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 Adeline, Berserker du Sarcophile.

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AdelineAdelineArmure :
du Sarcophile.

Statistiques
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Message Adeline, Berserker du Sarcophile.    Adeline, Berserker du Sarcophile.  EmptyMar 10 Nov - 10:31
Adeline
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    (Aussi appelée Adelheid, Mimose)
    Jeune fille née le 2 Février 535, âgée de 15 ans. ■ Cuirasse du Sarcophile. (Diable de Tasmanie)


Quelques mots sur elle seulement.

Adeline était une enfant au tempérament plutôt doux et chaleureux, bien qu’un peu turbulente. Elle souriait les dents serrées, riait, grimpait aux arbres et avait un faible pour les mauvaises blagues… Très à cheval sur ses valeurs, c’est sa révolte contre la condition d’esclave (et de jeune fille, qui plus est) qui a forgé le sale petit caractère de cochon qu’on lui connait. D’abord énervée, puis scandalisée contre tout et rebelle, elle a longuement rejeté toute forme d’Autorité. La vie qu’elle a menée jusqu’ici lui a apprit à faire preuve de sang froid, a juger les situations auxquelles on la confronte – Adeline est extrêmement réactive, et plutôt perspicace.
Mais elle aura beau souhaiter le contraire, elle manque encore énormément d’expérience de la vie, et son émotivité peux aisément la desservir… Forcée à « être adulte », elle à préservé son immaturité comme un bout de pain qu’on défend, inconstante, tout en adoptant des positions très fermes sur tout un tas de choses. Brute et refusant d’être taillée, elle en est restée toute bosselée. – Même si cela ne se voit pas forcément.

Elle est même très lisse. Claire, polie, plus d’un la qualifierait de jolie. (N’entendez pas là «aimable », en sens de « pleine de bonne manière ». Elle en est capable cependant, encore faudrait il qu’elle le veuille bien. Ce n’est pas comme si on ne les lui avait enseignées en long en large et en travers.) Le charme opère jusqu’à ce qu’elle ouvre la bouche… Ou que ses yeux, d’un marron si vif, si sanguins qu’ils paraissent rouges, se posent sur vous.
Adeline à la peau pâle et souple, encore empreinte de la douceur précédant l’adolescence. Ses traits eux aussi sont doux, équilibrés, adorables. Son bouche et son nez petits, ses yeux en amandes aux paupières fines, soutiennent quotidiennement ses moues et ses grimaces. Malgré tout, elle n’échappe pas à son joli visage (le regard d’autrui lui est très désagréable.) Son corps, elle n’y pense pas encore : il est en pleine transformation. La jeune fille a toujours été plutôt petite – elle dépasse de peu le mètre soixante, et le parait d’autant plus qu’elle est très frêle. Fine, avec des bras maigrelets manquant de contraste, un peu comme ses jambes. Ses formes se dessinent petit à petit, cependant – et elle s’en passerait bien. Sa poitrine c’est développée, et ses hanches lui emboitent le pas. Ses attitudes, quand à elles, commencent à chavirer..

Passer du statut d’esclave à celui de Chevalier n’est pas sans impact ni conséquences. Á sa façon, Adeline tâche de « mieux » endosser son rôle. De faire preuve de sérieux, et même d’un peu de classe – histoire d’être crédible. Cela ne l’empêche pas de faire, encore très régulièrement, preuve d’excès d’immaturité et de grands gestes que l’ont prêterait volontiers à en enfant. Sa dévotion, cependant, est jusqu’ici sans faille. Elle n’a pas beaucoup été mise a l’épreuve, mais la jeune fille, profondément en colère contre son temps, trouve du sens dans ce rôle dont on l’a apprêté – bien qu’elle soit très loin, encore, d’en avoir cernée complètement les tenants et aboutissants…

Histoire
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■ La jeune fille leva à peine les yeux, les sourcils légèrement froncés, le regard noir, le corps raide, pour incliner légèrement la tête devant son nouveau maître. Le regard qu'il portât sur elle mêlait en une alchimie parfaite indifférence et mépris. Il la jaugea à peine, et indiqua d'un signe de la main qu'on pouvait « la retirer » - ce qu'elle fit sans se faire prier.
Vêtue d'une simple robe blanche, la jeune esclave produisait un son un peu trop fort et sec alors que ses sandales grossières claquaient sur le sol de marbres. Tous pareils, de toute façon. « Tu serais bien avisée de faire moins de bruits. » Ce ne sont pas des manières, gnagnagna. Le ton de l'homme qui s'adressait à elle (maigrelet et au nez pointu) était sec et intransigeant - encore un qui se prenait pour un petit chef. Il la trimbalait depuis presque une demi-heure déjà. C'était conséquent, vu son manque critique d'importance. Et c'est avec plaisir qu'il se débarrassa d'elle en cuisines.

Quelques visages se tournèrent vers elle, absents eux aussi. Une gamine de plus, voilà ce que venait d'incarner Adeline. Sa façade polie de tout à l'heure s'était complètement décomposée, pour exhiber au grand jour son caractère de cochon. Les lèvres lourdes et les épaules serrées, elle n'eut pour ces nouveaux « complices » qu'un air mal-aimable. C'était la troisième domus déjà ou atterrissait la jeune fille. Cette fois ci, son maître précédent avait profité d'un compliment à son égard ("Joli minois") pour l'offrir gracieusement. Elle avait n'avait évidemment posé que des problèmes, et il n'avait été que trop heureux de se récolter quelques faveurs tout en se défaisant d'un élément gênant.
Excellant à l’épluchage des Navets (elle savait au moins faire ça. Et puis d'ailleurs, elle savait parfaitement faire beaucoup de chose - c'était juste la générosité qui lui manquait.) la demoiselle jetait par ci par là des coups d’œil rapides, jaugeant son nouvel environnement. La cuisine était propre, les esclaves nombreux. Le marbre vert avait laissé place à une pierre froide mais lisse, ne laissant aucun doute quand à la richesse du maître de maison. Ils avaient certainement jugé bon de la laisser ici dans l'espoir qu'elle se fonde dans la masse... Cela ne lui déplairait pas forcément.

« Bonjour. » -dit une voix dans son dos - sursautant, la jeune fille fit immédiatement volte face, le couteau encore à la main, provoquant un mouvement de recul. C'était une vieille (entendez par la qu'elle devait avoir la trentaine) sur le visage de laquelle perdurait la trace d'un sourire avenant, encadré par de longues mèches de cheveux grisés, chaotiquement ramenés dans sa nuque en une queue de cheval. Elle était grande, et Adeline devait lever la tête pour regarder son visage. Sans abaisser son arme, elle rétorqua « Bonjour. » (Ce genre de comportement lui avait déjà valu réprimandes et une fois, marché aux esclaves) La femme se tut un instant, puis parut amusée. "Je vais récupérer ce que tu as déjà épluché, si tu veux bien. « Hm. »


Le dortoir des femmes était assez grand et jonché de couches simples. Un luxe, dont Adeline avait tôt fait de profiter en adoptant un lit dans un coin, placé un peu à l'écart du fait d'un des piliers soutenant la voûte. Un feu plus généreux que les quelques torches siégeait au centre de l'espace, éclairant les silhouettes des femmes rassemblées autour de lui. Elle parlait tranquillement les unes avec les autres, profitant de ces quelques instants de répits ou elle pouvait vivre « leurs vies » avant de se coucher. Adeline les observait du coin de l’œil, le visage enfoncé entre ses bras. Elle avait croisé beaucoup, beaucoup de gens au cours de cette dernière année… et ne s'était lié avec à peu près aucun. Ça lui convenait, ainsi.
La jeune fille ferma les yeux, et laissa petits à petit les sons s'éloigner de son esprit… Pour percevoir la pièce, la maison, la ville. Petit à petit elle s’enfonçait dans l'univers, pulsant avec lui. On marchait dans la maison, deux servants s'y affairaient encore dans une pièce voisine, des éclats de voix et des souffles rebondissaient sur les murs d'une autre. L'air passait, dans un constant flux et reflux, entre les pièces et dans les couloirs, contournant les colonnes pour s'engouffrer dans le dortoir. Son esprit se vida lentement et s'apaisait. C'était son répit.



« Kfff. » Elle avait cette mauvaise habitude de serrer les dents, et de grogner parfois. A défaut d'insulter les maîtres, elle leur crachait dessus. A défaut de pouvoir se mettre sur un pied d'égalité, elle refusait de leur obéir aveuglément. Chaque jour était une rébellion, même maigre, jusqu'à la rognure d'ongle lâchée dans le bouillon. Qu'ils s'étouffent avec. Les muscles tendus, la foudre dans les yeux, elle faisait face à l'homme au nez pointu. Il tenait sa main gauche dans la droite, l'air scandalisé, du sang perlant entre les plis de sa peau. Cette fillette, de treize ans tout au plus, avait dépassé les bornes. « Ça suffit. »
Depuis son arrivée, Adeline n'avait cessé de reproduire les comportements qui l’avaient amenée ici. Baladée de maison en maison, elle l'était tout simplement parce qu'elle savait se montrer odieuse - tout en prenant soin, la plupart du temps mais pas toujours, de flirter avec les "limites" qui lui coûteraient cher. Et c'était un miracle, peut être, qu'elle soit encore en si bon état. Car bien sur, elle avait été amochée et elle le serait encore. Ce jour là s'ajoutèrent à sa collection quelques cicatrices supplémentaires - elle avait apprit à s'enorgueillir de sa "résistance", serrant les dents de plus belle, et n'adressait pas un mot à qui que ce soit ces soirs la.

Malgré tout, la dame aux cheveux grisés venait, de temps en temps, près de sa couche ou à coté d'elle en cuisine pour lui demander comment elle allait, tenter de communiquer un peu. Elle avait fait ca souvent déjà, sans grand succès, et ne semblait pas tout à fait se décourager. Cette fois ci, comme d'autres avant, Adeline ne lui adressa comme réponse qu'un silence boudeur et un détournement stratégique, reniant cette approche avenante. Elle s'appelait Paule - ici, nombre des esclaves et servants la respectaient, parce qu'elle était au service de la famille depuis longtemps. Et toujours avenante, efficace, dispose. Elle avait, en plus de cela, une capacité surprenante à être à l'écoute de ses pairs. Cela déplaisait à Adeline.


Cela ne l'empêchait pas de lui laisser la charge de panser ses plaies, et même un jour, de se tenir à son chevet alors qu'elle était malade. Une vilaine fièvre avait gagnée la ville, évinçant les rixes entre anciens Romains et Ostrogoths pour focaliser l'attention générale sur la santé des hauts lieux locaux. Les serviteurs mouraient et s'entassaient, au même titre que la plèbe. Mais la maladie n'était pas "affreuse" - les plus faibles succombaient, voilà tout. Il n'y eu pas d'autres atteints dans la domus qu'Adeline, qui suscitait l'indifférence générale (l'homme au nez pointu n'avait pas parut très peiné par la nouvelle), ou presque. Sa couche se retrouva parfaitement isolée des autres, et seule une personne prit la peine de lui apporter des soins.
Paule allait et venait entre les tâches qui lui incombaient et la couche de la jeune fille. Du haut de ses douze ans, elle paraissait désormais bien vulnérable - maigre et en sueur, sa peau blême révélant ça et la les traces laissées par ses punitions. Elle accueillait mal ceux qui venaient la voir, et respirait fort - mais depuis quelques heures, la fièvre avait montée et ses jurons laissés place, de temps à autres, à des soupirs plaintifs. Patiemment l’aînée lui apportait des tissus frais et épongeait son front, plaçant même verre d’eau et croûtons pour qu’elle puisse se ressourcer en son absence (la tête de nœud ne le faisait pas devant elle). C’est alors qu’elle appliquait une énième fois le tissus humide sur son visage que Paule se permit d’ajouter « Tu sais, je te ressemblais beaucoup, avant. »

« Mon œil. »
S’était elle contentée de répondre, les yeux clos sous la compresse, toujours immobile. La jeune femme à son chevet émit un léger rire, et continua son entreprise. « Si, je te jure. » Le feu crépitait doucement au centre de la pièce, presque vide – à cette heure du soir, les maîtres étaient encore affairés à festoyer, et les autres esclaves à leur service. « Je ne supportait pas cette condition, alors je leur pourrissait la vie. »
Elle n’ajouta rien de plus, mettant à mal la curiosité de la jeune fille malade, qui s’enorgueillit à ne rien dire pour autant. La femme quitta son chevet, pour revenir quelques heures plus tard. La gamine dormit un peu, se réveillant souvent, buvant un peu d’eau, le corps courbaturé et la vue brouillée. C’était pénible. Désagréable. Ptêt’ qu’elle allait crever. – Et ca ne ferait sans doute de mal a personne. Elle ne s’en plaindrait pas plus que c…

« D’où viens tu ? Tes cheveux sont si pâles. » Adeline tourna vers Paule l’un de ses yeux bruns, lentement. La fièvre brouillait sa vision. « Je sais pas. » - répondit-elle un peu sèchement. Elle était gentille, quand même… C’était la combientième fois qu’elle venait déjà ? Aucune idée. Beaucoup-ième. « Ah ? » La jeune fille ne répondit pas… Elle sombrait déjà à nouveau.
La fièvre montait. La nuit avançait avec elle, permettant à son ange gardien de rester à ses cotés… au détriment de ses propres heures de repos. La distinguant entre deux moments d’inconscience, Adeline lui serrât les dents – la faisant sourire. Il fallait croire que Paule l’aimait vraiment bien. Va savoir pourquoi…

La maison avait un toit recouvert d’une glaise grisâtre, qui, au soleil se parait de reflet bleutés qu’elle avait toujours aimé secrètement. Elle jouait dans le jardin, et Agnés l’y rejoignait avec son éternel sourire. Elles jouaient ensemble et regardaient les plantes – l’oncle d’Agnès les aimait beaucoup, et savait pleins de choses dessus, tout était très beau.

Paule ressemblait un peu à Agnes. C’était a cause de ces petits plis, légers, qu’elle avait au coin des yeux quand elle souriait. Et un truc dans ses doigts, aussi, ouais, ses doigts. Ils étaient fins et doux, avec des petits ongles rongés – la couleur n’était pas la même, mais ses gestes… Adeline reprenait conscience, l’esprit assaillit par des bouffées de chaleur et des sueurs froides. Tout le corps douloureux, elle se redressait en sursaut et se retrouvée plaquée aussitôt contre le matelas par les doigts de Paule. Elle bût de l’eau, et demeura longtemps étendue. Petit à petit, l’air frais revint caresser sa peau…
« Avant d’atterrir ici, j’étais chez moi… -- Enfin. Dans une autre Maison, au Nord, pas en (Italie). Mes maîtres étaient différents. Tout était différent. » La salive lui manquait, remplacée par l’urgence de parler. Depuis qu’elle avait été arrachée aux territoires francs pour servir de nobles égocentriques, elle n´avait parlé de « chez elle » qu’une fois, et ne l’avais jamais refait. Balbutiant et tenant un discours un peu désordonné, elle parla à Paule de cet endroit qui lui manquait. C’était une famille aisée dont le maître de maison était un homme bienveillant et cultivé, qui lui avait permis de grandir avec sa fille en jouissant d’une certaine liberté. On lui avait tout apprit, et elle les avait servi de tout en se sentant un peu la sœur d’Agnès. Ca n´était pas toujours bien vu. Il était moderne. Elle avait presque le même âge. Depuis toute petite…



■ Le brouhaha s’élevait dans les rues, et atteint très vite l'ensemble des individus de la maisonnée. Les visages se levèrent et se déformèrent, alors que la situation se dessinait dans leurs esprits. Le territoire était secoué, depuis des années maintenant, par des rixes entre le peuple Ostrogoth qui se l'était approprié, et les Romains d'Orient qui avait décidé de le reconquérir. A en croire les éclats de voix et de fer qui gonflaient, le tour de cette ville était venu. Adeline fut parmi les premiers à lever la tête – les autres ne s'en rendirent pas compte tout de suite, et elle demeura immobile. Toute ouïe, elle se plongeait dans les environs… Les soldats étaient nombreux, et ils gagneraient la Domus dans une dizaine de minutes tout au plus. Alors que les mentons se redressaient dans la cuisine, sa silhouette fusa jusqu'à l'entrée. « Hey! » Si elle le faisait tout de suite, elle pourrait partir d'ici. Lorsque le plats de légume se déversa sur son passage, elle était déjà dans le couloir. Un coup d’œil a gauche, un à droite, et elle se précipitait vers l'entrée arrière. Les éclats de fer étaient plus proches de l'entrée principal. D'autres pas convergeaient dans cette direction – mais moins vite.
Elle dépassa l'entrée pour émerger dans la rue ombragée. Le soleil déclinait déjà, l'air était lourd et chargé d'odeurs. Ces conflits pouvaient se révéler très violent, et la panique gagnait les environs. Elle n'hésitât pas un instant, s’élançant vers la droite. Elle connaissait les environs. Face à elle il n'y avait qu'un long mur de glaise, la rue servait peu. Elle en atteignit vite le bout – au coin de la rue, la jeune fille eu une pensée -et un regard en arrière- pour Paule
Et heurta un plastron de fer. Adeline releva la tête, pour poser les yeux sur un – puis deux visages longs et anguleux, typiques des soldats Romains. Évidemment. Une vague de haine gagna la jeune fille à l'encontre de ces deux hommes qui baissaient sur elle leurs regards clairs. Il y eu une pulsation alors qu'elle portait violemment ses mains sur leurs torses, dans le but évident de percer entre eux. Ils frappèrent le sol avec violence, comme écrasés – et l'esclave les dépassa sans un regard en arrière.

Non loin de là, il y avait un bois. Quand Adeline en atteint l’orée, une fumée épaisse dans son dos s'élevait déjà jusqu'au ciel. Le tumulte était confus et lointain… Ce n'était pas la première fois qu'elle en entendait de tel. Elle considéra brièvement cette ville – ou elle avait passé un certain temps-, silencieuse. Si elle voulait se mettre hors de toute portée, assurer sa liberté… Cette forêt était encore bien trop près.


Son corps lévitait paisiblement, à près d’un mètre et demi du sol. La lumière était claire et les rayons du soleil, se glissant entre les feuilles des arbres, traçaient des motifs d'Or sur le sol et son corps clair. La sève se mouvait dans un flux et reflux constant au creux de troncs, tout s'activait dans un silence relatif - indiscernable pour ceux qui n’apprenaient à écouter. Ses paupières closes dissimulaient sa concentration. Son âme était parfaitement calme, troublée par aucun remous… Mais son esprit était en éveil constant, pour la maintenir en apesanteur. Un peu plus fort, un peu plus faible, un peu plus fort, un peu plus faible… Elle n’aurait jamais cru connaitre une telle plénitude. Elle dominait le monde. Et pouvait flotter éternellement, se soustraire à l’attraction du sol, en ne pensant qu’à un doux va et viens…

Les cheveux d’Adeline s’étaient tintés d’une couleur étrange, miraculeuse. Vêtue d’une simple robe blanche, elle avait adopté ce bois, tout en parvenant à ses fins sans mal. Voler ne l’avait pas empêché de trouver une grande sérénité d’esprit… Bénéficiant de tout son temps pour sa seule personne, elle avait prit le temps. D’apprendre. Comprendre les choses… Les tintements et frissonnements du bois lui étaient devenus doux et familiers – elle avait adopté la liberté, et malgré les jours heureux qu’elle avait connus au Nord, elle ne s’était jamais sentie aussi bien au par avant.

Ce jour la, la jeune fille avait posé une pierre au sol, qu’elle avait enroulée de quelques longues feuilles effilées. La lovant entre les brins d’herbe moelleux avec bienveillance, elle lui avait accordé quelques longues secondes, moins d’une minute. C’était sa pensée pour Paule. Puis elle s’était redressée et avait détourné ses pas pour s’enfoncer dans le lointain – elle avait fait tout ce qu’elle pouvait faire, et laissé derrière elle ses quelques remords sous la forme d’un caillou et d’yeux rougis.



■ Cette vie était trop brève pour ruminer. Lorsqu’Adeline fut capturée un soir par un trafiquant d’esclave, il était déjà trop tard pour regretter cette liberté dont elle avait joui pendant quelques mois. Elle voulut réagir mais en fut parfaitement empêchée – ficelée et enfermée dans une cage de bois, auprès d’autres malheureux. C’est ainsi que la rengaine reprenait, au couplet ou elle s’était arrêtée.

On la jeta, peu de temps plus tard, dans un cachot ou les gens présents avec elle sur l’embarcation se joignirent à beaucoup d’autres. Inutile de les compter pour les estimer à trop. Et elle savait très bien ou elle venait d’atterrir : dans l’enclos d’un trafiquant d’esclaves. Les évènements récents avaient du laisser beaucoup de fugitifs « dans la nature », et quelqu’un l’avait certainement repérée lors de ses promenades de ravitaillement, puis suivi pour mettre la main sur elle… Le claquement de sandales typiques de ces ordures s’approchât, raisonnant dans le couloir – un clac clac clac présomptueux et mesuré. L’homme se présenta, les cheveux courts, le sourire faussement bien heureux, les mains jointes dans son dos, dissimulées derrière sa stature bedonnante. Il les regardait de haut – et Adeline dardait comme un chien qu’on maltraite.
Il ne fallu pas longtemps pour qu’il s’arrête sur elle. Pour son joli visage, son corps fin, ses cheveux parés d’une teinte azurée coulants jusqu'à ses épaules et bien sur, son regard furibond. D’un geste de la main –le gras remuant faiblement a son bras potelé- il fit ouvrir la porte de fer qui le séparait de ses nouvelles marchandises, et amener Adeline –il l’avait montrée lestement, du bout du doigt- jusqu'à lui. (Il ne se serait pour rien au monde déplacé jusque dans le cachot, tout bon trafiquant d’esclave « sait qu’on ne fait pas des choses comme ca. ») Saisit par ses mains nouées derrière son dos, elle fut amenée sans douceur jusqu'à l’homme, qui la regardait l’air satisfait. Ou qui la regarda, plutôt, l’air satisfait, jusqu'à ce qu’elle lui crache au visage.

On coupa ses cheveux, et elle fut vendue le lendemain, à un prix très bas.
Comme tout esclave bon marche qui se respecte (ou disons, comme pour 80% des cas) elle atterrit dans une maison sordide. Où elle fut amenée, comme la veille, enchainée face au maitre de maison (on les lui avait posées avant de la vendre en précisant qu’elle avait un sale caractère). Celui-ci avait le visage long et le menton hirsute, des petits yeux clairs et brillants. De haute stature et plutôt muscle, il aurait sans doute été considéré comme « attirant » pour plus d’une s’il n’avait pas paru détestable et prétentieux. Bien sur, Adeline était prompte a mépriser les hommes, surtout riches et adultes – mais il avait l’air vraiment détestables et prétentieux. Il la saisit par le menton et fit tourner délicatement son visage, un sourire large aux lèvres, énonçant des commentaires qu’elle n’entendait même pas. Cette fois ci, elle ne cracha pas : se soulevant, elle lui assena un violent coup bas les pieds joints, et profitant de l’effet de surprise se retourna pour frapper comme elle le pouvait l’homme musculeux qui la retenait – elle faillit, et on quadrupla le nombre de ses entraves.
La jeune fille fit tout de même parler d’elle – on avait été surpris de la violence de son initiative, et le maitre –qui portait le nom d’Arrius-, avait du rester alité quelque peu, gémissant plaintivement dans le secret de sa chambre aux bras de ses servantes, souffrant –c’est vrai- de tres vilaines ecchymoses. Il pensa beaucoup a la petite esclave qui lui avait fait ca (la douleur la lui rappelait souvent, aussi), et malgré son mauvais comportement, la curiosité qu’il nourrissait a son égard alla croissante.
Elle pour sa part avait été mise en quarantaine après avoir tenté, une nouvelle fois, de faire du mal a l’un de ses bourreaux. Elle était parvenue, par on ne sait quel miracle, a se défaire une fois de ces chaines, et elle se retrouvait depuis dignement retenue. Adeline –tout le monde écorchait son nom par ici, et l’appelait plutôt Adelheid quand ca n’était pas Adelena, etc- c’était depuis calmée, et presque montrée docile. Le profil bas et silencieuse, elle attendait en fait son heure.

Arrius la fit appeler près d’une semaine et demie plus tard. On garda ses mains et ses pieds enchainés, mais la para d’une nouvelle robe, immaculée et bien plus élégante que celle qu’elle avait porte jusqu’ici. Ses cheveux furent brosses et retailles quelques peu, son corps lavé. Elle ne dit rien, et se surprit à trouver cela très agréable… Tout en se sentant un peu déstabilisée par cette situation – Elle était encore naïve.

Ne pouvant lui faire confiance, on l’attacha au mur. Les liens étaient déjà présents sur le mur, il avait suffit de l’y placer. La pièce, était une sorte de chambre. Et l’homme y entra d’un pas calme, a nouveau un sourire aux lèvres – non pas parce qu’il avait oublie comme s’était déroulée leur dernière entrevue mais parce que désormais, elle était impuissante . Elle ne s’était jamais considérée comme telle jusqu’ici, mais alors qu’il s’approchait d’elle suant la satisfaction, une vague d’appréhension la gagna.
« Tu t’appelles Adelena, c’est ca ? » Il était tout près d’elle désormais, et le menton haut, elle ne répondit pas – on l’avait surélevée contre le mur, et la surface sur laquelle étaient posés ses pieds était maigre. Ainsi entravée, elle ne pourrait faire de grands mouvements sans finir suspendue par les bras. Arrius était très fier de se dispositif. Il porta sa main droite au bras de la jeune fille, qui répondit à ce contact par un spasme violent « Ne me touchez pas !! » - Il souriait toujours et ne prêta pas attention à ses paroles, faisant glisser ses doigts le long de son bras, de la main vers l’épaule. Le rythme de son cœur s’accélérait, alors que cette situation la poussait dans un état de colère et d’impuissance qu’elle n’avait jamais connu jusqu’ici. « NE ME TOUCHEZ PAS. »
« Quelle âge as-tu, Adelena ? » Elle ne répondit pas, le regard assassin rivé sur lui, les soulèvements de sa poitrine trahissant la panique qui la gagnait. Il y porta le regard. La jeune fille avait atteint un âge ou les mariages étaient communs, bien qu’elle ne tint pas compte précis des années qui passaient. Il plaqua la paume de la main sur son sein. « JE VAIS HURLER. » Et rit – « Tout le monde s’en fiche. », tout simplement. Elle n’était qu’une esclave, ses choses là étaient courantes.
Il avait défait le haut de sa toge révélant un torse large et musclé, nu de cicatrices. Arrius était l’un de ces hommes formidablement riches et sans aucun mérite qui brandissaient le blason de l’ancienne grande Rome pour profiter des conflits et se ranger du coté de l’empire. Adeline agitée dardait de toute part dans la pièce et faisait vibrer contre le mur les chaines qui la retenaient, sans savoir quoi faire – il s’en délectait.
Il avait deviné que la demoiselle, revêche, n’était encore qu’une enfant. Mais il ne s’était pas attendu à la retrouver dans un tel état de panique. Arrius plaqua la main sur la cuisse de la fille, la plongeant dans un état d’immobilité profonde. Les pupilles dilatées, le corps parcouru de sueurs froides – elle était parfaitement terrifiée. Il était improbable de tomber sur une jeune fille aussi prude, à son âge. Surtout qu’il était plutôt pas mal, elle n’avait pas tant à se plaindre, elle devait faire plus d’une jalouse en ce moment même… Le tissu acheva de couler le long du corps de l’homme, révélant sa verge tendue vers la jeune fille, les veines seyantes, gonflée par un état d’excitation intense. Il avait fait le bon choix.
Ce fut l’effondrement complet du mur qui accompagna le cri d’horreur de la petite. La pierre et le marbre s’affalèrent en un fracas épouvantable, l’arrachant à sa prison verticale. Elle gagna le sol en s’y enfonçant, ses pieds creusant le roc comme si elle avait pesé le poids d’un Colosse des temps ancien. L’homme nu reculait, gravement atteint par l’un de blocs de pierre, la cuisse en sang, stupéfait et horrifié à son tour. Adeline fuit.


■ Pour être retrouvée bien vite, malheureusement. Arrius était furieux et fortuné, et d’importants moyens furent mis en place pour remettre la main sur elle. Elle ne put aller loin, ni se défendre beaucoup. Mais dangereuse, elle ne fut toisé par l’homme que de loin, et on lui offrit une cellule digne d’elle. Isolée, et ou elle serait matelassée de chaines. Sa colère était si vive qu’elle en perdait le sens des réalités, et c’est alors qu’elle commença à creuses son fossé.

Son cœur palpitait encore avec violence, tandis que son jeune esprit luttait pour oublier, à tout prix, cette horrible vision. Perdant le fil des jours elle se débâtait comme un diable, brisant les attaches de fer les unes après les autres. Sa force augmentait, et le poids de son corps avec.

Petit à petit, sa silhouette chétive s’enfonçât, de plus en plus, dans le sol…

Jusqu’à un point ou plus personne, après avoir jeté sur elle de derniers poids et disposés des grilles extravagantes, n’osait s’approcher de ce qui un jour avait été un « cachot ».

Il faisait sombre, au fond. L’eau de pluie ruisselait parfois le long des parois, sans jamais tomber intouchée jusqu’au creux de l’antre. Le corps d’Adeline était chaud, et empêchait l’humidité de former une flaque dans son terrier. Elle buvait ce qu’elle pouvait recueillir, et se nourrissait de ce qu’on jetait là, de temps à autres. Il fallait croire que quelqu’un pensait encore à elle – lui, sans doute. Il ne l’oubliait pas. Et ainsi, pendant longtemps, on continua à jeter dans la fosse de la nourriture, tout les jours, tout les deux jours…
Parfois elle entendait des éclats de voix, des médisances. Au début, elle les détestait – et cela l’avait motivée à s’enfoncer d’avantage. Mais désormais elle tendait l’oreille vers la surface, et appréciait même ces quelques retours du monde. Son trou était devenu une attraction – les enfants s’y rassemblaient et racontaient qu’une enfant s’y était transformée en monstre, qu’elle les dévorerait s’ils y tombaient – alors ils s’amusaient à se faire peur et à se pousser, jouaient au plus courageux et au plus peureux : à celui qui se pencherait le plus loin au dessus de la brèche. Une fois, il y en avait un qui était tombé. Son corps avait lourdement heurté une des grilles de fer, et il était remonté a toutes jambes, secoués de pleurs plaintifs, aidés par ses camarades… Adeline les avait hait, et chérit. Au moins, ici, au fond de son trou… On pensait à elle, la laissait tranquille tout en la respectant. Elle n’était pas qu’une pauvre petite esclave chétive. Elle était un mythe. C’était chouette.
Lorsqu’elle fermait les yeux, elle sentait l’univers vibrer en elle. Dans sa colère, elle avait entendu la terre l’appeler. Elle avait sentit comme son cœur la tirait vers lui, les tirait tous. Elle avait répondu à son appel, comme répondant à une main tendue, tout en en grignotant la surface pour consumer sa colère. Elle n’avait même pas eu besoin de bouger – il lui suffisait de peser.


Les murs qui avaient entourés sa geôle s’étaient effondrés en dedans. Lorsque l’envoyé du dieu de la guerre parvint jusqu'à Adeline, il fit face à un gouffre béant, d’une dizaine de mètres de large et d’une profondeur démesurée. Les rumeurs disaient qu’elle était morte depuis longtemps, et pourtant on continuait de jeter, de temps en temps, un crouton de pain « pour conjurer le mauvais sort ».
Au fond de cette abysse, la fille était assise les jambes ramenées contre son buste et entourées de ses bras. Elle sentait une pulsation, venant d’au dessus… Mais elle ne connaissait aucun mot pour la qualifier.



■ La lumière du soleil avait été très vive le jour où on l’avait relevée jusqu’au niveau du sol. Celle du dieu de la guerre avait illuminé sa vie dès l’instant ou elle avait revêtu sa cuirasse. Au fond de son antre, elle s’était éveillée au 7ème sens – et cette pulsation, qu’elle ressentait depuis si longtemps déjà au creux de son être, portait le nom de cosmos. Un amour profond pour cette armure de plaques d’un rouge sale qui était la sienne l’envahit dès la première minute où elle la revêtit. Sa vie se parait d’un nouveau sens, et elle adressait un sourire pétillant au guerrier qui était venu jusqu’à elle, et l’amenait maintenant à la Cathédrale de chair.

Le Sarcophile. L’un de ses premiers réflexes après l’avalanche de découvertes que marqua son arrivée fut de vouloir savoir de quel animal elle portait la parure. Nombre des noms de cuirasse lui étaient totalement étrangers, et si Arès avait l’air de savoir pourquoi il avait attribué tel ou tel totem, ce n’était guère le cas de ses serviteurs. Le Sarcophile ? Va savoir ce que c’est que ce truc – les gens pensaient à un insecte, ou à un espèce de cochon… Et elle voulait en avoir le cœur net.
Forte du « déplacement étoile filante » Adeline se retrouva nez à nez, à l’autre bout du monde sur une terre aride qui n’était étrangement pas l’Afrique et entièrement entourée par la mer, avec une espèce de gros… blaireau ? Les mains jointes devant ses mollets, accroupie, elle le regardait avec un air de défit – il n’avait pas fui à son approche. L’animal retroussait ses grosses babines et révélait deux rangées de crocs jaunes, ses petits yeux noirs rivés sur elle. Adeline joignit les mâchoires à son tour pour répondre à son grognement, faisant pulser son cosmos. L’animal recula en émettant un hurlement aigue, tous crocs dehors – mais il ne fuit pas. Agressif, il était à la fois mignon et très antipathique – la Berserk sourit, conquise par la bestiole. Dans le coin, on l’appelait « Diable ».




Et Sinon...
22 ans.
Experience - Ça fait un moment ! (au moins 8 ans.) Niveau SS, je m'étais bien amusée sur SSU et je suis actuellement sur SotP :3 (Ca ne m'empêche pas d'être une inculte concernant la license ! Haha.) - Arrivée ici - Je pense connaitre pas mal de monde, mais Sinuel du coup.

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[b]Evangelion[/b] → [i]Rei Ayanami[/i] est [b]Adeline[/b].



Dernière édition par Adeline le Dim 22 Nov - 14:38, édité 14 fois
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Message Re: Adeline, Berserker du Sarcophile.    Adeline, Berserker du Sarcophile.  EmptyMar 10 Nov - 10:38
Une nouvelle Bers, bienvenue à toi Very Happy
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Message Re: Adeline, Berserker du Sarcophile.    Adeline, Berserker du Sarcophile.  EmptyMar 10 Nov - 11:01
Owi une coupine Berserker ! Bienvenue à toi ma chère, et j'ai hâte de voir ce que va donner ton perso qui m'a l'air bien jeune ^^ Bon courage pour ta fiche !
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Message Re: Adeline, Berserker du Sarcophile.    Adeline, Berserker du Sarcophile.  EmptyMar 10 Nov - 12:35
Bienvenue sur le forum, et bon courage pour ta fichette.
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Message Re: Adeline, Berserker du Sarcophile.    Adeline, Berserker du Sarcophile.  EmptyMar 10 Nov - 14:02
Bienvenue à toi chère Berseker ! o/
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Message Re: Adeline, Berserker du Sarcophile.    Adeline, Berserker du Sarcophile.  EmptyMar 10 Nov - 14:08
Bienvenue !
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Message Re: Adeline, Berserker du Sarcophile.    Adeline, Berserker du Sarcophile.  EmptyDim 22 Nov - 14:13
Bon bah voilà. J'aurai posté bien avant si je n'avais été un peu secouée émotionnellement dans le courant de la semaine... Tant pis pour la mission, hein ;w;
Merci pour vos messages de bienvenue ! Rien de spécial mais j'espère que la lecture seras correcte et qu'il n'y aura rien de dérangeant ! (je suis restée volontairement évasive sur la description, et mon clavier allemand a dit fuck aux accents pour une bonne partie de sa rédaction -_-)

Ps - Haha et oui mon ava est tout laid j'avais trop la flemme de cleaner hier soir, je ferais un dessin propre promis xD (a défaut d'être beau, la Rei toute élégante Adeline n'y est pas encore !)
(Ps2 - J'avais eu l'aval d'Amadeus pour le pouvoir d'Adeline !)


Dernière édition par Adeline le Lun 23 Nov - 11:18, édité 1 fois
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Message Re: Adeline, Berserker du Sarcophile.    Adeline, Berserker du Sarcophile.  EmptyDim 22 Nov - 15:34
Bienvenue ! What a Face

Je te rassures, j'ai lu ta présentation assez confortablement. Wink
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Message Re: Adeline, Berserker du Sarcophile.    Adeline, Berserker du Sarcophile.  EmptyLun 23 Nov - 14:47
Bon bah je n'ai rien à dire sinon que j'apprécie énormément ton histoire ! Je pense qu'une rencontre entre nous deux pourrait être très intéressante ! En attendant, je te valide avec plaisir, tu obtiens 2 en Eveil et 12 PC pour ta fiche technique.

Bon jeu parmi nous !
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Adeline, Berserker du Sarcophile.
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