Ohanzee Armure :
Charybde
|  Capitaine de Charybde ~ L'Amérindien Perdu  Dim 15 Mai - 16:25 | |  | Ohanzee Qui est-il ? Nom : Ohanzee
Date de naissance : Environ vingt quatre printemps
Âge : Environ 24 ans
Sexe : Homme
Armure demandée : Scale de Charybde Comment est-il ? Apparence :
Beauté exotique au regard de glace. Telle est la première impression que donne Ohanzee. Sauvage, félin, charmeur, attirant et pourtant il y a un vous ne savez quoi qui vous empêche de vous approcher de trop prêt. Une sorte d’aura froide, comme un mur mit entre lui et le reste de ce monde.
Pourtant, au premier abord, ce jeune homme ne semble pas si froid. Sa peau, couleur bronze, rappel le sable chauffé par le soleil, ses lèvres ne demandent qu’à sourire, son petit nez fier, sa mâchoire dessinée et ses yeux en amandes suffissent à charmer n’importe qui. Mais lorsque vous plongez dans l’abyme de son regard, vous êtes happé par la froideur de celui-ci. N’allez pas croire qu’il est incapable de ressentir quoi que ce soit, mais par habitude, il se méfit de tout le monde. Apprenez à le connaître et vous verrez défiler nombreux d’émotions dans ses yeux. De la lueur amusée au feu de la passion, de l’orage de la colère à l’ouragan de rage, il suffit de savoir lire dans son regard pour le comprendre. Mais cela n’est pas aisé pour tout le monde, si bien qu’il passe le plus souvent pour une personne froide, hautaine ou encore sûr de lui.
Ses cheveux, ayant la couleur du bois sombre, ne ressemble pas vraiment à une belle chevelure domptée. Loin de là d’ailleurs. Elle est plus semblable à une crinière, indomptable, comme son propriétaire. Et pourtant, O arbore, jour après jour, maintes coiffures apprissent durant son enfance, parmi les siens. Composée d’une multitude de tresses et de nattes, cela rajoute un charme non négligeable à son exotisme. Il prend beaucoup de plaisir à continuer d’honorer les coutumes de son peuple malgré la distance le séparant des siens. De même qu’il continue à orner son corps, quand cela lui chante, de peintures corporelles typiques de chez lui, il place des plumes dans ses cheveux, sculptant lui-même ses bijoux. On lui a apprit à être indépendant très tôt, il aimait à cultiver ce qui le ramenait à ses véritables racines.
Si à son la mort de son père, il n’était qu’un enfant, aujourd’hui son corps est celui d’un homme. Par-delà son cou «épais se dresse un superbe torse, musclé et sculpté, sous lequel se dessine un magnifique ventre avec des abdos dessinés, prolongé par deux longues jambes musclées. Sous la cambrure de ses reins, une paire de fesses aussi musclées que le reste du corps. Il n’y a pas à dire, il n’a plus rien d’enfantin et pourrait faire tourner la tête de n’importe qui. Sans compter qu’il est grand. Très grand, même pour l’un de chez lui, frôlant les deux mètres et méritant son cent dix kilo de muscle fait de lui un guerrier puissant et vif, élancé sans être un monstre.
Mais toutes beautés à ses fêlures. A bien y regarder, on peut déceler une cicatrice sur le corps de ce jeune homme. Partant de sa hanche et remontant sur ses côtés, cette marque vient d’un combat épique pour la paix des siens. Il n’a aucune honte du corps qu’il possède, cela rajoutant de l’exotisme a ce physique qu’on lui apprit à aimé tel qu’il est.
Il va s’en dire qu’il ne reste pas nu. Vous l’aurez compris, Ohanzee est fier de ses origines et on peut ressentir celle-ci dans ses goûts vestimentaires. S’il porte le plus souvent des pagnes, il aime aussi à passer des pantalons de son peuple natal. Il ne porte pas des chaussures, trop habitué à sentir le sol sous ses pieds…
Psychologie :
Peut-on être à la fois impulsif et réfléchit ? Telle est la question qui obsède sans cesse le jeune amérindien. Il aime a se dire réfléchit mais la plupart du temps, tout n’est qu’impulsivité avec lui.
Depuis enfant, son peuple lui a apprit à vivre en harmonie avec la nature et son environnement, ce qui rend le jeune homme chez lui dans la nature et bien peu à l’aise en terrain humain. Il est parfaitement conscient de ne pas se sentir à sa place en public mais ceci est un passage obligé, il ne peut pas s’intégrer si il fuit le contact humain comme la peste. Aussi, a-t-il apprit à se fondre dans la masse même s’il préfère de loin être perdu dans la montagne.
Le marina à une fâcheuse tendance à succomber a l’appel de l’alcool. Ce qui le met souvent dans des situations assez embarrassantes. Outre se réveillée nu à côté d’inconnue, il peut aussi se retrouver à devoir jouer des poings pour avoir insulté un peu trop une personne qu’il n’aurait pas dut.
Malgré tout, il est loin d’être une lâche. Ce qui fait que tout défit qu’il aurait provoqué où qu’on lui lancerait, il se sent obligée de le relever. Bien conscient de ses propres limites, il aime à chercher à évoluer, souhaitant devenir plus fort simplement parce qu’il est un guerrier. Il à un but en tête : devenir le meilleur dans son domaine. Et pour cela, il n’hésitera pas à accepter tout les combats qui lui sont soumis tant qu’ils respectent sa ligne de conduite. Si tant est qu’il puisse franchement dire non à un combat bien stimulant, sans mauvais jeux de mot je vous pris.
Ohanzee n’en est pas moins un jeune homme très fidèle. Que se soit en amour, envers une cause ou simplement suite à une promesse, il fera toujours tout pour tenir parole, même si sa lui cause du tors au final. De même, il est bien trop franc, il ne mâche pas ses mots et dit haut et fort ce qu’il pense, sans vraiment prendre en compte le fait qu’il puisse blesser ou non son interlocuteur. Mais il sait avouer quand il se trompe ou quand il à fait une erreur, n’hésitant pas à présenter ses excuses avec beaucoup de sincérité.
La sincérité. Sans doute jamais dans le monde vous ne trouverez une personne aussi sincère que lui. Il ne sait pas mentir si ce n’est pas pour tromper un ennemi, ce qui le rend assez… Enfantine sur la chose. Cela ne signifie pas qu’il est naïf, il décèle facilement ceux qui lui mente. Le corps ne ment pas aussi facilement que la tête après tout.
Venons-en à sa plus grande faiblesse : les sucreries. A croire que le temps n’a pas eu de prise sur cet aspect de son être. Ohanzee adore dévorer divers gâteaux et bonbons à toutes heures du jour et de la nuit. En plus de l’alcool, il va s’en dire qu’il dépense des sommes folles entre ses deux vices. Mais quel être vivant n’en à pas ?
L’amour… L’a-t-il connu ? Oui, une fois. Souhaite-t-il revivre ça ? Peut-être un jour. Il à bien trop souffert de sa seule et unique peine de cœur, ce qui rend le jeune sauvage mélancolique. Mais heureusement, il ne fini pas souvent ainsi, même saoul ! Il aime la vie et la croque à pleine dent, cherchant simplement des compagnes de jeux avec qui partager ses nuits malgré ses airs froid et sa méfiance naturel.
Son Histoire La femme de l’homme médecine se tenait devant la tenture de la case de Tayel et Nashoba, empêchant quiconque d’entrer pour venir en aide à la mère qui accouchait. Aucun cri de douleur, seulement une respiration haletante et rauque filtrait. L’aînée du village veillait, en cas de problème, prête à aider cette nouvelle vie à apparaître, mais il était préférable que la mère soit capable de mettre son petit au monde seule, telle une nouvelle épreuve envoyée par le Grand Esprit. Un silence s’ensuivit. Puis alors la nature félicita la mère lorsque le cri de son premier né résonna dans l’air. La femme médecine se leva et entra, découvrant une mère souriante, comblée, serrant la nouvelle vie accordée par la Terre.
Nashoba se présenta au chevet de son épouse, rayonnant de joie et d’inquiétude. Le pire allait arriver. Deux ans de calvaires pour lui et sa femme. Deux années durant lesquelles leur enfant serait en danger. De fait, la famille serait un peu isolée des autres. Sept cent trente jours environs. Puis l’enfant fit ses premiers pas et la peur de la mort prématurée de ce petit garçon s’envola, créant un véritable souffle de soulagement au sein du village. Le soir même, une fête rituelle fut organisée. Toute la journée durant, rires et chants se firent entendre dans la réserve, guirlandes de fleurs et collier furent préparée par les petites filles alors que les petits garçons aidèrent à la fabrication du grand feu.
Dans la case de Tayel, l’enfant était revêtue de son premier pagne en cuir souple. Ses cheveux étaient nattés dans son dos pour être le plus beau lors de sa fête des premiers pas. Le père guida ensuite son fils dans la forêt et lui donna son premier arc, l’aidant à viser sa première proie, qu’une main bienveillante maintenait discrètement. Ainsi, le jeune enfant rentra en courant chez lui, sous les félicitations des hommes qui firent un repas avec l’animal chassé par le petit. Aujourd’hui il recevrait enfin son nom et les parents étaient déjà d’accord sur celui qu’il recevrait. Lorsque que la nuit tomba, chant et rythmes de percutions résonnèrent dans le village suspendu. Rire et joie était à l’honneur. L’enfant fit alors le tour du village, soutenu par les mains bienveillantes des siens, l’encourageant et le câlinant avec beaucoup d’amour. Désormais, il n’appartenait plus à ses parents, mais au village entier, entrant dans cette unité et cette harmonie qui régnait au sein de ce peuple. Puis les parents, heureux, annoncèrent le nom de l’enfant : Chowilawu, uni ensemble par l’eau.
Dès lors, Chow reçut une éducation venant de tout un chacun de sa communauté, les anciens enseignaient la sagesse et la patience, les femmes lui apprenaient le respect des leurs, les hommes lui montrèrent comment chasser et ramener à manger pour tous. L’enfant grandit avec force et sagesse, ne faisant qu’un avec les membres de sa tribut. Lorsqu’il fut en âge de comprendre, ses parents lui racontèrent une histoire. Celle d'Akylas.
« Trois jours durant, Tonenili, l’esprit de la pluie, arrosa nos terres sans répit.
Il parvint à faire exploser le cœur de la montagne, lui faisant pleurer une infinité de larmes qui submergèrent le village jusqu’au tipi de l’homme médecine.
Mais Tonenili était un esprit farceur mais bienveillant, il sut protéger les notre d’un trépas trop prématuré.
Lorsque Tsohanoaï, l’esprit soleil, chassa les nuages, nos pêcheurs purent rentrer en toute sécurité, nous ramenant ainsi des pirogues pleines de poissons et de surprise venant du fond des eaux.
Parmi les différentes prises, une créature sans écaille ni branchie fit surface d’entre les filets.
Un être à la peau blanche et aux cheveux de la couleur du soleil était là, inconscient.
Immédiatement, l’homme médecine de l’époque intervint pour s’occuper de l’inconnu, rassurant les siens, ce n’était pas un ohanzee, un démon.
Il fallut cinq levés de soleil avant que l’homme blanc puisse articuler quoi que ce soit.
Tandis que le chef du village, aidé pas les ancêtres de la tribu, tentait d’en apprendre plus sur leur invité, les mittamus, les épouses, s’extasiaient devant les lambeaux de vêtement dont la matière leur était inconnue.
Au terme de la première journée, ils n’obstinèrent qu’un nom, celui de l’invité : Akylas.
Avec le temps l’homme blanc apprit tout des coutumes et de la langue, il mit presque quatre lunes à réussir à enfin échangé vraiment avec ses hôtes.
»
Enfin vint le temps pour Chow de devenir un homme.
Et vous, qui êtes vous ? Age : /
Avatar : Le nom du personnage de votre avatar, présenté de cette manière :
- Code:
-
[b]Sakimichan (Disney)[/b] → [i]Pocahontas[/i] est [b]Ohanzee[/b]. Quelle est votre expérience des forums RP : Voir Li Mei
Comment avez-vous connu le forum : Reroll D'Eurydice Pseudo La suite de son histoire Si l'histoire de votre personnage est trop longue pour tenir sur un seul post, vous pouvez la continuez ici.
Dernière édition par Ohanzee le Sam 21 Mai - 1:07, édité 1 fois |
|
Ryme Armure :
Armure du Lion
| | Re: Capitaine de Charybde ~ L'Amérindien Perdu Dim 15 Mai - 17:01 | | | Bienvenue à toi p'tit indien. T'as la classe Pocahontos, c'est beau. <3 Bref, ravi de voir nos rangs grossir (et notre variété aussi, ça va nous faire de l'animation  ) Au plaisir de RP avec toi p'tite paupiette.  |
|
Accueil 
