[Janvier 553] Il faut battre le fer tant qu'il est chaud (César)

Oh putain. Qu’est-ce que c’est que cette merde ? Attends, encore un point ! Oui, le dédale. Pourquoi est-ce que ce cas à merde de fils de pute de dédale à la con de ces grands morts veut toujours m’envoyer n’importe où ? Il peut pas niquer sa mère un coup ? Attends, sa mère, ça veut dire que c’est… Velya ? Est-ce que le dédale peut niquer Velya ? Je veux dire, au sens premier du terme . C’est compliqué ça. Ça implique que le dédale puisse sortir des tentacules et… oui bon, c’est con, ça il peut déjà. Du coup, si c’est Velya qui se fait enfiler par le dédale, ça laisse beaucoup de possibilités. Mais est-ce que Velya peut enfiler le dédale ! C’est plus compliqué dans ce sens ! Mais bon, un endroit avec des portes en trou de balle, si c’est pas fait pour se faire enfilé je sais pas ce que c’est ?

Ça me dit toujours pas où je suis ? C’est spongieux et humide ? Sûrement les boyaux ? Pourquoi je suis ici déjà ? C’est si compliqué de se souvenir ce qu’il y avait hier. Bof, je hausse les épaules, on s’en tape d’hier, ça n’existe déjà pas plus. Maintenant… il faut que je retourne à ma forge. Ou chez moi. Ou chez Zvzedan sa porte est confortable… Mais attend, il y a un sac à merde par là bas. Il ressemble à rien ce putain de connard. Ouais, c’est pas un indice non plus, c’est le cas de toutes les putains de connard de cet endroit de merde. En tout cas, c’est pas Esther et c’est déjà un bon point, j’ai pas trop envie de la croiser maintenant cette conne. Je m’approche quand même un peu de ce petit merdeux. Je ressemble pas à grand-chose. Tiens, un peu de sang séché. Je goûte. Tiens, il est pas à moi celui-là. Il avait l’air d’attendre ce con en plus, mais d’attendre qui ? Je l’ai déjà vu ce mec. J’ai rien de mieux à faire de toute façon et puis, il pourra toujours me servir à quelque chose.


« - Oh sac à merde ! Tu te tapes une queue ou t’attends quelque chose ? »

Mais je l’ai vraiment déjà vu ce mec. Mais pas moyen de me souvenir où. Il ressemble à rien en plus. Enfin, moi non plus, je ressemble à rien. Avec mes vêtements sales, plein de sang séché et… d’autres sortes de fluides séchés. Je vois un peu de jus de cerveau et de vomis çà et là. Faudra que j’en vol un nouveau bientôt. Il commence un peu à puer celui-là ! J’en étais où moi ? Ah oui ! L’autre petit merdeux là. Où je l’ai déjà vu ? Il ressemble pas trop aux gardes. L’avantage des gardes, c’est qu’ils ont tous la même tenu ou presque. Le mec qui a pensé à ça est pas mal intelligent. Comme ça, je peux savoir qui je peux défoncer sans trop me faire emmerder et qui je peux défoncer en me faisant un peu emmerder. Lui, il entre dans la catégorie emmerde moyenne. Mais je le connais… où je l’ai vu ?


« - J’ai baisé ta mère ou je te dois l’argent ou quelque chose comme ça non ? On se connaît, j’ai déjà vu ta gueule de résidu de fin de race quelque part. Désolé hein, pour ta mère et ta sœur, vu ta tronche, ça doit être la même ! Et si je te dois de la tune, bah suce, j’en ai plus ! »


Qu’est-ce que je peux répondre d’autres moi, aux petits enculés que je connais mais que je reconnais pas. T’façon, c’est sûrement un emmerdeur. C’est tous des emmerdeurs. Oh là là,, puis il va parler, il va répondre. Il a pas intérêt à me faire des phrases trop compliqué là, sinon je lui fais bouffer la cascade des étoiles de mes couilles par le cul ! Ça y 'est ! Je suis énervé maintenant ! Faut que j’me calme sinon j’vais m'le faire ! Pourquoi j’vais m'le faire déjà ? Ah oui, parce qu'il est là ! C’est une bonne raison ça. Y'a jamais besoin de trop de raison pour ces choses-là, autre que le plaisir. Je pense que je peux lui arracher les cheveux et le cuir chevelu avec. C’est une idée ça, faudra que j’essaie si c’est le genre de trucs qui fait chanter comme il faut les cuirasses. Mais attend… J’entends une chanson qui émane de lui. Elle me dit quelque chose cette chanson ! C’est une que j’ai pas entendu depuis longtemps. Depuis très longtemps… Mais qui est ce fils de pute ?

Dans une autre partie des Boyaux, une ombre aux atours féminins semble se promener en compagnie d'un homme de haute stature. Les yeux ambrés de l'homme vous fixant seront froid et glacial. Il fera un geste de ne pas l'importuner avant de disparaître avec la jeune femme aux cheveux noirs de jais.

Citation :

Impossible de réagir à ce bref passage dans les galeries. Vous le voyez juste de loin.

Mais qu’est-ce qu’il jacte ce sac à foutre ? Akir… Ah mais oui ! Je me souviens ! C’est le petit merdeux dont j’ai éclaté alors qu’il se la jouait tigre féroce ! Je croyais qu’il était cané depuis longtemps moi. Mais non. C’est fou ça comme les pires petites saloperies tiennent longtemps dans ce dédale de merde. Quoi que, au royaume des portes sphincters, les trous du cul sont rois ! J’écoute pas trop la fin de ce qu’il raconte. Déjà parce que je m’en branle suite, parce que y a quelque chose de plus intéressant à regarder. Ce petit enculé de Velya se balade avec… sa meuf . Enfin, quelque chose qui doit ressembler à sa meuf. Elle est plutôt bien roulée la grognasse mais elle a l’air très chiante. Enfin, c’est que de loin, mais bon il peut bien se taper qui il veut. Ce gros dégénéré de Velya serait capable de se balader avec une copie de lui-même pour passer le temps. Quel malade.

Bon l’autre gros con, qu’il raconte . Quoi ? Il veut faire des trucs ? Il m’a pris pourquoi ce petit enculé ? Je le regarde donc droit dans les yeux, s’il est pas trop con, il pourra voir que je suis blasé d’avance et qu’il me casse les couilles. Je baisse alors un peu mon pantalon, j’attrape mon sexe de la main et je l’agite un peu. Juste assez pour qu’il puisse comprendre où je veux en venir. Mais pas trop, il faut savoir ménager son effet avec ce genre de chose.


« - Bah tu pourrais commencer par me la sucer pour passer le temps. S’il t’en reste pas encore autour de la bouche de la dernière que t’as avalée ! »

Sur ces mots, je range mon chibre et je remonte mon pantalon. Mais il s’est cru où ce sac à merde franchement ? À la taverne du coin ? On a une taverne au coin ? Attends non, c’est pas la question, on se concentre ! Il s’est cru où ce fils de chien, on en était là, voilà ! On va se prendre bras dessus bras dessous et aller jouer à la dînette et se lécher les couilles joyeusement c’est ça . Il a de la chance que j’aie autre chose à foutre, sinon je lui donnerais bien une autre leçon, rien que pour le plaisir de l’entre couiner. Attends, Akir… Ouais, ce connard a quand même une cuirasse. Faudrait que je voie la couleur pour savoir si j’aurais des problèmes avec son sac à merde en chef. Bon, sur un malentendu ça passera, je dirais que c’est la faute d’Esther. Ça marche souvent comme excuse.


« - T’as peur que quand un enculé de l’équipe en face te meule le front, ou un fils de pute de chez nous, ça arrive aussi, tu te retrouves à poil sans ta cuirasse à force de te prendre des taquets dans le cul ? Non pas que l’idée de te voir attraper les flèches et les attaques cosmiques avec ta tête me déplaise, je répare les cuirasses, même si j’aime pas les fils de pute dedans. Elle m’intéresse plus que les gens. Elles ont plus de choses à dire. Elle chante mieux. Leur seul défaut, c’est qu’elle suce pas, mais je pense pouvoir arranger ça à l’avenir. »

Pourquoi j’ai pas eu l’idée avant tiens ? C’est vrai ça, je suis sur qu’il y aurait quelque chose d’intéressant à faire. Mais ils vont encore venir me casser les couilles. Oui, César, t’as oublié un bras dans la cuirasse et il est pas à moi. Oui César, t’aurais pu faire ça comme ça, ou à ta place, j’aurais plutôt fait ça avec un marteau. Mais oh, nique ta mère déjà pour commencer ! Ensuite, c’est moi qui répare les cuirasses et tu apprendras que c’est un art précieux d’accord. Alors va bien te faire enculer. Voilà à quoi ça se résume souvent. Mais je répare, parce que j’aime bien les chansons. Enfin, c’est moi ou je me parle tout seul là, je vais vraiment finir par devenir taré.


« - Mais en vrai, je pensais que t’étais mort. Je suis curieux de savoir comment t’as fait pour survivre aussi longtemps petite pute ! »

C’était une vraie question ça, qu’est-ce qu'il avait pu branler depuis. Je l’avais Peut-être croisé en Italie, mais c’était il y a longtemps l’Italie. C’était hier, et hier ne compte pas. On ne devrait pas s’intéresser à hier, c’est déjà passé. Il n’y a que maintenant qui compte.

Je peux pas m’empêcher de relâcher un putain de fou rire. Oh la vache, j’avais pas rit comme ça depuis que l’autre enfant de putain avait tiré sur mon doigt. Oh la putain ! Qu’est-ce qu’on rigole avec les connards de cet endroit ! Sa gueule de sac à merde quand j’ai agité mon chibre devant lui. J’en ai mal aux côtés tellement je me marre putain ! Quand je vais raconter celle-là à Zvezdan. Bon, ce connard va pas rigoler, mais il faut que je raconte cette histoire. Elle est trop drôle pour que je la garde pour moi. Peut-être que je rejouerais la scène pour lui. Mais ça serait difficile d’imiter une tête de gland pareil. Oh putain le con ! Je sens une petite larme perler le long de mon œil que j’essuie du revers de la main et le fou rire meurt doucement. Un bon moment de vie dans cet endroit de merde.

Bon, par contre, le débile dit pas que de la merde. Il est toujours intéressant d’entendre ceux qui parlent. Souvent, ils ne savent pas lire entre les lignes pour comprendre la chanson, mais moi je sais. Moi je comprends cette langue que parle. Ces rythmes que les aveugles ignorent ou ne veulent pas voir. Moi je parle cette langue morte et oubliée. Je comprends la chanson de la souffrance et la mélodie des cuirasses. Je sais de quoi elles sont faites et je touche leurs âmes. Plus que n’importe qui d’autre j’ai percé les secrets de ce monde. Des secrets que les aveugles ne sont pas prêts à accepter mais des secrets que j’ai fait miens !


« - T’es sûr que tu confonds pas avec ta connerie qui te dirait de te jeter dans le lac de sang ou d’aller lécher les couilles d’Acamas histoire d’en finir ? Mais si c’est vraiment elle qui te parle. Elle te raconte quoi? Tu sais, c’est pour elle que je t’ai pas tué quand je t’ai éclaté le fion alors que j’étais encore plus de la merde que maintenant. Elle t’a sauvé la vie en somme. »

Oh, ainsi, aussi il avait fait l’Italie. C’était un bon moment l’Italie. J’en garde de joyeux souvenirs. Zvez’ râle encore régulièrement à ce propos, il râle à propos de tout. Mais j’étais un bon bras droit à ce moment-là. On s’est bien amusé puis ça a fait le ménage chez nous, les fils de putes sont mort. Enfin, les fils de putes parmi les fils de putes quoi. Genre le gros attardé mental de Kostas. Ouais, lui il aurait dû crever plus tôt. Mais bon, il était mort comme une merde contre les Gémeaux. Comme s’il s’était un peu suicidé ! Enfin bref, le reste je m’en branle. Les cardinaux sont des connards comme les autres. Ce sont tous des connards.


« - Le grand débile qui sait pas parler correctement là ? Ouais, il est marrant. Un peu con mais marrant. On s’est bien amusé avec sa grosse épée ! »


Les épées, ça ne chante pas comme les cuirasses. Mais il y a quelque chose de spécial dans son épée. Pas comme sa cuirasse, la chanson est différente. Ce qui fait que ce gros fils de pute est aussi différent. Un peu con, mais marrant. C’est vrai qu’il y avait des légions dans l’armée. Un détail qu’on a trop tendance à oublier avec tous les connards dégénérés qui ne savent pas suivre les ordres d’ici. Oui, comme moi, tu as raison. Mais pas seulement, on sait tous au fond, qu’ici, le vrai chef, c’est Zvez. On sait tous que c’est la guerre qui domine chez Arès, les autres ne sont que ses pions et ses sous-fifres et moi, je suis son bras droit ! C’est important en fait comme rôle au final. Ouais, mais c’est marrant ! Alors on va rester bras droit et c’est encore mieux s’il le sait pas surtout s’il veut pas !

Oui bon, je m’étais imaginé quoi . Que ce mongolo serait capable de comprendre la complexité de la mélodie des cuirasses. Non… Une voix ? Il n’y a que ceux qui ne comprennent rien qui voient du sens dans ce qu’elle dit. Il n’y a pas de sens dans leur chanson. Du moins, pas le sens qu’un fils de pute pourrait comprendre et comme il y a beaucoup de fils de pute dans cet endroit de merde… Il n’y a que moi qui comprends les cuirasses. Peut-être que le connard sur son trône peut comprendre un peu et Velya. Oui, ces deux gros dégénérés peuvent avoir une idée de ce que racontent ces putains de cuirasses. Puis il parle d’Arès… C’est vrai que c’est le connard en chef qu’on est censé servir, mais on le voit jamais ! Il doit être occupé à se taper des queues au fin fond du dédale ce chien. Il serait peut-être tant qu’il se sorte les doigts du cul, genre, l’Italie, il aurait pu servir à quelque chose ! Même moi, j’étais utile en Italie ! Même moi bordel ! Vraiment, pas étonnant qu’on se soit ramassé tant de mange merde vue notre Dieu.

Puis il parle de l’ancien tigre, mais on s’en branle de ce qui est ancien, c’est passé, c’est passé, c’est tout ! Un jour, ils comprendront que le présent c’est tout ce qui compte, maintenant, c’est tout ce qui existe, mais ils sont définitivement trop cons ! Mais il essaie d’écouter, il fait l’effort, je peux pas lui amener ça. Il a beau être trop con pour comprendre, il essaie. Peut-être qu’il pourra y arriver, si je l’aide. Peut-être. Mais est-ce que je veux l’aider ? Je m’en branle. C’est pas à moi d’aller chercher les connards, c’est aux connards de venir à moi. Je répare les cuirasses, pas les fils de putes. Enfin, c’est basique, il semble accordé à sa protection, c’est un bon point pour lui. J’ai bien fait de pas le crever quand j’en ai eu l’occasion.


« - Faudra qu’on voie si je te casse toujours la gueule avec autant de facilité, sac à merde ! Voir comment chantera ta cuirasse à ce moment-là. Voir si tu ressens toujours la même chose et si tu arrives à mordre cette fois ! »

Au final, c’était la première chanson que j’avais entendue, c’est toujours particulier les premières fois. Ça se passe toujours mal et ça laisse des traces, un peu comme mon poing dans sa gueule. Il parle de quoi ensuite ? À oui, Haldor ! La plus casse-couille des quatre salopes. J’aime vraiment pas mort. Elle est pas comme les autres. Mais oui, c’est vrai pas contre que son épée géante n’était pas trop mal. Elle pique un peu mais j’ai connu mieux. Beaucoup mieux. Petite bite on pourrait dire, vraiment. Mais lui aussi avait joué avec l’épée de son chef, c’est pas comme ça qu’on obtient des promotions hein, astiquer son épée pour la faire reluire, surtout pas ici ! Sinon, je serais jamais devenu bras droit du pontifex !


« - Tu vois, tu lui suces son épée à lui, et tu veux pas de la mienne. Tu places bien tes pions mon salaud ! Enfin, je pensais que c’était le boulot d’Esther dans la légion, c’est mieux que ça soit toi ! »

Bon, qu’est-ce qu’on fait maintenant ? C’est une bonne question, je crois que j’ai une cuirasse sur le feu, littéralement. Faut que je retraverse encore tout cet endroit de merde. Putain s’est chiant, mais qu’est ce que c’est chiant ! Et l’autre gland là, je vais en faire quoi . Je sais pas, pas mon problème. J’aurais bien envie de lui arracher les yeux, mais Zvzedan va encore venir râler. Je l’entends d’avance soupirer et me dire juste César… en laissant traîner le r. Ouais bon, tant pis.


« - Bon, c’est tout ce que tu voulais me dire où t’as autre chose à proposer, quelque chose d’intelligent cette fois sac à merde ? »

Ouais, ouais, taper sur des connards de l’équipe en face. Comme si t’avais une chance contre ces connards-là. Enfin, peut-être, tu as bien survécu à l’Italie. Et tu t’entraînes dans les bois, alors s’il joue à se faire des cabanes et à taper des gens avec des bûches pourquoi pas. La guerre c’est chiant, il faut obéir aux ordres et faire ce que demandent les fils de putes. Pour le reste, on peut quand même s’amuser quand on attrape des gens ou avec les connards de notre équipe qui font n’importe quoi, ou simplement parce qu'on a vie de montrer qu’on a le garde le plus important. C’est de la merde le grade, mais ça permet d’être débarrassé de tous les fils de pute qui viennent te faire chier, y'en a pour qui ça compte, le grade. Des connards, beaucoup trop de connards !

Et voilà qu’il me parle en détail de la queue de son supérieur. C’est vraiment un gros porc ce type, vraiment il n'a pas de pudeur de me parler comme ça de ce qu’ils se font. Et bordel ça a l’air dégueulasse, même selon mes propres standard. Attends ? C’est pas comme ça que ce gros débile d’Haldor il a nommé son épée . Le gros machin que seul un attardé peut manier et qui est fait de matériaux chelou ? Ouais, je crois que ça doit être ça. J’avoue que j’étais plutôt occupé à jouer avec son épée qu’écouter ce qu’il avait à jacter. Attend, je me mets à faire comme Akir, il a fait de mois un gros dégueu’ à moins que ça soit l’inverse . Je sais pas, sûrement, on s’en tape. Mais bon, il l’a pas tué, alors qu’il aurait pu, peut-être qu’il aurait dû. Son tour viendra quand même.


« - Je vois pas où tu prends du plaisir à rencontrer le tas de résidu de chien galeux fini à la pisse qui compose notre putain de Dédale de merde. Tu dois soit être complètement con, soit fini à la pisse toi aussi, soit masochiste. Mais je pense plutôt pour la deuxième option. »

Ouais, y a vraiment trop de connard ici. Et j’aime pas trop les connards et les fils de putes. Vraiment beaucoup trop. Faudra songer à tailler dans le vif à un moment, histoire de pas se noyer dans notre propre merde, mais c’est pas mon problème. On a des cardinaux et un enculé de Pontifex pour faire ça, mais c’est clair que ça préfère se faire pomper le chibre que faire des trucs ! Puis en parlant de chibre, je me mets à lui rire au nez. Proposer quelque chose . Oh oui, j’aurais des tas de choses à te proposer et sûrement, tu peux voir se dessiner sur mon visage une expression d’avidité cruelle. Si j’accepte ta proposition, je pense que tu mourras. Et ton cardinal viendra me péter les couilles alors peut-être qu’il mourra, ou moi. Et après, c’est Zvezdan qui viendra me peter les couilles et là, c’est moi qui mourrais. Il est chiant. Alors, je soupire. Mais je ne t’oublie pas.

Plus tard, toi aussi, je ferais de ta chair et de ton sang le canevas de mes chansons. Je me demande qu’elle bruit tu feras quand je t’écorcherais vif. Ce sera sûrement quelque chose d’aigu, un peu nuancé, je crois que nous nous amuserons tous les deux. Mais plus tard, je ne t’oublie pas. Toi et ta cuirasse. Elle compte pour moi, après tout, plus que celui qui la porte. C’est la première chanson que j’ai entendue ! Pour le reste, je finis par rire. Et je porte la main à mon sexe, attrapant le paquet à travers mon pantalon et l’agitant un peu.


« - Tu peux toujours faire ce que je t’ai proposé, mais tu préfères aller pomper Haldor alors je te laisse faire ! »


Je ris alors encore, et commence à m’en aller, notre rencontre et terminé et si elle se continue, il y a peu de chances qu’elle se passe bien pour toi. J’espère que tu seras assez intelligent pour le comprendre. Que ton instinct t’aidera à survivre, sinon, eh bien, le plaisir sera entièrement pour moi. Mais je t’apprendrais à aimer ça.

Citation :

Fin du rp pour moi, sauf si Akir souhaite retenir César, c'était bien marrant en tout cas, t'as toujours une revanche à prendre °°

Citation :

Fin du RP pour moi