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 Asteria Sefirot - Général de Chrysaor (terminé)

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AsteriaAsteriaArmure :
Chrysaor

Statistiques
HP:
Asteria Sefirot - Général de Chrysaor (terminé) G-bleu527/950Asteria Sefirot - Général de Chrysaor (terminé) V-bleu  (527/950)
CP:
Asteria Sefirot - Général de Chrysaor (terminé) G-rouge900/900Asteria Sefirot - Général de Chrysaor (terminé) V-rouge  (900/900)
CC:
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Message Asteria Sefirot - Général de Chrysaor (terminé)   Asteria Sefirot - Général de Chrysaor (terminé) EmptyDim 31 Mai - 0:17
Asteria
Qui est-elle ?
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    Nom : Asteria Sefirot
    Date de naissance : 6 août 531
    Âge : 21 ans
    Sexe : Féminin
    Armure demandée : Écaille de Chrysaor


Comment est-elle ?

    Adossée au mat de son navire, elle observe ses marins de ses prunelles noires. Un air suffisant, sure d’elle se dégage de ses traits et ce regard sombre. C’est elle le chef ici et on ne peut pas le rater. Des anneaux d’or pendent à ses oreilles et un cigare fumant est coincé entre ses lèvres pâles. L’odeur lui est plaisante. Son bras gauche, recouvert de tatouages tient une bouteille de rhum, sa boisson favorite. Depuis qu’elle est de retour sur les mers, elle ne se sépare jamais de son sabre de pirate. Habillée à la garçonne, elle est toujours vêtue de braies et chaussée de bottes de cuir. Sa peau est joliment hâlée, dorée par le soleil au fil des ans passés à l’air libre.

    Elle gère ses marins avec fermeté, juste mais sans pitié. Sa nature Atlante la fait se sentir supérieure à ces Vulgaires, même si elle n’est pas une sang pur. Elle sait qu’elle est douée en navigation, en stratégie, en force brute et en piraterie dans son ensemble alors elle ne se prend pas pour de la merde. Parfois butée, femme libre, elle n’en fait qu’à sa tête selon ses désirs. Une seule chose surpasse sa propre volonté à ses yeux, Poséidon et son Légat. Ils sont les garants de sa cité natale et même si elle a une tendance à vouloir voyager et explorer, elle n’en garde pas moins un profond attachement à son chez-elle. Nul autre endroit que celui-là ne semble pouvoir être considéré comme sa maison, pas même son navire. Ce dernier n’est qu’un moyen pour assouvir ses désirs, rien de plus. Au pire « ça se remplace », pas comme la ville qui l’a vue naître : Atlantis.

    Elle tient cette auto-suffisance également du fait qu’elle vient d’une maison prestigieuse et que sa mère l’a ainsi formatée à se sentir particulière. Le nom de famille « Sefirot » reste gravé au sens propre comme au sens littéral, sur le mur de la salle à manger comme d’autres afficheraient fièrement un blason.

    Sans pitié, mais pas sans coeur. Elle apprécie grandement la faune marine et se prend parfois à leur parler, même s’ils ne lui répondent pas et qu’ils ne comprennent probablement pas ce qu’elle peut leur dire. Elle est également une femme loyale et sous ses airs de « je m’en foutiste » elle n’hésite pas à venir à l’aide d’un de ses hommes en situation délicate lors d’un affrontement à moins que celui-ci ne lui ait manqué de respect à un moment.

    Si elle n’aspire pas à obtenir l’autorité suprême, elle aspire néanmoins à obtenir le poste de Générale des Marina. Être le sous-fifre de quelqu’un non merci, c’est elle qui veut donner des ordres d’autant plus lorsque l’on vient d’une des familles patriciennes.


Son Histoire

    Le départ

    Cela fait sept années qu’elle a été rapatriée à Atlantis où elle était née. Sa mère Atlante d’une grande famille avait eu une aventure avec un marin et à la naissance de l’enfant, ce dernier avait été confié à son père afin d’éviter les qu’en dira-t-on. Au début de sa septième année, la petite Asteria commença à s’éveiller et à dégager du cosmos. Alors afin de la protéger, de protéger la mascarade et de l’entraîner, sa mère Evgenia Sefirot l’avait ramenée à la maison.

    Aujourd’hui encore Asteria repensait à son enfance passée sur les mers aux côtés de son père à jouer les apprenties pirates, à se rouler dans les pièces d’or, à courir partout sur le pont ou à escalader les mâts. Un soupire s’échappe de sa gorge. Son père lui manque et la vie aventureuse aussi. Bien sûr elle adore les Atlantes, leur technologie et l’architecture de sa ville, sans oublier sa mère. Mais une part d’elle est ailleurs. Elle est encore jeune, elle frétille à l’idée de se retrouver de nouveau cheveux aux vents, la surface de la mer à perte de vue et plein de mondes à explorer.

    Pas pour aujourd’hui. En fait ce n’est pas au programme. Aujourd’hui, au matin énième leçon entre histoire, mathématiques, écriture, biologie ou encore technologie et dans l’après midi entraînement quotidien sous la surveillance de maman. Elle est douée pour retenir, sa mémoire est excellente, pas absolue, mais supérieure à la moyenne. Elle a des facilités d’apprentissage ce qui n’est pas sans rendre fière la matriarche. Au fil des ans, la fillette a subit un formatage mental, elle doit être la plus forte, la meilleure. Objectif : devenir Générale du Chrysaor, sa maison étant la protectrice du pilier de l’Indien. Plusieurs fois Evgenia l’a conduite là bas pour profiter des terrains d’entraînement. Aujourd’hui ne fit pas exception.

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    Asteria est habituée. Elle s’échauffe en détruisant quelques rochers à la force pure de ses poings amplifiée par son cosmos, puis vient le combat lui même. Elle fait face à d’autres venus s’entraîner sous la direction du Général de Chrysaor en personne. C’est d’ailleurs ce dernier qui vient voir comment elle a progressé.

    - Bonjour Asteria. Voyons où tu en es…

    D’un geste le Général fait signe à l’un de ses meilleurs éléments de venir se placer en face de la brunette sou l’oeil averti d’Evgenia. Les deux jeunes se positionnent face à face et commencent un échange de coups de poings et de coudes parés, l’opposant n’hésite pas à y mettre son grain de sel en lui assénant des coups de pied dans le ventre. À bout de souffle, la jeune fille cesse de riposter.

    - Encore ! S’écrie le Général. Tu es plus forte que cela Asteria ! Allez.

    Obéissante, avide de montrer sa valeur, la jeune fille reprend le combat de façon plus intense encore, se donnant du courage en poussant un cri rauque, allant même jusqu’à s’accroupir pour tenter de faire un croche pied à son adversaire et en lui balançant sa jambe dans les tibias. Rien qui n’ébranle l’apprenti aguerri. Quelques forts coups de poing et de coudes plus tard, toujours souple sur ses appuis, ce fut en donnant un ultime coup de pied dans la hanche de son opposant que la jeune Asteria réussit à le faire trébucher. Comme si elle s’attend à ce que cela sonne la fin du combat, la jeune fille tourne la tête vers ses camarades et le Général, curieuse de voir ce qu’ils pensent du combat. L’autre profite de ce moment pour pousser violemment Asteria de ses deux mains enveloppées de cosmos, cette dernière tombe, le postérieur sur le sol dur.

    - Ne baisse jamais ta garde !

    Le Général n’hésite pas à lui rappeler quelques bases qu’elle a déjà entendues.

    - Tu t’attends à ce qu’un combat soit loyal ? Dit-il alors que l’apprenti tranche l’air devant lui de sa main pour faire reculer la jeune brune encore au sol. Un combat n’est jamais loyal !

    Ses coups s’intensifient jusqu’à ce que Asteria y mette un terme en croisant ses bras devant elle et en les enveloppant de cosmos pour former un bouclier et repousser les attaques en se servant de son arme éphémère comme d’un bélier. A ce seul coup qu’elle porte, elle y met toute la force qui lui reste, toute sa puissance son cosmos irradie de tout son être en une aura bleutée et son adversaire est projeté violemment quelques mètres plus loin. Sans doutes qu’elle avait quelques bleus de sa chute, mais surtout, un large sourire car la fin de ce duel marque sa victoire contre l’un des meilleurs apprentis. Elle vient d’atteindre un nouveau niveau de puissance et sa mère est très fière. Elle enchaîne les combats et en sort victorieuse à chaque fois. Elle est prête. Encore un peu de renforcement et elle pourra avoir une très bonne Écaille, mais celle visée n’est pas disponible pour le moment.

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    De retour à la maison, au soir vint la dernière phase de son entraînement quotidien. La méditation. Assise en tailleur sur son lit, yeux clos, elle fait le vide en elle. Au début, sa mère surveillait mais à présent elle se gère de façon autonome. Sa méditation prolongée et régulière lui permet de progresser dans l’éveil des sens. Une fois en place, il lui faut peu de temps pour que son corps se soulève et lévite à quelques centimètres du sol. Sixième sens. Dans sa méditation, elle réfléchit. Elle a atteint un excellent palier au combat et dans la maîtrise de son cosmos. Cependant, le rang visé n’étant pas disponible, elle se demande si poursuivre ici est bien utile. Cela fait sept années qu’elle se perfectionne et qu’elle étudie sans relâche tant qu’elle ne s’est pas fait d’amis. A quoi bon d’ailleurs, elle n’est pas du genre à s’attacher facilement. Elle apprécie son peuple et le défendra sans hésitation s’il le faut, mais elle se moque bien d’être aimée en retour. Elle veut être respectée, admirée, crainte un peu aussi peut être mais ce n’est pas demain la veille que cela va arriver. Alors quoi ? Elle en a marre. Elle a l’impression qu’elle fait tout ça pour rien alors qu’elle pourrait être avec son père à s’amuser en découvrant le monde et en voguant sur les mers.

    Elle retombe avec légèreté sur son lit et ses yeux sombres s’ouvrent déterminés. Son sac est fait rapidement et en peu de temps, elle se retrouve face à sa mère. Cette dernière est surprise. Asteria se tient raide, le visage grave, sérieux. Ce petit air buté qui veut dire que rien ne pourra l’empêcher de faire ce qu’elle veut.

    - J’m’en vais. L’autre, il crèvera pas avant un bail, j’ai atteint un excellent niveau, j’ai plus rien à faire ici. J’vais rejoindre père et profiter de la vie. J’ai pas envie de passer encore dix ans comme apprentie et j’veux pas une autre Scale que celle de notre famille donc ma décision est prise.

    Evgenia n’a pas le temps de dire quoi que ce soit. Sa fille est un tourbillon de mots et son ton se hausse si elle a le malheur de faire un mouvement de lèvres.

    - Si jamais la place se libère, préviens moi. Je continuerai à m’entraîner en faisant attention de ne pas être vue des non éveillés. Mais au moins je ferai un peu quelque chose d’intéressant.

    Son visage s’adoucit et elle pose sa main sur l’épaule de sa mère. Elles n’ont jamais été très tactiles ni aussi proches qu’elle pouvait l’être avec celui qui l’avait élevée, mais Asteria avait néanmoins un profond respect pour sa mère.

    La flotte marine et la tempête


    Enfermée dans sa cabine, jambes croisées en tailleur, yeux clos, elle médite, lévitant au dessus du plancher. Elle sonde autour d’elle la présence d’autres cosmos, puis assurée qu’il n’y a pas de danger, elle fait le vide dans son esprit. Cela fait deux ans qu’elle a retrouvé son père, ce dernier est Capitaine d’un des bâtiments de la flotte du Commandant Lazare. Depuis peu, son corps a évolué et s’est paré de formes féminines, une belle poitrine et un postérieur généreux qui ne sont pas sans attirer les regards. Mais en deux ans, les matelots ont apprit à la connaître et se tiennent à carreau. Elle a déjà mit l’un d’entre eux au tapis et est devenue la seconde de son père. Elle n’est pas intéressée par ce genre de relation pour le moment. Elle tient à sa liberté et son indépendance. La fermeté et la férocité de son regard fustigeur suffit à éloigner les plus hardis. Un sourire en coin s’étire sur ses lèvres pales. Aujourd’hui, elle a sentit le regard de Lazare se fixer sur elle. Décidément, il allait falloir trouver rapidement un port pour contenter ces Vulgaires échaudés.

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    Le ciel est sombre, de mauvais augure, la brume est partout autour d’eux et l’endroit est connu pour être dangereux, des rochers immergés pouvant briser la cale d’un des navires n’importe quand. Le navire du père d’Asteria est en tête, suivit par celui du Commandeur qui compte sur l’expérience du quarantenaire pour leur ouvrir la voie. Asteria est tendue, tous les sens en alerte. Son corps reste droit comme un piquet, le regard perdu à l’horizon. D’apparence elle semble calme. De temps en temps, elle pose un regard sur son père et un autre en arrière. Elle veille à ce que Lazare les suive bien. Soudain, le doute s’installe sur le visage de son père. Les vents s’agitent énormément et c’est commun dans cette région La tempête est juste à leurs pieds, il faut faire vite.

    - Hum… ‘Ria tu peux m’apporter ta… Comment ça s’appelle déjà ?
    - Boussole.

    Ils opinent d’un air entendu. Un dernier regard est lancé vers Lazare, il semble entouré d’une aura étrange… Serait-ce du cosmos ? Elle n’a pas le temps d’en avoir le coeur net, bien que ses sens lui répondent par l’affirmative. L’heure est grave. Elle file dans sa cabine fouiller son sac ce qui lui prend plus de temps que prévu car il est en pagaille. Le duvet de ses bras se hérisse tout à coup et une grande secousse la fait chanceler. Elle se cogne contre le mur, mais ça ne la déstabilise pas, les coups elle sait encaisser. Par contre, les cris ne la rassurent pas. En courant elle remonte sur le pont, gardant toujours son sang froid. Elle doit se tenir à la porte pour ne pas glisser. Ils se sont dangereusement approchés du coeur de la tempête. Le vent souffle en rafale et les vagues plus hautes que le bâtiment se brisent sur le pont emportant quelques marins dans leur violence. Les autres navires sont hors de vue, sans doutes déjà perdus au fond des mers.

    Son coeur se serre à cette pensée. Depuis un an à peine elle avait laissé un homme entrer dans sa vie après l’avoir fait mariner deux ans au préalable. Ce n’était pas le genre amour mignon tout beau, mais plus une relation de possessivité et d’instants charnels et pourtant elle y tenait énormément. Un autre être cher lui importait et ce dernier était peut-être encore en vie. Tant bien que mal, elle se hisse jusqu’au poste de commande. Le volant tourne seul au gré des courants. Il n’y a plus personne. Elle l’attrape avec force et fermeté pour rendre un peu de stabilité au navire. Elle crie.

    - Père !!!!!! Père où es-tu ?

    Puis elle le voit ce pauvre marin rescapé lui faire non de la tête. Non c’est inutile. Le Capitaine a été emporté. Des larmes de colère affluent dans ses prunelles noires. Tout, elle a presque tout perdu en l’espace de quelques minutes. Le moins qu’elle puisse faire, c’est sauver ce vieux rafiot et le reste de l’équipage encore sur pied. Heureusement, elle sait naviguer et plutôt bien d’ailleurs. En tant que fille du Capitaine, elle a souvent eu l’occasion de tenir la barre lorsque ce dernier se reposait ou buvait un coup avec ses marins. Avec précision, elle guide le bâtiment et des émanations de son cosmos englobent la coque, la protégeant des rochers tel un bouclier géant. A force de méditation, elle est parvenue à une excellente maîtrise de son cosmos et le façonne à sa guise. Ses marins sont sous le chocs et ne voient de toute façon pas cette aura invisible, le secret est donc préservé.

    L’appel


    Après l’épisode de la tempête, Asteria a quitté les mers des caraïbes. En deuil de deux hommes chers à son coeur, elle a souhaité mettre de la distance physique entre elle et toute ce qui pourrait les rappeler à sa mémoire. Pendant deux ans elle a écumé les mers pour se changer les idées. Après un long périple dans son navire réparé dont elle avait prit le commandement, elle s’est quelques peu stabilisée, se cantonnant à l’océan Indien. Amasser des richesses était la seule chose qui comptait à présent. Du moins ça, et Atlantis. Elle ne désespérait pas d’en entendre parler un jour.

    Cigare en bouche, regard perdu à admirer le soleil couchant, elle est en paix. Elle a eu le temps de faire son deuil, de pleurer ses morts et d’avoir de nouveaux projets lui occupant l’esprit. L’un deux venait d’ailleurs à sa rencontre. Elle est surprise, mais un sourire vient se nicher sur ses lèvres alors qu’elle se penche contre le bastingage.

    - Mère, quel plaisir de vous revoir.

    Evgenia salue sa fille et monte sur le bateau.

    - Heureuse de te revoir aussi ma fille. As-tu eu la vie que tu voulais ?

    Une ombre dans le regard, Asteria opine. Elle ne peut pas dire qu’elle n’a pas eu de bons moments. Elle ne regrette pas d’être partie, car même si ce fut court, ce fut intense. Elle pense en particulier à son amant. Même après avoir fait son deuil, elle avait toujours un pincement au coeur en pensant à lui. Il avait su l’apprivoiser, nul autre ne pourrait. Elle ne le voulait pas, ne le permettrait pas.

    - J’ai découvert les océans et leurs merveilles. J’ai amassé des richesses à ne plus savoir qu’en faire. Je suis prête à quitter cette vie. J’ai vu ce que je voulais voir, vécu l’essentiel… J’aimerai rentrer à la maison.

    La mère sourit et opina à son tour.

    - Très bien. Cela tombe bien car le moment que nous attendions est arrivé. Chrysaor est libre et j’ai enfin pu convaincre le Légat de te la réserver. Il faudra que tu fasses tes preuves mais ce ne sera qu’une formalité.

    Le bateau est laissé sous la bonne garde de ses fidèles et loyaux marins puis le duo mère-fille se rend à Atlantis. L’armure lui est accordée à la condition qu’elle réussisse une mission testant sa loyauté envers les Atlantes.


Et vous, qui êtes vous ?

    Age : 30
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    Code:
    [b]Original Character[/b] → [i]Cutthroat Kaari kalou[/i] est [b]Asteria[/b].
    Quelle est votre expérience des forums RP : TC & co’
    Comment avez-vous connu le forum : TC

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OrpheusOrpheusArmure :
Légat

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Message Re: Asteria Sefirot - Général de Chrysaor (terminé)   Asteria Sefirot - Général de Chrysaor (terminé) EmptyDim 31 Mai - 19:00
Kikou.

Je te valide niveau 5 d'éveil pour le titre de Générale de Chrysaor ! Tu possèdes donc 21 PC et 500 points d'XP liés à ton éveil pour ta Fiche Technique.

Je me demande quelle est la mission que ce Légat va te donner °° °° °° °°
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