcelles brûlées n’engendraient plus de réelles denrées. Comme chez eux, dans ce désert, les grains s’étaient mélangés.

    Du rouge, du noir, des mots et le désespoir.

    Le Monde des Hommes portait la tromperie sur ses traits. Une confiance dès lors insignifiante, à l’instar de ces mots empoisonnés qu’ils prononçaient à longueur de journée ; endormir les sens et la méfiance, un jeu sur lequel les Puissants se plaisaient à parier. Dépossédée de tout repère, la biche appert plus facile à manipuler puis, finalement, à tuer. Dans tous les cas, les autres pièces finiraient bien par s’assembler, les unes après les autres. Pour le moment, les graviers ne tombaient plus dans leur prison de verre, mieux valait en profiter. Et, pour ce faire, quoi de mieux que de rechercher ?

    Au milieu de ses mensonges, Ashkan disait peut-être un soupçon de vérité.

    Sanctuaire d’Athéna, année 535

    L’Iris Chrysographes lorgnait les alentours, détaillait les structures si différentes de celles jusqu’alors illustrées ; peu concernée par les entraînements, elle vagabondait ici et là, en quête d’un antre qui accepterait de recevoir son instrument. Entreposé dans un recoin, le nâi dormait, esseulé de la présence de la harpe qu’ils n’avaient pu emporter : eux aussi, avait été fragmentés. Des années durant, elle cessa de chanter. Néanmoins, l’appel n’en demeurait pas moins fort et ses doigts reprirent le manche bien assez tôt. Une, deux, trois notes, et déjà s’évaporait-elle dans la mémoire, à l’abri de tous les indiscrets ; se dessinaient à chacune d’elles un ensemble de couleurs, des formes désarticulées et cette lugubre fragrance.

    Du rouge, du noir, des mots, des larmes et des lacunes. Inhérents à ces visions, elle tentait d’en rassembler les morceaux, de démêler la chimère du souvenir. Nulle assurance dans ses constatations, même pour les hypothèses qu’elle rédigeait dans ce vieux document ; un mot seul ressortait de l’esprit de l’enfant qui ne rêvait plus.

    La trahison.

    Une sournoise obsession dans laquelle Mehry se plongeait, exempt de regrets. Quoi qu’il en ressorte, la méconnaissance disparaîtra, il ne pouvait en être autrement. Qu’importait les crimes à commettre, les morts à déterrer, les fantômes à supporter. Pour comprendre, il était nécessaire d’apprendre à se salir les mains ; une acquisition essentielle. Parce, qu’ainsi, il serait plus aisé de bouger.

    L’Ophiuchus répondit à sa demande, enivrant le corps de nouvelles sensations ; une énergie non pas distincte, mais bel et bien augmentée y circulait. Désormais, les opportunités offertes passaient de la supposition à l’action, et si soutenir Athéna lui en assurait l’accès, le sacrifice se démontrait plus faible qu’elle ne l’aurait pensé ; la pierre frappait ainsi deux volatiles de plein fouet.

    Tout se passerait correctement, s’il n’y avait pas eu ces ordres. Nul temps de faire ses preuves que le Pope menait ses agissements de part et d’autre du territoire, s’absentait jusque dans le berceau des arts, manipulait les masses jusque dans les déserts et les mers, imposant la venue d’autres imposteurs. Qui sait, une aubaine, éventuellement ? Ou des épines supplémentaires dans la plante de ses pieds. Un avis assurément tranché, un désaccord silencieux pour lequel elle consentit durant deux années, avant d’être réquisitionnée.

    Protéger Constantinople, affirmaient-ils. Une importance moindre comparée aux instructions qui l’attendaient par delà la boue et les océans. Cette fois encore, elle nageait à contre-courant. Impossible de s’en plaindre. Pour unique trace de ses contrariétés, cette langue claquant sans contrainte, une fois les pattes posées dans son terrier. Une impatience contrôlée, une irritation imperceptible qui, en quelques secondes, disparut sous le masque du Sanctuaire. Cet impitoyable masque.

    Et, pendant ce temps, les corps ne cessaient de tomber.
    Les leurs, et ceux des étrangers.

    Des Inconnus, une Balance clamsant loin des siens, et probablement d’autres complications qui, en conséquence, leur tomberait bien assez vite sur le coin du museau. Nul intérêt de subsistait dans le fait de poursuivre ses affaires dans la Capitale ; les mots s’éparpillèrent en destination des Temples de la Sagesse. La surprise n’existait d’ailleurs plus, lorsqu’elle foula la terre des éveillés : des Gémeaux et un Lion s’en étaient allés et, un imbécile, mis à pied.

    — Prévisible… Cet idiot n’avait pas les épaules pour le boulot.

    Les détails importaient peu, les faits suffisaient à eux seuls : ils suffisaient et intimaient à la prudence. Hélas, peu nombreux étaient ceux qui en tenaient compte. Cette constatation amère resurgissait à tout moment, s’intensifia par ailleurs alors que les Berserkers, fort de leur stupidité, tentèrent de s’emparer de cet endroit. Non pas des Hommes, mais des Bêtes. Des bêtes n’agissant que par instinct et qui, pourtant, avaient eu raison de Bélisaire. Lui non plus, n’était pas taillé pour ce travail.

    Quelque part, entre l'année 551 et l'année 552*

    Du sang, des ombres, des cris, des larmes et de la déception. De maigres restes hantaient celle dont, jusqu’à présent, l’on vantait les qualités. L’un partait, un autre arrivait ; les tenants et les aboutissants s’enfermaient dans le silence, ignorés. Sans doute se considéraient-ils grands, mais leurs illusions les bernaient. Des enfants, d’une certaine manière. Cependant, ceux-là jouaient avec le feu, des armes intangibles et dispersaient cet honneur que, à l’instar d’un étendard, ils revêtaient si fièrement.

    Il a trahi notre peuple.

    La théorie se transforma en assurance, ce fameux jour ; cette nuit où, guettant leurs proies en tapinois, ils défirent les ennemis. Une revanche, crieraient quelques uns. Pourtant, elle n’y avait guère sa place, au moment dit. Le visage des Hommes, une nouvelle fois, se manifestait. À cela, Ehsan n’avait vraisemblablement rien à y redire sur le principe, mais elle sentait que les choses changeaient. Depuis sa mort, peut-être ? Face à ses propres réflexions, elle se contentait bien souvent de hausser les épaules, ruminant ses théories et stratégies indémontrables.

    Réformer le passé.

    Et voilà qu’elle quittait son nid de fortune, son antre ; une ancre accrochée avec maladresse et dont elle n’avait pas encore tiré toutes les épingles, toutes les connaissances. Plus tard. Pour le moment, la trentenaire se tenait devant ce nouveau Grand Pope, lui proposant un marché. Un départ sans vague, temporaire, un accord qui, possiblement, n’apporterait rien de concret. Ou peut-être que si. Seulement, la serpentes insistait pour retourner sur les routes, reprendre les recherches là où elles les avaient laissées.

    Des questions délaissées ; elle aurait appréciée conserver la possibilité d’apprendre d’avantage de lui, à ou contre-grès. Hélas, il n’était pas de ceux à se laisser berner.
    Tant pis, elle attendrait.

    Ophiuchus l’accompagnait dans chacun de ses trajets – quand bien même elle n’était guère portée, traversait avec elle ces terres d’autrefois. Si les histoires se construisaient par le sol, leurs mémoires, elles, se transmettaient par le savoir et les œuvres. Une raison parmi tant d’autres qui la poussa à rejoindre celle que l’on nommait naguère : la Superbe Alexandrie.

    Du rouge, du noir, du sable et des pierres. Cette fois encore, il ne restait nulle relique des temps anciens, pas même un objet désuet. Les livres, quant à eux, s’étaient volatilisés. Un peu comme lui, autrefois.

    Un seul instant, une chance manquée. En l’état, le retour au Sanctuaire s’amorçait dans une presque obligation. Cette fois encore, une occasion loupée ; elle ne pourrait plus s’entretenir avec lui : Akritès s’était déjà éteint.

    Quelle importance,
    Elle trouverait bien d’autres chats à fouetter...

    Chronologie et *:


Et vous, qui êtes vous ?

    Age : 27 ans !
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    [b]Aleksei Vinogradov[/b] → [i]Liza[/i] est [b]Mehry[/b].
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    Quelle est votre expérience des forums RP : Un petit moment déjà.
    Comment avez-vous connu le forum : Un vieil oiseau est sorti de son nid et a déposé le lien devant le mien. Il a fallu le dépoussiérer un peu mais, maintenant, c'est tout bon !




Dernière édition par Mehry le Dim 3 Mai - 22:01, édité 1 fois
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MehryMehryArmure :
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Message Re: Mehry - l'Ophiuchus [Terminée]   Mehry - l'Ophiuchus [Terminée] EmptyDim 3 Mai - 21:55
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