Après une journée bien chargée, je retournais à l’auberge qui me logeait, pour y passer une bonne nuit de sommeil. Il nous avait été annoncé qu’une qu’une compétition avait été ouverte, dont l’obtention d’une armure de bronze serait à la clé. Une fois l’auberge, je pris une douche afin de me décrasser un peu le corps, avant de mettre un pantalon et aller au lit, sans haut. Il faisait une chaleur fournesque dans la chambre.
Une fois au lit, déjà bien épuisé par ma journée d’entraînement. Je pus résister plus de trois minutes à l’appel du sommeil. Je me laissais emporter par celui-ci. Mon corps était désormais dans le repos le plus revigorisant pour lui, et mon esprit plongé dans le noir le plus total.
Et ce fut ainsi jusqu'à ce que je me retrouve instantanément, dans un dans un magnifique jardin lumineux. Où étais-je, je n’en avais aucune idée, encore moins du comment j’étais arrivé là. Je me tenais sur un chemin tracé entre les plantes. Les rayons lumineux qui frappaient sur elle, illuminaient l’endroit et lui donnaient une beauté inégalable. On s’en croirait presque au paradis.
J’étais tout d’abord ébahi par la beauté et la magnificence de l’endroit, mais cet instant de bonheur me passait vite, puisque je commençais à me demander si j’étais mort. Alors que je touchais toute les partis de mon corps pour me forcer à croire que j’étais bien vivant, je fus vite arraché à mes pensées, par une voie qui m’appelait.
*Németh Németh* disait-elle lentement et d’une voix presque inaudible. En entendant la voix, je ressentais une envie irrépressible de retrouver sa source. Je commençais à marcher lentement dans la direction que je pensais être celle de sa provenance. J’étais comme zombifié alors que j’avançais. J’étais n’étais plus maître de mon corps, mais mes pensées elle, était toujours mienne.
Je voyais mon corps avancer, j’entendais mon nom retentir, mais je luttais pour me libérer de l’emprise que cette voix avait sur moi. J’étais en train de suivre le seul chemin existant, ou que j’avais pu repérer, mais celui-ci était visiblement sans fin.Je voyais mon corps avancer, j’entendais mon nom retentir, mais je luttais pour me libérer de l’emprise que cette voix avait sur moi.