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Mai 553 AD
 
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 Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée]

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KyriosKyriosArmure :
Chlamyde d'Actéon

Statistiques
HP:
Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée] G-bleu1000/1000Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée] V-bleu  (1000/1000)
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Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée] G-rouge550/550Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée] V-rouge  (550/550)
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Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée] G-jaune1150/1150Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée] V-jaune  (1150/1150)
Message Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée]   Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée] EmptyDim 10 Mai - 21:02
Kyrios
Qui est-il ?
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    Nom : Kyrios
    Date de naissance : 21 Juin 528
    Âge : 25 ans
    Sexe : Masculin
    Armure demandée : Chlamyde d’Actéon


Comment est-il ?

    Apparence: Un homme d’une carrure certaine, élancé et l’air confiant. C’est sans nul doute possible la première impression que nous avons tous en le voyant. Une chevelure blonde, très claire, courte la majorité de l’année puisqu’il déteste que ces cheveux lui tombent dans les yeux. Il possède un signe bleu en forme d’étoile à six branches sur le front qui a sa propre signification. Son regard droit ne semble jamais vaciller. Plongez dans ses yeux d’un noir de jais vous et vous pourrez certainement apercevoir quelques reflets lilas dansant au gré du soleil et des ombres. Il arbore toujours un sourire que l’on peut trouver soit énigmatique soit provocateur. Lorsqu’il ne porte pas sa Chlamyde, il est le plus régulièrement vêtu d’une fourrure blanche lui recouvrant le buste et les épaules sous laquelle se trouvent des habits d’une certaine qualité. Les couleurs variées de sa tenue demeurent harmonieuses même si elles sont nombreuses allant de l’azurin au vermeil et au nivéen sans oublier une touche de mordoré discrète. Il peut également parfois porter des bijoux qui semblent être d’une rareté que personne n’a aujourd’hui confirmée mais qui attirent l’œil néanmoins. Sa cape vermeille recouvre gracieusement son corps d’un seul. La portant de manière à laisser voir ses habits, le pantalon en cuir sombre qu’il porte se marie parfaitement à l’ensemble. Tout comme ses sandales en cuir dans lesquelles il paraît très confortable de marcher même sur une longue distance.

    Sa Chlamyde est représentée sous une forme d'étalon ailé qui se cabre, le regard enflammé et des plus menaçant. Sous les sabots de l'animal, une légère traînée de feu semble l'accompagner dans son élan, si bien qu'elle scintille parsemée de petites étoiles brillantes. D'une couleur semblable à l'aube, des teintes sombres, presque crépusculaires, se marient avec des reflets d'or qu'apporte le soleil lui-même lorsqu'il pointe ses rayons depuis l'horizon. Les ailes de la Chlamyde ont elles une teinte mélangeant nuit et jour, une beauté tout aussi ensorceleuse que les couleurs du ciel, un magnifique matin de printemps lorsque la lumière se mêle à l'obscurité pour finalement prendre le dessus durant le temps qui lui est attribué.

    Psychologie: Kyrios est une personne d’un calme authentique, il ne se laisse que très rarement déborder par ses émotions qu’il cache derrière un sourire constamment affiché. Il est très difficile de savoir ce qu’il pense réellement quand on ne le connaît pas ou peu. C’est un homme qui ne se livre que très rarement et préfère exprimer ses sentiments forts par son art qu’il a su développer au fil du temps. Attention, cela ne veut pas dire qu’il ne parle à personne ou qu’il est asocial bien au contraire. Il aime rencontrer, échanger, aider, s’informer et s’amuser mais lorsqu’il s’agit de choses le concernant il est sur une retenue absolue. Gagner sa confiance n’est pas chose aisée. Ne se décourageant jamais, il reste positif en toute circonstance et si aujourd’hui est un jour sombre, demain la lumière brillera et elle n’en sera que plus belle.
    Il a une attitude qui peut parfois être enfantine lorsqu’il trouve un intérêt particulier à quelque chose ou à quelqu’un. Il tend la main à ceux qui en ont besoin, est bienveillant envers ceux qui sont seuls et d’une empathie toutefois mesurée à l’égard de ceux qui le méritent.
    Derrière ce sourire qui ne disparaît jamais, il peut se montrer sournois contre ses ennemis, manipulateur pour atteindre ses objectifs et quelque peu hautain quand il est sûr de lui.


Son Histoire


    Il n’est pas courant pour moi de livrer ainsi mon histoire mais il est parfois nécessaire de se confier même si l’envie n’est pas au rendez-vous. Je vais donc vous conter l’histoire d’un jeune athénien talentueux mais mystérieux, d’un homme aujourd’hui en quête de vérité avec l’envie irrésistible de découvrir toutes les beautés que recèle le monde. Mais d’abord, si vous acceptez, asseyez-vous avec moi autour de cette table et commandons une boisson afin que le temps vous paraisse moins long si l’ennui vous gagne. Une boisson alcoolisée pour moi et cette brave personne s’il vous plaît! Très bien, autant commencer maintenant plutôt que se regarder dans le blanc des yeux en attendant ce fabuleux nectar.


    ~o~ATHÈNES – Été 535~o~


    L’année suit son cours aussi bien dans cette cité que dans le monde extérieur. Ce jour est une nouvelle fois béni par un soleil levant amenant chaleur et gaieté pour tous les habitants. Les rues étaient encore calmes bien que cela ne durerait pas éternellement. Des discussions se faisaient entendre ici et là mais le ton était faible et soutenu comme si ces interlocuteurs ne souhaitaient pas réveiller la ville.

    Au fur et à mesure que le soleil accélérait sa course dans le ciel, une certaine agitation se faisait entendre. En effet, des bruits semblables à des sabots de chevaux tirant derrière eux une charrette, d’autres qui semblaient être l’écho d’un tonneau que quelqu’un venait de poser lourdement sur le sol ou encore des enfants commençant à vagabonder dans les rues. En très peu de temps, une animation étonnante s’était mise en place dans la grande majorité des rues d’Athènes ; des échoppes, des marchands venus échanger leurs produits, des gardes déambulaient à leur tour eux-aussi dans les rues les plus fréquentées certainement pour maintenir l’ordre jetant des regards froids à quiconque leur obstruait le chemin. Une odeur salée parvenait aux narines de toutes les personnes se trouvant aux alentours de la place marchande, laissant aisément penser que la mer avait été généreuse et que les produits étaient exposés en abondance sur les étals près du port prêts à être échangés. Tout semblait se dérouler pour le mieux dans cet endroit.

    C’est justement sur ce port que commence mon histoire. A vrai dire, je n’ai aucun souvenir de ce qui s’est passé avant cette année et pourtant me direz-vous, j’avais déjà sept ans. Toute personne sensée pourrait garder des bribes de souvenirs et c’est sans mauvaise foi que je vous certifie n’avoir aucun débris, stigmates ou une quelconque réminiscence de ces années. J’imagine que vous vous êtes déjà réveillé en pleine nuit ou au petit matin en ayant fait un rêve mais impossible de vous en souvenir. Ne dites rien, je vois dans vos yeux que cela ne vous est pas inconnu, vous êtes humain après tout.
    Revenons-en à l’histoire en elle-même car tout ceci est d’un ennui quasiment mortel. Mais trinquons avant de poursuivre.

    Ce jour-là j’étais donc sur le port, humant la multitude d’odeur parvenant à mes narines. La brise douce et silencieuse qui venait de l’horizon emportait avec elle les fraîcheurs de la mer et parfois quelques gouttelettes d’une infinie petitesse se posant sur mon visage avec une senteur salée. Je passais entre les différents stands, ne m’arrêtant pas, évitant le regard parfois accusateur des vendeurs et encore plus celui de ces gardes armés et en armures qui semblaient invincibles. Un sourire niais sur le visage mais un regard provocateur, l’ensemble aurait pu me causer des problèmes. Ainsi donc je ne m’attardai plus dans cet endroit et me dirigeai vers une échoppe assez spéciale que je connaissais plutôt bien.

    La devanture de cet établissement de la basse-ville faisait peine à voir à cette époque. Un bois usé, des fenêtres cassées et une porte qui grinçait quand je la poussais. J’y entrais d’un pas décidé et je fus salué par la gérante de l’échoppe qui faisait plus grange que succursale. Sur les tables de fortunes qui étaient éparpillées dans tout l’établissement sans aucune harmonie se trouvaient divers outils certainement déjà usés. Des pinceaux, des burins, des marteaux, des toiles tâchées et déchirées et parfois même des armes brisées. Comme de coutume, je faisais le tour des objets et l’un d’eux retint subitement mon attention. A vrai dire, je crois me souvenir qu’il s’agissait là d’une statuette brisée représentant un étalon cabré devant un cadran lui aussi en morceaux. La jeune femme s’approcha de moi et comme à son habitude se mit à me raconter l’histoire de cet objet-ci. Bien évidemment, je la pris pour une folle déblatérant des histoires et des contes pour enfants. Elle me confia alors qu’il s’agissait là d’une représentation d’un cheval de feu par lequel tout débute.

    Je lui avais posé maintes questions et elle y répondit avec joie et attention. Elle m’informa qu’il s’agissait d’une pièce très rare et qu’elle me la donnerait si je jurais d’y faire grandement attention. Bien évidemment je le lui promis mais l’intérêt qu’elle portait pour cette babiole détruite ne me paraissait pas étrange à l’époque. Je la remerciai bravement et quittai l’endroit pour me rendre chez moi. Oh, je ne vous l’ai pas dit, j’ai longtemps vécu dans un orphelinat à l’écart de la place marchande de la ville, un endroit où peu de gens mettent les pieds quand ils ont le choix.

    Après avoir vagabondé quelques minutes encore, j’étais rentré à l’orphelinat et j’avais évité les autres enfants. Je ne voulais pas qu’ils me voient avec cet objet disgracieux et inutile à la fois. Mais plus je le regardais, plus je me sentais proche de lui. A l’époque je n’avais rien et je faisais de ces morceaux de sculpture brisés mon trésor personnel.

    Des semaines durant, je réfléchis à une solution pour restaurer ce petit trésor que je possédais. Mais rien ne me vint à l’esprit et il resta pendant longtemps à l’écart. Tant à l’abri des regards indiscrets que des miens.


    ~o~ATHÈNES – Été 540~o~


    Les années ont passé et me voici, un jeune homme toujours plein d’entrain parcourant les rues de la ville en quête de deux objets bien précis. J’étais parvenu à me faire un peu d’argent en léchant les bottes de certains marchands, en les aidant à décharger leurs cargaisons et parfois en jouant le rôle de l’informateur secret qui recueillait des informations. Je dois vous avouer que cette dernière partie fut celle qui payait le mieux. Bien évidemment il s’agissait là de manœuvres malhonnêtes de ma part mais que voulez-vous, la survie prime sur tout.

    Propos quelque peu hypocrite car j’avais économisé sur le dos de ces honnêtes marchands afin de pouvoir acheter un burin et un marteau qui, je l’avais entendu de la voix de certains adultes, étaient capables de restaurer n’importe quelle sculpture s’ils étaient maniés par des mains expertes. Il y avait une échoppe qui en vendait et je m’étais rué un bon matin avant même son ouverture pour effectuer cet achat. Le propriétaire sembla quelque peu surpris de voir un mioche de ma trempe acheter deux outils nécessitant des mains expertes.

    Il n’empêche qu’il accepta de me les vendre, bien entendu il ne s’agissait pas là des meilleurs sur le marché mais j’étais persuadé que j’allais pouvoir en tirer quelque chose. Aussitôt les outils en ma possession, je me dirigeai vers l’endroit où j’avais obtenu cette statuette en miettes. Il était ouvert comme toujours et je me précipitai avec une ardeur légendaire vers la vendeuse pour lui annoncer mon projet de restauration de l’objet. Elle s’esclaffa et posa une main sur ma tête ébouriffant ma chevelure blonde dans un premier temps avant de retirer sa main subitement. Je me souviens l’avoir regardé aussitôt, ressentant un certain malaise et elle me dévisagea quelques secondes avant de me féliciter d’avoir autant d’intérêt pour quelque chose. Néanmoins, je lui avouai que je ne savais absolument pas comment m’y prendre. Elle m’invita alors à ramener les morceaux de l’objet à la boutique ainsi que le burin et le marteau et qu’elle m’initierait à l’art de la sculpture. J’étais euphorique, je ne voulais qu’une seule et unique chose, restaurer cet objet et j’allais enfin pouvoir le faire.

    Je m’empressai de traverser la ville et atteindre l’orphelinat sans encombres. Je fini par rejoindre ma chambre et l’endroit caché entre ce qui me servait de lit et le mur. Une petite dalle était détachable du mur laissant apparaître un trou dans lequel j’avais mis ces morceaux de valeur. Je fus soulagé de tout retrouver et immédiatement je retournai sur mes pas pour me rendre à l’échoppe. Elle m’attendait, son sourire était était revenu et elle m’invita à rejoindre son arrière-boutique pour qu’elle puisse m’expliquer les rudiments de la restauration d’objets et de la sculpture.

    Nous pénétrâmes dans un endroit très différent de son lieu de vente. Le jour et la nuit dirai-je. Si le magasin semblait peu accueillant, en désordre et peu entretenu, l’endroit dans lequel nous nous trouvâmes sentait bon, dégageait une chaleur agréable, les objets brillaient et étaient rangés mais plus encore, ils n’étaient pas dans un état lamentable. Les murs étaient d’un blanc cassé qui liait toute l’harmonie du lieu. Au centre, une table ronde sur laquelle une nappe bleuté était posée. Divers placards et armoires étaient présents dans la pièce et je remarquai une porte à l’exacte opposée de celle dont je venais de passer le seuil.

    Elle m’invita donc à la rejoindre autour de la table et me demanda de poser les morceaux de l’objet devant nous. Elle me regardait m’exécuter et laissa échapper un petit rire moqueur lorsque je fis tomber une pièce de la sculpture sur le sol tant l’excitation était à son apogée. Avec une voix apaisante et d’une douceur comme jamais je n’en avais ressenti, elle me demanda de me calmer et d’écouter attentivement ses instructions. Je me concentrai immédiatement et écoutant le son de sa voix, j’exécutai les différentes tâches qu’elle me donnait.

    Elle me demanda tout d’abord de rassembler les pièces présentes afin de former la sculpture le plus fidèlement possible. Bien que tous les morceaux furent sur la table, il en manquait quelques uns et ni elle ni moi n’aurions su où les trouver. La suite fut des plus étranges à comprendre et accepter. Elle m’invita à me saisir du burin et du marteau et de me concentrer. L’esprit enfantin que j’avais à cette époque ne comprenait pas comment il allait être possible de parvenir à rétablir cet objet de cette façon.

    C’est alors qu’elle me dit de placer le burin au-dessus des morceaux et de le frapper d’un coup franc avec le marteau. Je m’exécutai et un son étrange se fit entendre. Un écho bien trop puissant pour paraître normal. Je regardai alors l’objet et il était dans un état encore plus lamentable encore. Je baissai le regard, honteux d’avoir échoué. Cependant, mon professeur m’incita à ne pas me décourager. Elle ramassa les morceaux et me les rendit. Les tenant dans les mains, je souhaitai avec force que l’objet retrouve son état d’origine. Pendant un instant, plus rien n’importait, juste l’obsession étrange que j’avais développé pour cet objet. Les yeux fermés, les mains serrées, une lueur jaillit de l’intérieur de ces dernières, une lumière aveuglante accompagnée d’un son étrange « tic tac ». Je ne savais pas ce que représentait ce bruit à l’époque mais aujourd’hui je comprends de quoi il s’agissait.

    La lueur blanche se dissipa en quelques secondes. J’ouvris les mains et mes yeux s’écarquillèrent quand je vis quel beau spectacle se trouvait sous mes yeux. La sculpture avait été restaurée comme par magie, je ne comprenais pas ce qui se passait mais j’étais le jeune homme le plus heureux à cet instant précis. Je portai mon regard sur la dame qui ne semblait pas surprise de voir ce qui venait de se produire. Elle me félicita plusieurs fois et me conseilla de prendre grand soin de cet objet. Aussi, elle m’expliqua à ce moment que j’avais agit inconsciemment et qu’il s’agit là de l’effet d’une énergie qui s’appelle le cosmos. Je l’avais écouté d’une oreille si distraite qu’en quittant sa boutique j’avais oublié ses mises en garde et ses conseils. Mon trésor avait été restauré c’est tout ce qui importait à cet instant.


    ~o~ATHÈNES – Été 541~o~


    Pendant une année entière, je rendis visite à cette dame qui avait fini par me donner son nom ; elle s’appelait Eonia. Beau prénom lui avais-je répondu. C’était un jour comme un autre pour moi, vagabondant sur les quais, déambulant dans les rues, évitant au maximum de me faire remarquer par les gardes ou les marchands que j’avais pu arnaquer quelques mois avant.
    J’arrivai à mon échoppe favorite comme presque tous les jours. Quelque chose semblait m’attirer ici, une force invisible et dont je n’avais pas conscience. Mais ce jour-là fut différent des autres. En effet, en arrivant Eonia me salua et m’invita à la rejoindre derrière. Son visage était froid et je pouvais percevoir son inquiétude comme une aura néfaste se répandant dans toute sa boutique.

    Nous nous installâmes autour de la table une fois de plus et elle me demanda immédiatement si j’avais la sculpture et mes outils. Bien évidemment, je ne m’en séparais jamais. La jolie marchande m’invita à les poser sur la table et son regard s’assombrit d’un coup. Je n’eus pas le temps de lui demander ce qui se passait qu’un bruit assourdissant se fit entendre dans la boutique. Elle s’y précipita et je vis comme une traînée d’étoiles sur son passage, absorbant toute mon attention. Je fus tiré de ma torpeur par un cri d’agonie. J’étais figé, mon sang s’était glacé dans mon corps, mon cœur allait rompre ma poitrine et ma respiration semblait s’être arrêtée d’elle-même.

    La seconde d’après, la porte donnant sur la boutique explosa et je vis le corps d’Eonia traverser la pièce avant de s’écraser de tout son poids sur la table à côté de moi. Une lame émettant une lueur sombre plantée dans le cœur, elle ne survivrait pas à une telle attaque. Deux personnes encapuchonnées firent irruption dans la pièce comme pour continuer leur massacre. Les yeux grands ouverts, je venais à peine de ramasser ma sculpture et mes outils que l’un d’eux se rua sur moi et m’attrapa au cou. Il serrait si fort que je sentais mes forces m’abandonner à une vitesse folle. Il n’était pas humain, il ne respirait même pas, son aura était démoniaque, meurtrière, il voulait me tuer, c’était tout. Je serrai les poings, dans une main mes outils dans l’autre la sculpture. Mes outils tombèrent, j’entendis à peine leur impact sur le sol. Je sentais mon autre main s’engourdir mais jamais je n’aurais lâché cet objet. Du sang s’échappa de mes narines, mes yeux se fermaient lentement mais mon esprit ne vacillait pas. Dans un dernier effort je priai pour m’en sortir. Et quelque soit le dieu ayant répondu à mon appel, aujourd’hui je suis là grâce à lui.

    Ma main se mit à briller, attirant l’attention de ces deux êtres faits de ténèbres. Tandis que l’un m’étranglais, l’autre s’était approché du corps inerte de mon amie pour retirer la lame d’ombre qui l’avait tuée. Ils virent tous les deux l’éclat brillant dans mes mains et dans un langage que je ne comprenais pas, m’ordonnèrent de lâcher prise. Je n’obtempérais pas et l’un d’eux décida de me sectionner la main, la faisant tomber sur le sol, les doigts toujours fermement recroquevillés sur la statuette. La douleur fut cinglante mais surmontable car j’avais presque perdu connaissance.
    C’était la fin, je ne comprenais pas ce qui venait de se produire, qui étaient-ils, pourquoi avaient-ils attaqué Eonia ? J’ouvris légèrement la bouche, ce qui sembla les surprendre tandis que j’avais la trachée détruite et la main sectionnée. J’essayai de faire sortir un quelconque son de ma bouche mais rien n’en sorti. L’éclat de le statuette m’enveloppa d’un coup obligeant les assaillants à lâcher prise.

    La sensation que j’eus à cet instant fut semblable à celle d’une cascade chute d’eau qui s’inversait, celle d’une rivière remontant son cours, celle d’une étoile retrouvant la vie. Quelques secondes après, je rouvris les yeux et constatai que toutes mes douleurs avaient disparues. Les monstres présents étaient ébahis et m’attaquèrent ensemble.
    Ne souhaitant pas revivre ces évènements, je tendis la main comme pour me protéger de leur présence et ils s’arrêtèrent net. Du moins c’est ce que je croyais, leurs mouvements avaient été ralentis à tel point qu’ils semblaient immobiles. Réitérant ce geste de la main, ils se dissipèrent tels des statues de pierres usées par le temps.

    Je m’écroulai sur le sol, observant le cadavre de mon amie gisant dans une marre de sang près de moi. La lueur qui émanait du petit cheval et du cadran se dissipa, me ramenant à la dure réalité. Je pris soin de recouvrir le corps d’Eonia, lui adressant une prière avant de quitter l’échoppe, abasourdi, incapable d’oublier ce à quoi je venais d’assister. Je ne pouvais rien dire à personne, personne ne me croirait, je serai peut-être même accusé d’avoir commis ce meurtre. Impossible. Pendant de longues années je vécus avec cette culpabilité. J’avais survécu grâce à un quelconque pouvoir mais elle, qui en savait beaucoup plus que moi avait péri de la mains de ces… qu’étaient-ils ?


    ~o~ROME – Été 552~o~


    J’avais décidé, après ces événements tragiques de me concentrer sur l’art de la sculpture. En effet, je souhaitais secrètement suivre les pas d’Eonia mais personne n’avait jamais entendu parler d’elle. Je n’avais entendu aucune histoire lorsque j’étais encore en Grèce sur un meurtre ou un corps retrouvé dans une boutique. Rien de tout ceci n’était parvenu jusqu’à moi et j’avais pourtant fait l’effort d’écouter ce qui se disait aux coins des rues et dans les tavernes.

    Avec pas mal de chance et d’efforts, j’avais pu intégrer un institut à Athènes qui formaient les jeunes prodiges de la sculpture. Il ne fut pas aisé pour moi de prouver ma valeur mais après qu’ils aient accepté de me voir à l’œuvre et constater le talent que j’avais, ils m’acceptèrent parmi eux. Je fus l’un des élèves les plus talentueux ce qui me permis d’obtenir le moyen d’aller étudier à Rome, ville qui me fascinait particulièrement pour son architecture complexe mais qui la sublimait.

    J’ai étudié pendant deux années à Rome dans un institut d’une renommée certaine dans ce monde. J’ai fini par être demandé par plusieurs personnalités de second rang souhaitant avoir leur propre sculpture et je dois avouer que gagner sa vie honnêtement est un plus pour sa satisfaction personnelle. J’étais parvenu à amasser une certaine fortune grâce à ce travail et j’avais pu m’installer définitivement à Rome.

    Je me sentais à l’aise dans cet endroit, je n’aurais su expliquer à l’époque la sensation que j’avais, ce sentiment d’avoir été appelé ici-même. Je ressentais de plus en plus vivement les effluves de cosmos que dégageaient les gens et la terre elle-même. Dans mon sommeil par plusieurs fois j’avais entendu des voix. Étrange n’est-ce pas?Mais pas suffisamment pour m’inquiéter. Je n’avais pas utiliser ces étranges pouvoirs depuis longtemps et la statuette était rangée dans un endroit sécurisée de ma demeure.

    Au mois de Septembre de l’an 552, je fus forcé de constater l’invasion de Rome par l’empire Byzantin, les combats firent rage pendant quelques temps avant la victoire des Byzantins. C’est quelques minutes avant le dénouement de cette bataille que je sentis une explosion colossale de cosmos dans le ciel. Le torrent déversé semblait si imposant que j’avais l’impression de pouvoir être balayé comme une vulgaire brindille.

    Lorsque l’explosion que peu de personnes semblaient avoir ressenti se dissipa, je fus comme pris dans le temps, comme si ma propre existence s’était mise à ralentir jusqu’à s’arrêter. Projeté à l’intérieur de moi-même, dans un endroit où je ne voyais qu’étoiles et constellations, je fus saisi par un cosmos d’une puissance colossale. Il m’enveloppa et plusieurs images furent imprégnées dans mon esprit. De quoi s’agissait-il ? Des images du passé ? Du futur ? Je ne le savais pas mais lorsque je revins à moi, je fus pris d’une sensation à laquelle je ne pouvais opposer aucune résistance. Je devais me rendre sur la colline la plus haute de la ville qui serait frappée par le premier rayon du soleil et sculpter cette statuette que j’avais gardé toutes ces années et ce, dans des proportions humaines avant l’aube du cinq Janvier de l’année suivante.


    ~o~ROME (Sur une colline à l’est de la ville) – Fin Décembre 552 / Début Janvier 553~o~


    Ainsi donc j’avais abandonné tous les projets que j’avais, toutes les commandes avait été arrêtées et je ne me préoccupais plus que de cette tâche qui embrumait mon esprit depuis quelques mois. Je vous avouerai avoir eu l’impression de ne plus être moi-même. Je ressentais le cosmos avec une intensité telle que mes sens en étaient perturbés. Un matin, après un horrible cauchemar dans lequel je me faisais engloutir par la personnification que mon esprit se faisait du temps, je m’étais réveillé dans le corps d’un jeune garçon de quinze ans. Il s’agissait bel et bien de moi mais mon corps avait rajeuni durant la nuit. Fort heureusement après plusieurs heures de concentration et de méditation j’avais réussi à retrouver mon corps actuel. Tout ceci était bien trop étrange, vivais-je dans le temps présent ? Dans le passé ? Quel âge est-ce que j’avais réellement ? Voilà toutes les questions que quelqu’un aurait dû se poser s’il s’était retrouvé dans ma situation mais il n’en était rien pour moi. Après avoir retrouvé ma forme d’adulte et épuisé presque toutes mes forces pour y parvenir, mon esprit fut de nouveau assaillit par cette tâche que je devais accomplir.

    J’avais cette date en tête, les festivités m’indiquaient que le temps était bientôt venu et c’est après ces célébrations annonçant la fin de ce cycle solaire que je me mis au travail. L’air était frais, même plutôt froid dans mes souvenirs les premiers jours. Je m’étais rendu en haut de cette colline et j’avais miraculeusement trouver une pierre aussi grande que moi et d’une beauté absolue pour ceux et celles qui avaient l’oeil. Elle regorgeait de cosmos, bien plus que toutes celles que j’avais pu travailler pendant ces années. Je l’avais admiré plusieurs minutes avant de me saisir de mes outils et de commencer mon œuvre. Les jours étaient courts et froids et les nuits étaient interminables et glaciales. Je travaillais sans arrêt, me reposant quelques heures avant l’aube et me réveillant avec les premières lueurs du jour. Lorsque je n’étais pas là, la pierre était recouverte d’un tas de branches, de feuilles et de lierres de manière à laisser penser qu’il ne s’agissait rien de plus que d’une vieille statue oubliée.

    Je la sculptais avec un intérêt que je n’avais jamais eu auparavant, je m’appliquais, le moindre coup était ajusté, j’étais minutieux comme jamais je ne l’avais été et ne le serai jamais. La sculpture prenait de plus en plus forme, heure après heure. Je semblais y insuffler involontairement du cosmos afin de la rendre plus belle encore. Du moins c’est ce que j’imaginais mais la réalité était que cette pierre spéciale puisait elle-même dans mon énergie vitale. Plus je la rendais belle, plus elle demandait des forces.

    Les traits que je dessinais parfois brutalement mais toujours avec minutie laissaient désormais deviner la tête d’un bel étalon debout sur ses pattes arrières regardant l’est. Les ailes déployées dans son dos sculptées finement et avec grâce laissaient imaginer qu’il s’envolerait soudainement. Le cadran à ses côtés n’affichait qu’une partie des chiffres, ceux du matin.

    Deux jours plus tard, le 2 Janvier de l’an 553, je donnai mon dernier coup de burin qui résonna sur la colline comme le glas d’une époque. Mon cosmos s’entremêlant à celui de la pierre, le dernier coup porté avant l’aube signifiait la fin de cette tâche. Je sentis à ce moment précis que la sculpture avait arrêté de drainer mon énergie et que cette obsession qui m’animait avait disparu. Je contemplais l’œuvre que je venais d’achever.

    Mais sans doute les effluves de cosmos que nous dégagions étaient trop importantes car j’entendis un bruit derrière moi et je fis immédiatement volte face. Personne.

    Quelques secondes plus tard, je parvins à sentir deux émanations de cosmos bien distinctes. Je leur avais sommé de révéler leur présence et ils se montrèrent à moi. Deux formes encapuchonnées, deux humains semblait-il. Je les savais menaçants car leur énergie n’avait rien de bienveillante envers moi. Après leur avoir demandé ce qu’ils faisaient ici, je compris qu’ils en avaient après mon œuvre. Bien qu’elle dégageait une énergie puissante, elle serait détruite rapidement par ces deux personnes si je les laissais faire.

    L’un d’eux s’approcha de moi et sans retenue m’asséna un puissant coup dans le ventre. Je fus projeté aux pieds de la statue. Ils se mirent tous les deux à s’amuser de ma situation d’un rire malsain et dédaigneux. Néanmoins je n’avais pas l’intention de les laisser toucher à cette œuvre magnifique que j’avais réalisé avec tant de difficulté. Ils s’approchèrent une nouvelle fois de moi et se mirent à me rouer de coups. J’étais au sol, meurtri par leurs coups. Sous leurs capes sombres, j’avais pu apercevoir un reflet. Ils portaient des armures mais les cachaient… qui pouvaient-ils donc bien être ?

    Au loin, les douces lueurs de l’aube coloraient le ciel de couleurs que même le plus habiles des peintres ne saurait reproduire. Le temps était venu, la mission reçue avait été accomplie et je défendais mon œuvre d’art corps et âme afin qu’elle demeure intacte. L’un de mes deux agresseur me saisit par le col et m’attira quelques mètres plus loin, laissant le champ libre à son allié pour détruire ma sculpture. Il se moqua une dernière fois de mon talent et se prépara à frapper le cheval lorsque le premier rayon du soleil frappa la sculpture. Elle se mit à briller de mille feux, l’obligeant à s’éloigner d’elle. La lueur ne m’aveuglait étrangement pas, je n’étais pas sûr de ce que je voyais mais je crois bien qu’à ce moment-là, elle s’était éveillée.

    La sculpture disparue en même temps que la lumière. Laissant place à une personne d’une beauté saisissante. Une personne qui ne m’était pas inconnue. Son énergie était différente de celle que j’avais connu mais le visage qu’elle arborait était le même. Elle s’approcha de moi tandis que les deux inconnus reculaient par précaution. La main tendue vers moi, elle m’adressa un sourire presque divin et me transmit quelques paroles par la pensée. C’était une Muse. Elle ressemblait comme deux gouttes d’eau à Eonia mais elle se présenta à moi comme étant Uranie. Je saisis sa main sans hésitation et je sentis pleinement le cosmos émanant d’elle. Il était incroyablement puissant et doux.

    « Cette œuvre est sublime, Kyrios. Tu as accompli la tâche que t’avait confié notre déité avant de disparaître. Tu es digne de le servir et de porter cette Chlamyde que tu as toi-même créée. Abandonne tout, voyage à travers le monde, quitte cette Rome avant que d’autres ne s’en prennent à toi, retrouve nos Oracles et aidez-vous mutuellement. Un cycle se termine bientôt et un autre va voir le jour. »

    J’étais en ébullition, je comprenais tout ce qu’elle me disait, mon cosmos semblait en harmonie avec le sien et je ne refusai pas la mission qu’elle me confia. D’un hochement de tête, elle comprit que j’acceptai et ma sculpture réapparut soudainement. Elle avait gardé la même forme mais la pierre dans laquelle je l’avais taillée s’était changée en un métal sombre orné de reflets en tout point semblable à l’aube que j’avais observé chaque jour de sa création.

    « Te voilà Oracle d’Actéon, Exalté d’Apollon, le dévouement à ton dieu devra être sans failles, la Chlamyde de l’Aube Nouvelle t’a choisi, sois en le digne porteur durant ce cycle et les prochains. »

    L’armure explosa dans une lumière incandescente pour venir se placer sur chaque partie de mon corps. Je sentais la puissance qu’elle dégageait se lier avec mon cosmos que je maîtrisais encore mal. Je percevais l’aide qu’elle m’apportait, elle canalisait mon cosmos et facilitait son utilisation. Les ailes déployées dans mon dos rougeoyaient des rayons du soleil levant tandis que, les poings serrés, je faisais face à mes adversaires. La Muse m’adressa un ultime sourire et quitta l’endroit aussi brusquement qu’elle était apparue.

    Le regard plongé dans celui de mes opposants, je ne vacillais plus devant eux. Ils firent tomber leurs capes et révélèrent leurs armures d’un noir ébène inquiétant. Ils faisaient indéniablement parti du même groupe. Qui servaient-ils ? J’avais été appelé pour servir Apollon mais je ne connaissais rien sur ce nouveau monde qui s’ouvrait à moi. Je n’eus pas le temps de leur poser une quelconque question qu’ils se ruèrent d’un seul mouvement sur moi. Néanmoins, si quelques minutes avant je n’avais pas pu lire leurs mouvements, maintenant j’avais l’impression qu’ils se déplaçaient à une vitesse normale. J’avais atteint leur niveau et l’avais peut-être même dépassé.

    J’esquivais aisément leurs attaques et je ne ripostai pas immédiatement. Cet excès d’arrogance me fit alors comprendre que je devais agir lorsque l’attaque de l’un d’eux me toucha de plein fouet me projetant par-dessus la colline. Un vide immense s’y trouvait. Néanmoins, les ailes de la Chlamyde se déployèrent immédiatement pour me permettre de remonter à toute vitesse et de leur faire face à nouveau. Cette fois c’en était terminé. Je puisai dans mon énergie et la combinant avec l’énergie que me procurait cette armure aux pouvoirs incroyables, j’effectuai une contre attaque qui leur fut fatale. Le bras tendu, un cadran apparu sur leurs armures qui se figèrent instantanément. Ma volonté de les arrêter s’était manifestée de la sorte. Néanmoins ils étaient trop dangereux pour que je les laisse ici. Je décidai donc de les éliminer. Ma volonté de les mettre hors d’état de nuire se traduisit par des aiguilles apparues sur les cadrans placés sur les deux armures. Elles commencèrent alors à bouger et j’assistai, seconde après seconde au vieillissement accéléré des deux hommes, jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une simple poussière d’eux.

    La brise matinale avait balayé les restes de leurs corps et j’avais retiré mon armure qui s’était envolée en direction du soleil. Il était grand temps pour moi de quitter cet endroit, la Muse m’avait donné une mission, je devais retrouver d’autres Oracles mais également servir mon dieu jusqu’à la mort. Mais… où était-il?Quels desseins allais-je devoir servir?Je ne savais rien à ce moment de l’aventure qui m’attendait. Je quittai donc Rome, à la fois sûr de moi mais quelques peu inquiet. Les dieux existaient vraiment et leurs querelles n’étaient sans doute pas infondées.

    Oh, je suis navré je vous ai sans doute fait perdre un temps précieux mais sachez que ce fut un plaisir de partager mon histoire avec vous. Je vois que vous avez la descente facile, nous sommes à une dizaine de pintes pour vous et six pour moi-même. Vous êtes un brave gaillard, d’ailleurs ne vous en faites pas, partager cette histoire m’aura fait le plus grand bien, je vais payer. Oh, vos yeux se ferment, j’espère que vous ne vivez pas trop loin de cette taverne. Je dois m’en aller, c’est ici que je vous abandonne mon brave, dormez si l’alcool prend le dessus et si vous avez oublié mon histoire à votre réveil dites-vous juste que je n’étais qu’un fou envoyé pour vous distraire.


Et vous, qui êtes vous ?

    Age : 24 ans
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    [b]BLACK CLOVER[/b] → [i]Julius Novachrono[/i] est [b]Kyrios[/b].
    Quelle est votre expérience des forums RP : Plusieurs années sur SOTP et d’autres forum SS, une certaine expérience des forums RP dans le style médiéval et héroic-fantasy.
    Comment avez-vous connu le forum : Un ami, un frère.



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La suite de son histoire

    Si l'histoire de votre personnage est trop longue pour tenir sur un seul post, vous pouvez la continuez ici.



Dernière édition par Kyrios le Lun 11 Mai - 20:54, édité 8 fois
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Message Re: Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée]   Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée] EmptyDim 10 Mai - 21:15
Bienvenue sur le Forum !

SOTP °°

Bon courage pour ta Prez !
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Message Re: Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée]   Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée] EmptyDim 10 Mai - 22:07
Bienvenue et courage pour la suite de la présentation !
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Message Re: Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée]   Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée] EmptyDim 10 Mai - 22:37
Bienvenuuuuue !
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Message Re: Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée]   Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée] EmptyLun 11 Mai - 10:26
Bienvenu ! Bon courage pour ta fiche !
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Message Re: Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée]   Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée] EmptyLun 11 Mai - 20:53
Bonsoir, merci pour votre accueil ! Smile

J'ai terminé la présentation de Kyky ^^
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Message Re: Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée]   Kyrios - Oracle d'Actéon [Terminée] EmptyMar 12 Mai - 0:02
Hello ! Tu es validé au Rang 4 d'Eveil.

Quelques remarques au passage à prendre en compte au début de ton RP :

1 - Les hommes responsables de la mort de ton mentor, Eonia, était des Saints visiblement. Comme sur la colline. Il faudra prendre en compte que ton personnage est poursuivi.

2 - Le quasi arrêt du temps est impossible, ce sera plus une impression alors. Apollon a scellé tout pouvoir sur le Temps, même les Dieux ne peuvent l'avoir (sauf Chronos, Kayros et Aion, bien évidemment, mais ils sont plus dans ce monde depuis longtemps).

Félicitations à toi et bon jeu sur AoG

Je te donne tes droits après ce message.

Cuchulainn

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