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 Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée]

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LazareLazareArmure :
Carcharocles (Mégalodon - Requin géant)

Statistiques
HP:
Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée] G-bleu1200/1200Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée] V-bleu  (1200/1200)
CP:
Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée] G-rouge750/750Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée] V-rouge  (750/750)
CC:
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Message Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée]   Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée] EmptyDim 21 Juin - 3:03
Lazare
Qui est-il ?
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    Nom : Lazare, célèbre Capitaine du Cocyte !
    Date de naissance : 29 mars 520 (Bélier)
    Âge : 29 ans et demi 32 ans.
    Sexe : Masculin.
    Armure demandée : Capitaine des Carcharocles (Mégalodon - Requin géant)


Comment est-il ?

    Lazare n’est pas devenu Capitaine d’une flotte pirate par hasard. Auprès de son équipage, il a tout d’un leader charismatique. À la fierté et aux ambitions pouvant se reposer sur une charpente solide et une cervelle en état de marche, il n’est pas de ces pirates crasseux et pouilleux, rongés par le scorbut comme on peut en voir tant sur les mers. Certains même au sein des siens ne dérogeraient pas à cet archétype, mais ce n’est pas son cas, donc. Démarche à la nonchalance assumée, toujours suivi des volutes de fumée et de l’odeur âcre de son cigare, l’écumeur sait travailler son style. Tout vêtu de noir, chevelure corbeau lissée vers l’arrière et joues rasées de près, yeux tout aussi sombres et peau halée, il arbore fièrement les attributs du charme à la napolitaine en sus d’évoquer l’aventure. Épais anneau d'or à l'oreille droite, riches joyaux enchâssés sur des bagues à ses doigts pour signes de richesse. Spontané, créatif, et débordant d’une confiance sans faille, il est aussi un charmeur redoutable, du moins il n’a jamais peiné pour donner du corps et de la véracité à l’adage d’une femme dans chaque port.

    Cependant possessif, il évite de trop s’attacher, ne désirant pas s’enchaîner à quelconque pied à terre. Toutefois, en terme de richesse, il n’hésite pas à se faire généreux avec les siens, mettant un point d’honneur à répartir leurs butins de manière équitable, sans s’arroger de parts trop gourmandes. Cela évite les mutineries certes, et adjoint à son côté protecteur il s’attache ainsi une certaine fidélité de la part des siens. À combien a-t-il déjà sauvé la vie, déjà ? Presque tous sans doute. Mais de combien a-t-il coûté la perte à cause de ses coups de tête, et sa tendance à parler et agir avant de réfléchir ? Ce n’est pas qu’il n’est pas capable de réflexion, juste qu’il déteste tant la routine qu’il a besoin que ça bouge, provoquant une spontanéité ayant causé autant sa fortune que des pertes lourdes. Heureusement donc qu’il sait se faire assez créatif lorsqu’il est question de se sortir des emmerdes dans lesquelles il s’est lui-même plongé !

    Fonceur et combatif, il n’hésite pas à se porter en première ligne, ni à piquer à tous les râteliers, que ce soit sur mer ou sur terre. Entier et têtu, il est capable de déborder d’enthousiasme comme de colère, dans des élans qu’il ne camoufle que rarement. Lazare peut parfois être conciliant et même pardonner si tant est qu’il estime la faute rachetable et qu’un profit acceptable peut être tiré de sa magnanimité. Au fond, il semble que ce soit l’aventure son moteur, et que vivre ces expériences lui est finalement beaucoup plus profitable que les richesses qu’il peut amasser… mais il est difficile d’estimer cruciale une ressource dont l’on ne manque pas, après tout. Finalement, il est à noter de sa caractéristique la plus notable, celle qui saute aux yeux, et sur laquelle sa légende est brodée : la longue cicatrice lui barrant le visage à l'horizontale, et dont il se dit qu'elle aurait été causée par la morsure d'un grand blanc juste avant qu'il n'en fasse lui-même son repas !


Son Histoire

    Superprédateur


    Le natif de Néapolis n’a jamais beaucoup parlé de son enfance. L’on en sait juste ce qu’il laisse en dire, ne prouvant en rien la véracité de ces faits. S’il déteste Naples, n’hésitant pas à avouer qu’il y a vécu et refusant d’y retourner, c’est à peu près tout ce qu’il en dit lui-même. Le reste n’est que rumeurs. Qu’il aurait monté sa propre bande en partant de rien, devenue la troupe organisée au bout de longues années. Qu’il aurait simplement rejoint une troupe de mercenaire, pour finalement en évincer les meneurs et en prendre la tête, décidant qu’ils seraient désormais leurs propres maîtres. Plusieurs parmi les plus anciens s’amusent aussi peut-être à entourer ce passé de mystères, connaissant le goût de leur leader pour l’aventure plutôt que l’ennui de ternes récits.

    Ce qui les amène d’ailleurs ce jour à passer un cap important. Leurs méfaits depuis quelques temps attirent l’œil de rivaux et de l’autorité. Lazare sait que dans son secteur d’activité, l’on ne vit pas vieux, mais du haut de sa vingtaine d’années il jugeait que son temps n’était pas venu encore. Alors qu’importait leur trésor de guerre, vraiment, s’ils ne vivaient pas assez longtemps pour en profiter ? La décision fut prise d’offrir une forte somme alors au capitaine pire d’un spacieux navire. De quoi se payer le passage d’une troupe telle que la leur en des terres plus favorables, ainsi qu’acheter un silence nécessaire. Un accord pour que le capitaine puisse librement tenter d’engager quelques uns de ses hommes pour renforcer son équipage termina de sceller leur accord.

    Est-ce que le capitaine avait prévu de les trahir ? Lazare l’ignorera toujours. Mais il sait qu’il ne faut pas faire confiance à son engeance. Alors, au large, une mutinerie se déclenche. Ses hommes prennent les armes, et des marins complices trahissent les leurs. Et au Napolitain de faire tournoyer sa hache – il avait depuis longtemps troqué son glaive, préférant la puissance écrasante d’un bipenne de guerre – semant la mort sur quiconque tenterait de se dresser contre son objectif. Tranche avec facilité certains cordages, créant un peu plus de chaos, lui ouvrant la voie jusqu’au capitaine dont il ne tolérerait pas qu’un autre vienne à bout. Le combat est bref. Brutal. Sanglant. Il n’en sort pas indemne, un coup de sabre étant venu marquer son visage à vie. Mais l’autre gît là, devant lui. Son bras d’arme violemment sectionné en punition.
    - Pourriture de Lazare ! Tu finiras en Enfer, c’est là que finissent les crevures comme toi ! L’Enfer, où tu brûleras pour l’éternité !
    Sa voix sanglote. Lazare passe sa main libre dans sa chevelure humide de pluie, se dégageant le visage. Sourire en coin malgré le sang qui s’écoule de sa plaie et la douleur qui lui irradie la tronche. Se penche vers cet homme qui retient ses larmes, yeux humides. Cet homme qui vient de réaliser qu’il allait tout perdre ici, jusqu’à sa vie.
    - Sois heureux mon ami ! Sois heureux, car ton navire, grâce à moi, perdurera. Toi par contre… Il ne restera rien de toi ! Je m’assurerai que ton nom soit effacé à jamais. Toute ta vie… Ton premier rhum. Ta première femme. Ton premier butin… Il n’en restera rien ! Tous ces moments se perdront dans l’oubli… comme les larmes dans la pluie !
    Lazare ricane, alors que peu à peu les bruits des combats cessent. Tous ceux qui ne s’étaient pas rendus avaient péris. Tous sauf un, à qui le nouveau capitaine s’adressait encore.
    - Tes larmes… qu’elles nourrissent mon navire désormais ! Et dans mon sillage, un torrent de lamentations… Une véritable renaissance, oui. Celui qui naît des larmes… le Cocyte !
    Il lui avait souhaité l’Enfer ? Ainsi soit-il ! D’un dernier coup de hache, c’est là qu’il l’y envoyait tout droit...

    Les marins s’étant rendus furent enrôlés à condition qu’ils acceptent de lui jurer fidélité. Il leur fut alors garanti une part égale à celle que recevrait chaque membre de sa troupe, à hauteur de leur investissement et des risques qu’ils seraient prêts à prendre pour leur Capitaine. Ce dernier venait de prouver qu’il mériterait sa part également, mettant plus que la main à la pâte, et ayant certainement ainsi déjà gagné bien du respect. La veste du capitaine avait été passée sur ses épaules, et tandis qu’on avait refermé sa plaie, il avait fêté la réussite de son plan d’un bon cigare. Ce navire, il l’avait mérité. Il avait payé le prix du sang...

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    Lazare apprendra à naviguer sur le tas, se renseignant auprès des matelots les plus avertis. A montré un grand intérêt pour chaque élément. A dressé les voiles comme n’importe quel mousse. Respecté pour cela, il se mêle ainsi aux siens. Leur offre un peu d’action en réalisant quelques coups pour se faire la main, les laissant aussi du temps à terre pour profiter de leur or accumulé. Enrôlé quelques nouvelles recrues. Et ainsi le temps passa, et une rumeur naquit. Comme alors qu’ils étaient simples brigands sur les routes, certains anciens aimaient à enjoliver les choses, et raconter de belles histoires aux nouveaux. Lorsqu’il entendit celle qui justifiait sa cicatrice par la morsure d’un grand requin blanc, dont Lazare se serait vengé en l’ouvrant en deux de sa hache pour mieux le dévorer à son tour, l’Écumeur lâcha une immense éclat de rire, témoignant par là qu’il l’adoptait volontiers. Se mit à la raconter lui-même à ses conquêtes lorsqu’elles lui demandaient comment il s’était fait ça.

    Son succès cependant n’avait pas attiré que de la sympathie. Et un jour, un ancien marin ne toléra pas de l’entendre raconter une nouvelle fois ce mensonge. Se mit à défendre son ancien capitaine, lui rendant honneur en disant qu’il ne s’en était fallu que de peu que ce soit lui qui l’abatte. Sur-le-champ, cet esprit belliqueux reçu une vive correction, brutale et sans concession. Fut ramené par le peau du dos sur le Cocyte, qui reprit le large. Il souffrit des jours durant. Finit démembré, et ses restes offerts aux requins – comble de l’irone. Depuis, plus aucun sur le Cocyte ne manque de respect au capitaine Lazare. Et il n’y eut plus jamais d’autre version sur l’histoire de sa cicatrice que la légende du grand requin blanc, dont la morsure devint son pavillon noir.

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    L'Écumeur et l'Étoilée

    Cinq années se sont écoules, et le commandant Lazare est désormais à la tête d’une flotte de trois navires. Sa capacité à trouver des combines pour les sortir des ennuis ainsi que ses folles ambitions lui ont permis de s’agrandir. D’enrôler le plus modeste navire d’Hector, pirate lui ayant voué fidélité, ou de placer un de ses plus anciens « collaborateurs » à la tête d’un troisième bateau, capturé. La volonté n’est cependant pas de s’agrandir sans cesse, mais de répondre à certains besoins. Des gars fiables aux commandes, permettant qu’ils se séparent à l’occasion pour mieux brouiller les pistes, et se rejoindre plus tard.

    Sa stratégie est celle de la terre brûlée : commettre quelques méfaits, attaquer quelques navires ou rapides sur des villages côtiers. Frapper vite et bien, et dès lors qu’ils avaient de quoi se mettre au vert quelques temps, partir se faire oublier ailleurs, parcourir les mers, et changer d’endroit encore pour mieux recommencer. Il n’a bien sûr rien changé à ses habitudes ! Tous prennent toujours une part équivalente à leurs efforts, et il règne en maître dur mais juste. Il travaille autant sinon plus que tous les autres, et est certainement celui qui prend le plus de risque lorsque la bataille éclate, n’hésitant pas à foncer dans la mêlée pour venir en aide aux siens en difficulté. Cela n’empêchait pas des pertes, bien sûr, l’on ne peut sauver tout le monde dans ce choix de vie si périlleux. Mais ne manquait pas de renforcer sa position auprès de son équipage.

    C’est clairement dans l’action tout du moins qu’il semble vivre pleinement. Durant les moments de répit qu’il se permet, il aime à séduire et croquer dans des fruits à peine mûrs, tout en enquillant les bouteilles d’alcool dont il se gavait. Profiter pleinement de la vie, au goût de beaucoup. Alors que pour lui, ce n’était qu’une tentative de rechercher un semblant d’intensité, même si rien de tout cela ne pouvait être comparable au goût de la cendre et du sang. Ne s’éclatant jamais autant que lorsque sa propre vie était en jeu, sans doute...

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    Cette vie de débauche s’arrêtera finalement, par une alliance qu’il n’aurait pas vu venir. Tout d’abord, le drame… Un navire de guerre ayant compte à régler avec le commandant Lazare. Un rival redouté, qui avait fini par réussir à leur mettre la main dessus. En pleine mer, ils parvinrent à croiser leur route. Aborder le navire d’Hector. Ce que bien sûr Lazare ne pourrait tolérer ! Il le savait, s’il ne faisait rien, ils risquaient fort de périr face à des troupes plus nombreuses. Puis, il y avait elle… La jeune fille d’Hector qui avait bien grandi. L’enfant qui était venue rejoindre son père il y a quelques années était devenue une femme aux formes affriolantes et au caractère bien trempé désormais, et Lazare serait bien en peine de jurer qu’il ne l’avait pas remarquée. Il serait un bien indigne capitaine de laisser une si agréable créature périr ainsi, non ? Il effectua alors une manœuvre ingénieuse qui sera sans doute narrée un jour, sautant sur le bateau allié avant que le Cocyte ne puisse aborder à son tour, gagnant ainsi de précieuses secondes. Atterrit auprès de la belle, venant opposer sa hache au sabre qui venait chercher à la transpercer dans le dos.

    Le reste ne fait plus partie de son histoire, mais de leur histoire. Cet événement marquera le début de leur relation, sous la bénédiction d’Hector. Se montre jaloux et possessif, s’emportant si quiconque se permettait de la reluquer. Et elle de tolérer à la condition qu’elle puisse attendre de lui pareille fidélité. Une année au cours de laquelle Lazare se calma sur la boisson, et n’accepta plus qu’une seule et unique femme dans sa couche. Son caractère se fit parfois plus affirmé encore, plus prompt à prendre des risques inconsidérés. Jusqu’au jour d’une forte tempête en des eaux difficiles à naviguer. De par son expérience, Hector et son navire fut envoyé pour ouvrir la voie au Cocyte et au troisième larron qui suivraient derrière. La nuit la plus chaotique de son existence, où il aurait pu jurer que la mort le frapperait. Ce devait être là son jugement, enfin. Mais cette mort imminente ne parvint pas. Le Cocyte tint bon, les éclairs l’évitant soigneusement, et lui ne s’étant même pas rendu compte que sa conviction et sa rage de vivre avaient fait émaner de lui une énergie nouvelle… un éveil qu’il ne comprendrait pas !

    Mais le destin se joua de lui en effet. La navire d’Hector fut introuvable. Son vieil ami, perdu, ainsi que sa fille. Un navire entier, son équipage… mais surtout sa belle Asteria ! Et lui, survivant, ne lui restant plus qu’à maudire le monde entier...

    Des larmes dans la pluie...

    Mais les larmes sont inutiles. Cette vie, elle aussi, se perdrait dans l’oubli. Seul Lazare se souviendrait de ces moments partagés, jusqu’à ce qu’il ne soit plus à son tour. Deux ou trois années passèrent durant lesquelles il sombra à nouveau dans ses démons. Alcool à foison, relations nymphéales et risques inconsidérés. Durant un temps, cela paya cependant, si bien qu’il lui devint difficile de garder les pieds sur terre. Certains de ses marins commencèrent même à douter de sa fiabilité, mais la plupart endormaient volontiers leur vigilance sous l’or qu’ils amassaient. Lazare s’était même permis de reformer à nouveau un troisième équipage, redonnant à son équipée une allure de flotte.

    Comment donc pouvoir penser lui faire peur ? Et pourtant, c’est ce qu’avait estimé possible cet émissaire… venu d’où encore ? Ah, aucune importance. Même pas sûr que l’information avait été donnée. Par contre, Lazare avait bien retenu le motif de sa venue. Des menaces. Il avait bien entendu parler de rumeurs faisant état de dangers en mer. De disparitions soudaines et brutales, « on ne sait pourquoi ». De survivants narrant avoir rencontré en mer une force puissante, à laquelle aucun navire ne pourrait survivre. Et ce type d’oser venir lui dire qu’il travaillait pour quelqu’un d’assez puissant que pour protéger ces territoires. Que ce quelqu’un pourrait lui assurer une protection en échange d’un tribut payé de bonne grâce. Et c’est qu’il avait le toupet d’appeler cela un « partenariat » en plus ! Cela faisait longtemps que Lazare n’avait pas autant rit.
    - J’aime bien comment tu présentes ça ! Vraiment, hein ! « Je travaille pour quelqu’un qui garde la main sur les mers », tout ça tout ça… ça a de la gueule, j’aime ça. Alors puisqu’il s’agit d’un partenariat, je vais me mettre sur un pied d’égalité avec lui. Et moi aussi, je vais garder la main… La tienne !
    Nouvel éclat de rire, alors que la hache est brandie. Fait son œuvre. Renvoie un témoin, pour une fois. Erreur inconsidérée qu’il n’aurait sans doute pas commise autrefois, et dont il finirait par payer les conséquences.

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    Depuis combien de temps avait-il renvoyé l’émissaire ? À en juger par l’état de pourrissement de sa main qu’il avait gardé en trophée, quelques semaines déjà sans doute. Comme toujours, Lazare s’était fait oublier un peu. Usé de ses antiques stratégies. On ne change pas une équipe qui gagne, pas vrai ? Sa chance insolente et sa maestria stratégique prendraient fin ce soir cependant. Le ciel s’était couvert en un instant. Déclenchant une tempête comme il n’en avait jamais vue. Un signal est donné ; une avarie détectée. Rapidement suivie d’une pareille annonce, venant du troisième navire, et ce un brin instant avant que le Cocyte lui-même soit sévèrement secoué. Cette fois, les éclairs n’esquiveraient pas son navire. Ils sèmeraient la destruction en ses rangs, le laissant impuissant. Il avait joué. Et avait perdu. Lui aussi, ce soir, il allait tout perdre. Sa vie, son navire, l’empreinte qu’il laissait en ce monde. Lazare se revoie face au capitaine à qui il avait dérobé son navire tant aimé. Il se laisse alors tomber à genoux, et murmure :
    - Tous ces moments se perdront dans l’oubli...
    N’aura pas le luxe de terminer cette phrase qu’il lui avait dite qu’un choc violent le plonge dans les ténèbres. La suite ne sera composée que de flash. Il se sent couler. Ou plutôt entraîné, emporté vers les fonds marins. Ignore bien sûr comment il y est mené, mais se persuade qu’il ne s’en réveillera jamais. Il avait cherché la mort, et l’avait trouvée. Pourquoi se tracasser encore ?

    [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

    Ses yeux sombres se rouvrent pourtant. Ce qui semble être un temple. Il n’a plus sa veste de capitaine. Plus sa bipenne avec laquelle il avait fait couler tant de sang et de larmes. Plus de cigare à ses lèvres, ne lui laissant que le goût amer de la défaite. Alors, affaiblit, il se redresse et tente de se remettre sur pied, comme il réalise qu’il n’est pas seul ici…

    Citation :
    Comme convenu avec Orpheus, l’acquisition de l’armure sera jouée en RP avec lui.


Et vous, qui êtes vous ?

    Age : TCP !
    Avatar :
    Code:
    [b]ONE PIECE[/b] → [i]Crocodile[/i] est [b]Lazare[/b].
    Quelle est votre expérience des forums RP : Oui. Et d'ailleurs, vous vérifiez vraiment en 1600*900, en 2020 ? Vous vous fouteriez pas un peu de la gueule des gens là, hein ? HEIN ?
    Comment avez-vous connu le forum : Et toi ?

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OrpheusOrpheusArmure :
Légat

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HP:
Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée] G-bleu1350/1350Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée] V-bleu  (1350/1350)
CP:
Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée] G-rouge900/900Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée] V-rouge  (900/900)
CC:
Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée] G-jaune1350/1350Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée] V-jaune  (1350/1350)
Message Re: Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée]   Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée] EmptyDim 21 Juin - 6:11
Je te valide Eveil 5, pour le reste comme d'habitude °°

Par contre je te préviens, tu me prépares pas une attaque "Sharknado". JE TE PREVIENS !

Maintenant... RP RP RP RP RP RP RP RP RP !!!!!!!!!

Je te laisse ouvrir mon p'tit poisson !
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https://www.saint-seiya-ageofgold.com/t1839-orpheus-merinita-ft#
 
Lazare - Capitaine des Carcharocles [terminée]
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