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 Aelinor ~ En Guerre avec soi-même

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AelinorAelinorArmure :
Cuirasse du Jij

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Message Aelinor ~ En Guerre avec soi-même   Aelinor ~ En Guerre avec soi-même EmptySam 25 Juil - 20:28
Aelinor
Qui est-il ?


    Nom : Aelinor
    Date de naissance : 11 septembre 520
    Âge : 32 ans
    Sexe : Monsieur
    Armure demandée : Cuirasse de la Guerre


Comment est-il ?

    Apparence et Psychologie :

    Du haut de son 1 m 83, Aelinor domine quelques têtes et peut aussi raccourcir celles qui lui bloquent la vue. Ses yeux sont un mélange délectable entre l’or et le chocolat, ses cheveux une touffe épaisse et difficile à maîtriser. Il est très fort physiquement en général, du fait de son métier. Il a l’allure d’un travailleur, plus un ouvrier qu’autre chose. Il choisit ses tenues pour leur côté pratique et fonctionnel plutôt que pour leur esthétisme : de condition modeste, il n'a aucun besoin d'attirer l'attention et aucune richesse particulière à étaler. Cependant il est arrivé parfois qu'il se vête d'habits un peu plus soignés pour faire plaisir à sa femme et en de grandes occasions, la première étant son mariage.
    Une large cicatrice lui barre la joue gauche et une partie du nez, récoltée pendant l'une de ces périodes d'absence qu'il craint particulièrement.

    Autrefois très doux, compréhensif et attentionné malgré ses airs bourrus, il a fortement changé depuis l’accident. La mélophobie est désormais son trait premier, suivie par un caractère aigri, résigné, tendant plus vers le désespoir. Son amour pour sa femme et son fils est intact, mais il a conscience de s’être coupé d’eux trop brutalement pour pouvoir retourner vivre avec comme si de rien n’était. Il va là où on veut bien de lui, où sa violence ne sera pas un problème. Le goût du sang commence à lui venir, et cela le dégoûte d'autant plus de lui-même.
    Quand il compare les souvenirs de sa vie passée avec sa condition actuelle, il ne peut pas s'empêcher d'en vouloir à Poséidon. Il était censé vivre dans une ville pratiquement utopique, et il se retrouve au fin fond des terres, à rechercher le conflit sans répit.

    Et puis il y a elle, qui brouille peu à peu son humanité. Il en a peur autant qu'il se laisse volontiers guider par sa soif de sang, seul repère à peu près tangible de sa nouvelle existence.


Son Histoire

    Le début de l’histoire est un peu banal. Un garçon naît dans une famille modeste, grandit et apprend sous la protection de parents aimants, faisant de leur mieux pour lui fournir une éducation digne de ce nom et lui transmettre un nom qu’il sera fier de porter. Ah, mais il faut préciser que la famille en question est Atlante ! Un petit coin de paradis quelque part au fond de l’océan, vous situez ? Bien.

    Et donc notre petit Atlante, Aelinor de son prénom, évolue au milieu des murs blancs et de l’orichalque, bercé par les légendes des grandes familles, entouré par les Piliers qui soutiennent l’océan, rencontre une fille qui lui plaît bien, fait sa cour, finit par se marier, est heureux en ménage, finit par avoir un adorable garçon qui sera forcément le plus beau du monde à ses yeux. Jusque-là, tout le monde connaît à peu près la chanson.

    Ce que ce père de famille fait pour subvenir aux besoins des siens ? Il est principalement ouvrier sur des chantiers de construction. Il bêche, il ratisse, taille des blocs de pierres en tous genres, pose des fondations, monte des murs, des charpentes, des plafonds, des fenêtres, déménage des meubles, lit des plans, utilise les matériaux qu’on lui donne selon les directives qu’on lui donne. Bref, c’est un homme à tout faire quand il s’agit de faire sortir un bâtiment de terre. Ou de mer. Enfin, vous avez compris. Et puis le soir, après le boulot, il aime bien aller passer une heure ou deux à la taverne, pour se détendre, relâcher les muscles sollicités toute la journée, passer du bon temps avec ses collègues. La routine.

    Sauf ce jour-là. C’était en août 550, dans sa bicoque préférée. Pas une taverne de grand renom, et la boisson pouvait être discutable, mais le lieu avait pour avantage d’être situé près de son chantier en cours, tenu par un ami et suffisamment bien fréquenté pour qu’on y évite les bagarres et les jeux un peu trop risqués. Presque tous.

    Deux hommes. C’est tout ce qu’il avait fallu pour bouleverser le cours de l’existence d’Aelinor. Le premier, bien connu dans la cité, deviendrait dans un futur pas si lointain la Voix de Poséidon. Le second, parcourant les jalons du monde en toute liberté, deviendrait un autre futur pas si lointain la Voix d’Apollon.
    Ce dernier s’était mis à jouer. Une musique entraînante, envoûtante même, libératrice. Personne n’avait pu ignorer sa musique, et chacun y avait répondu à sa manière : certains dansaient, d’autres chantaient, dans un joyeux mélange festif. L’ouvrier avait fait parti du dernier groupe. Celui qui s’était mis à peindre. Emporté par la frénésie générale, Aelinor avait cherché à participer à l’œuvre vivante qu’on lui proposait. Sa voix de ténor sonnait atrocement mal, ses pas s’emmêlaient entre les chaises et les tables, alors il avait trouvé autre chose à faire. La bouteille qui lui servait de remontant avait fini brisée et à l’aide d’un tesson il s’était tranché sur la longueur de l’avant-bras, disposant ainsi d’un matériau d’une couleur exquise pour embellir cet endroit qu’il appréciait. Au milieu d’une troupe dont les membres s’imitaient les uns les autres, il avait commencé à dessiner les deux amours de sa vie, un sourire extatique aux lèvres.
    Son ouvrage seulement entamé, une autre mélodie avait alors résonné en réponse à la première : le chant des sirènes, connu à Atlantis tant comme un symbole patriotique que comme un avertissement envers les ennemis de Poséidon. Les deux musiques s’étaient entrechoquées, annulées, laissant les mortels tiraillés dans leur esprit, dans leur chair.

    Cela n’avait duré qu’une poignée de minutes, mais quand ils se réveillèrent, les habitués de la taverne se regardèrent, choqués. Ce sang, à qui était-il ? Pourquoi teintait-il les murs ? Pourquoi avait-on fait cela ?

    Dans la cacophonie des dernières notes hantant les esprits, Aelinor oublia qui l’emmena se faire recoudre, comment il se retrouva chez lui, assis au fond de son canapé, à fixer la cithare que son fils aimait utiliser à ses heures perdues.

    « Chéri, ça va aller ? »

    Il tourna la tête vers la douce créature qui partageait ses nuits, revit l’espace d’une seconde l’horrible portrait de sang qu’il avait fait d’elle.

    « Je… Je ne crois pas…
    -C’est fini maintenant. Le sort, quel que soit son auteur, n’a plus d’effet. Je vais te le prouver. »

    Un doux sourire au visage, elle s’approcha de l’instrument de son fils, tandis que son mari se crispait sur son siège.

    « C’est pas une bonne idée. »

    Elle lui lança un regard triste, positionna ses doigts sur les cordes, et commença à jouer quelques accords très simples. Aelinor sentit son esprit s’effondrer sans pouvoir rien y faire. Un blanc coupa court à ses réflexions pendant un temps indéfinissable.
    Quand il revint à lui, il s’aperçut qu’il avait bougé. Du canapé, il s’était levé, rapproché de sa femme. Il tenait sa gorge entre ses larges mains, prêt à la broyer, sous son regard épouvanté. Il lâcha aussitôt, balaya les alentours pendant qu’elle avalait l’air à grandes goulées libératrices. La cithare était réduite en charpies au sol, ainsi qu’une petite table de salon. Il avait levé la main sur sa moitié. Et son fils, accouru à l’entrée de la pièce, le regardait sans bouger avec des yeux ronds.

    « Qu’est-ce que… Qu’est-ce qu’il vient de se passer ? »

    Retrouvant son naturel, il s’excusa platement, prit sa femme dans ses bras longuement. Elle lui expliqua qu’il avait cédé à la folie sitôt la mélodie débutée. Son regard avait changé, il avait hurlé comme jamais, pulvérisé l’instrument en lui répétant de ne plus jamais en jouer. De ne plus jamais chanter en sa présence.

    Cela, visiblement, constituait une séquelle de la taverne. Ils se mirent d’accord pour qu’il demandât un congé exceptionnel sur son chantier, qu’il allât consulter un ou plusieurs médecins capables de comprendre le phénomène. D’autres ouvriers avaient rencontré le même problème. On les mit en quarantaine. On tenta plusieurs fois de faire jouer un barde juste quelques secondes pour vérifier si le mal persistait. Et il persistait. Alors les patients devenaient violents, attaquaient. Certains ne revenaient pas de leur folie. On les abattait pour protéger Atlantis.

    Aelinor prit la décision de s’éloigner des siens. Il ne voulait jamais plus voir cette expression sur le visage de son fils. Ni sentir la poigne de sa femme le repousser. Il leur adressa des adieux brefs, démissionna, quitta la ville avec quelques économies, des affaires de rechange et des vivres.

    Il erra. Des semaines. Qui devinrent des mois. Par moments il songeait à faire demi-tour, alors il se rendait en ville, cherchait s’il y avait un musicien dans les environs. Confirmait qu’il n’était pas guéri. Que son état s’aggravait même. On l’arrêta pour coups et blessures. Une fois. Trois fois. Dix fois. Son visage reçut les traces de sa folie. Il fut banni de certains villages en Francie. Il cherchait à s’éloigner toujours plus d’Alexandrie, de cette Arche qui le ramènerait auprès des siens.

    Avec tout ce temps pour réfléchir à son sort, à rendre de menus services pour se faire un peu d'argent et survivre, Aelinor perdit peu à peu l'espoir insensé de guérir un jour. Il n'avait même aucune idée de ce pourquoi ces musiques le rendaient fous depuis le départ. Il savait seulement qu'il s'agissait de deux Éveillés, qu'ils s'étaient en quelque sorte affrontés en pleine taverne et que les malheureux spectateurs qui avaient eu le malheur d'être incapables de créer quelque chose d'inoffensif s'étaient saignés par imitation. Une bien maigre piste. Alors il continua à chercher un endroit où, s'il cédait encore, ses absences ne feraient de tort à personne. Où peut-être il pourrait apprendre à les contrôler.

    Mais un jour quelque chose se brisa définitivement. En plein cœur de la Dacie, dans un endroit retiré du monde où des parias de son genre pouvaient espérer une vie tranquille, il entendit un rythme. Des tambours. De guerre. Il sombra. Cette fois, il ne savait pas d’où provenait le son. Qui jouait. Quand cela s’arrêterait. Alors la folie dura. Longtemps. La rage. La violence.

    *

    Une présence différente des autres l'entoura, emplie de puissance. Elle ne parlait pas vraiment, mais sans qu'il s'explique pourquoi, il pouvait la ressentir.

    Nourris-moi.

    C'était impérieux. A la fois vague et incroyablement limpide. Il obéit. Elle lui dicta comment s'y prendre. A chaque os brisé, à chaque muscle éclaboussant l'espace, Aelinor pouvait deviner sa satisfaction, son enthousiasme. Et tout semblait si simple. Elle voulait, il lui donnait. Le monde s'arrêtait là, tant que la musique retentissait au loin.

    Je peux réveiller ton pouvoir. Oublie-les. Oublie-Le.

    L'Atlante comprit que l'entité lisait son âme. Sa famille succomberait à ce qu'il était devenu. Atlantis le rejetterait. Alors elle lui offrait une place ailleurs. Tout ce qu'il avait à faire, c'est donner ce qu'elle voulait.
    Et ce qu'elle voulait, c'était du sang. Ce qu'elle voulait, c'était tuer. Faire plier les Hommes comme les dieux à sa loi.

    ***Pourquoi moi ?***

    *

    A son réveil, le dernier tambour était transpercé de la tête d’un homme. Entre ses mains. Seulement la tête. Ses mains étaient couvertes de gantelets. Non, en fait tout son corps. Une sorte d’Ecaille, mais différente. Elle semblait ronronner. Repue. Aelinor releva la tête. Un carnage sans nom autour de lui. Du sang partout. Des morceaux humains. Des décombres. Des bâtisses en feu. Une odeur de fer et de flammes. Le silence d’un village.

    « Qu’est-ce que… j’ai… fait ? »

    Une partie de la réponse s'imposa alors à son esprit sous la forme d'une flaque de sang reflétant son image souillée. Il avait déjà sombré. Il avait déjà obéi. Il avait deviné de façon fragmentaire ce qu'elle était, qui elle servait. Il avait obéi et donné ce qu'elle voulait. Faire marche arrière maintenant ? Impossible.

    « Et si ce n'était pas ce que je voulais, hein ? Pourquoi déciderais-tu pour moi ! »

    Un râle de douleur attira alors son attention plus loin. Oubliant qu'il était responsable du carnage, il se dirigea dans sa direction, trouva une femme à la cage thoracique ouverte, qui n'avait probablement que quelques secondes à vivre encore. Près d'elle, une enfant désarticulée comme une poupée.

    Tue.

    Elle avait laissé un soupçon de vie pour lui. Maintenant il devait couper le lien. Les imaginer eux, les tuer eux. S'il ne pouvait pas les avoir, alors personne ne pourrait.

    La Guerre soumet même les dieux. Tue-les, et tu seras digne d'elle. La musique n'a fait que te révéler à ta vraie nature. Tu veux plus. Tu veux tuer.

    L'entité lui montra une brique tombée plus loin. Il s'en saisit. Dans le regard de la femme au sol, l'horreur.

    « Arrête de me regarder comme ça. »

    Des larmes dégoulinaient, mêlées au sang, le long de son visage. Elle fronça les paupières, de toute façon elle n'en avait plus longtemps. Mais cela énervé Aelinor, c'était pire si elle se détournait de lui ! Il gronda. Arma son bras. Abattit son arme de fortune. L'entité apprécia, il n'avait pas hésité dans son geste. Il s'acharnait même, jusqu'à ce que ça ne ressemble plus au visage d'une femme. Pour être bien sûr.

    « Là, tu ne me manqueras plus de respect. »

    Il caressa le bout de mâchoire encore en place, encore chaud.

    « Je peux faire taire la musique. Je peux tous les faire taire. Il suffit que je te donne du sang hein ? »

    La vérité lui apparut simple tout à coup. Tuer, pour se délivrer. La musique de l'étranger lui avait désigné ses chaînes affectives. Celle du patricien, ses chaînes sociales. Maintenant il était libre de laisser parler ses pulsions primaires. Libre de créer sa voie loin des codes. Il suffisait d'écouter l'appel du sang. L'appel de la Guerre.

    Arès te libèrera.



Et vous, qui êtes-vous ?

    Age : J’ai plus la carte Jeune à la SNCF.
    Avatar : Le nom du personnage de votre avatar, présenté de cette manière :
    Code:
    [b]Fire Emblem[/b] → [i]Tibarn[/i] est [b]Aelinor[/b].
    Quelle est votre expérience des forums RP : Euh… Beaucoup. La vache, 15 ans en fait.
    Comment avez-vous connu le forum : D’habitude je suis plutôt nymphe, oâzo, et serpent géant. Et j’adore les lions. Sauf Childéric, lui il a cassé ma famille. Et j’arrête pas de casser le code. Mais je fais des efforts, promis !



Pseudo
La suite de son histoire

    Si l'histoire de votre personnage est trop longue pour tenir sur un seul post, vous pouvez la continuez ici.




Dernière édition par Aelinor le Dim 26 Juil - 19:54, édité 2 fois
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Message Re: Aelinor ~ En Guerre avec soi-même   Aelinor ~ En Guerre avec soi-même EmptySam 25 Juil - 23:36
Alors, quant à ta présentation, il y a des idées intéressantes, comme d'avoir repris le Rp entre Orphy & Cucu pour enchaîner et vivre les effets de la musique de ce dernier. Si le point de départ est intéressant, le reste laisse un peu à désirer. Si c'est passé très (trop) rapidement sous silence certains des éléments qui vont faire de ton personnage un élu d'Arès. Alors la notion d'élection est plus trouble chez les cuirasses que chez les autres armées, mais on reste fatalement juste sur un Atlante random parti de chez lui qui est un peu énervé quand il entend des musiciens.

Pourquoi une cuirasse, qui plus est celle d'un cardinal va le choisir ? Il y a un squelette qui amène cette élection, mais il est passé trop rapidement sous silence pour que ça soit valable pour une cuirasse de cardinal. En l'état, c'est léger (que ça soit pour ce que je t'ai dit dans l'histoire ou pour les descriptions physique comme morale) pour être validé avec l'éveil 5.

Donc deux options pour toi : soit tu pars éveil 4 avec cette pres' mais une cuirasse argent ou bronze, soi tu prends le temps de revoir les points que j'ai soulevés ici.
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Message Re: Aelinor ~ En Guerre avec soi-même   Aelinor ~ En Guerre avec soi-même EmptySam 25 Juil - 23:46
Je vais travailler ça un peu plus alors !
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Message Re: Aelinor ~ En Guerre avec soi-même   Aelinor ~ En Guerre avec soi-même EmptyDim 26 Juil - 20:05
V2 en ligne ! è_é
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Message Re: Aelinor ~ En Guerre avec soi-même   Aelinor ~ En Guerre avec soi-même EmptyMar 28 Juil - 2:16
Elo !

Du coup, on s'est concerté de notre côté et après relecture, on s'est mis d'accord sur un gros Eveil 4 pour la présentation : c'est bien écrit, mais ça manque un poil de développement vis-à-vis du personnage pour justifier un rang de Cardinal. à voir ce que l'avenir réserve à Aelinor, mais en ce qui concerne le présent, il va falloir opter pour soit une Cuirasse Silver, soit une Cuirasse Bronze.

Ca mis à part, rien de plus à redire, sympathique exploitation du rp, ça sera intéressant de voir comment le perso évoluera à plus long terme ! Simple petite remarque, cela étant : même si c'est tout à fait indirect, n'hésite pas à prévenir les joueurs concernés à l'avenir si tu pars pour utiliser leur personnage dans ta présentation, ça coûte rien :p

On te laisse nous dire quelle Cuirasse te fait envie, et on pourra procéder à la validation de suite après !
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Message Re: Aelinor ~ En Guerre avec soi-même   Aelinor ~ En Guerre avec soi-même EmptyMar 28 Juil - 15:41
Hummmmmmmmmmmmm...

Je pense que je vais aller embêter Mérion avec la cuirasse du Jij alors °°

Et dsl pour les mentions, à la base je voulais faire la surprise mais... vu que c'est pas passé exactement comme je le pensais... °°"
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Message Re: Aelinor ~ En Guerre avec soi-même   Aelinor ~ En Guerre avec soi-même EmptyMar 28 Juil - 15:42
C'est roule, je te valide ça donc Wink Avec l'éveil 4 & les 18 PC qui vont avec.
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