Khelyn Armure :
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|  Cardinal de la Famine - Khelyn  Mar 18 Oct - 16:49 | |  | Khelyn Qui est-elle ? Nom : Khelyn.
Date de naissance : 474.
Âge : 29 ans physiquement.
Sexe : Femme.
Armure demandée : Cuirasse de la Famine. Comment est-elle ? Sous ce minois très chaleureux vit une haine sans fond qui résonne dans sa voix à chaque parole qu'elle émet. Une haine viscérale contre toutes formes vivantes, quelles soient humaines ou divines. Sa soif insatiable de vengeance rythme ses journées qui n'arrivent pas à entamer son excitation d'apporter la souffrance, la mort et la famine sur tous, comme elle-même l'a vécut. Il n'y a ni justice, ni coupable, ni innocents, tout le monde doit mourir et souffrir, c'est une nécessité. Que vous soyez justes, innocents ou coupables, votre sort sera souffrance et mort jusqu'à ce que votre corps et votre esprit se brisent.
Sa haine n'a pas de fin, mais elle a différentes formes. D'une compassion inexistante, Khelyn répand sa fureur sur ceux qu'elle croise, plaidant allégeance au seul dieu qui lui ai jamais répondu. Athéna est son ennemie suprême, au même titre que les humains qui fourmillent sur cette misérable terre. Son but ultime est de répandre une souffrance égale à ce qu'elle a subit tout au long de sa vie.
Khelyn ne s'éprend de personne, les humains, les dieux, aucune forme d'existence ne l'intéresse. Pour ce qui est de la mémoire de ses parents, elle s'en nourrit, pour alimenter cette haine continue. Elle se nourrit de la souffrance des autres pour alimenter sa rage et sa volonté de suppression.
Pourtant, elle est une personne silencieuse, tacite, souvent seule, qui se laisse difficilement approcher. Elle bouillonne intérieurement, laissant les autres penser d'elle ce qu'ils veulent. Elle se fiche éperdument des sentiments des autres, et en ce sens, elle est brutale et sans considération.
Un ordre doit être suivit, sans qu'aucune objection ne soit émise. Elle ne dispose d'aucune patience et sa cruauté n'a d'égale que son engouement pour la guerre. Elle n'aime personne et cette haine est facilement visible dans la prunelle des yeux. Si elle le pouvait, elle réduirait en cendres tout ce qui bouge. C'est une personne sadique qui aime lire la souffrance sur le visage de ses proies, prenant un plaisir malsain à faire souffrir en mangeant des parties de corps humains vivants. Il n'y a rien de trop horribles à ses yeux.
Son corps est à peine cachée, montrant au monde son nouveau corps sans traces que la Cuirasse à effacé. Elle est nouvelle, pure et immaculée. Elle est grande et fine, assez musclée pour porter l'épée tranchante qui lacérera ses ennemis. Fiez-vous à son apparence qui en fit mourir plus d'un. C'est une conquérante, avide de puissance guidée par la folie vengeresse de sa vie antérieure. Jamais elle ne loupe une seule occasion de faire souffrir, de torturer et tuer. Peu importe qui ou quoi. Seul Arès a droit à sa loyauté la plus profonde, partageant avec lui une vie de souffrance et d'injustice.
Ne tentez pas de la comprendre, vous ne survivriez pas assez longtemps pour finir votre question. Son Histoire Khleyn, de son vrai nom, Cassiopée d'Aquilée, est aujourd'hui une jeune femme d'une trentaine d'années, physiquement. Sous son air de femme douce et affectueuse, se terre une femme sans vergogne, remplie de haine et de vengeance, abreuvée de souffrance par sa vie antérieure.
Elle est la fille unique d'un couple d'esclaves, qui en 450, vivait sur les terres d'Aquilée, sous le joug d'une famille d'aristocrates tenant en irrespect complet les sous-humains qu'étaient les esclaves. Cette famille d'aristocrates possédaient plusieurs dizaines d’esclaves, décidée à profiter de ces choses à leur guise, selon le cadre des lois autorisées par Rome.
Les esclaves n'avaient pas de noms de famille dans cette demeure, afin que chacun puisse oublier rapidement leurs racines, afin de comprendre et d'apprendre leur nouveau statut rapidement. En plus de subir le cuir des fouets pour les fautes commises, les esclaves n'avaient aucun droits légales. Ils ne pouvaient posséder d'habitats, de famille, d'héritage et en aucune façon ils ne pouvaient quitter le domaine sans être vendus à d'autres familles. Les parents de Cassiopée se rencontrèrent dans cet établissement. Sa mère, Hélène, avait été achetée très jeune par Hector, le maître des lieux. Son âge ainsi que sa beauté avaient séduit le vieil homme lubrique qui l'avait possédé presque immédiatement après l'avoir eu en sa possession. Il n'était pas veuf, seulement, sa femme ne lui plaisait plus, car son âge était bien trop élevé pour les lubies de l'homme qu'il était.
Hyacinthe, quant à lui, était un esclave qui avait été volé à une autre famille qui, après certains scandales, avaient perdus toutes leurs possessions, y compris les esclaves. Il n'était pas traité en homme, dans cette famille, ni même en esclave. Il était le souffre-douleur du maître de maison, qui s'acharnait sur le jeune homme âgé de 29 ans. Il le considérait comme son malheur le plus ardent, sachant qu'Hélène, la mère de Cassiopée, s'éprit immédiatement de compassion et d'amour pour ce nouvel esclave qui avait subit tant de misères, mais dont la force avait su attirer le regard vide et sans espoir d'Hélène. Hector, le maître des lieux en avait eu bien conscience, voyant la vie prendre possession du corps de son esclave favori lorsque que Hyacinte était dans la même pièce qu'elle. Pour Hyacinte, il n'y avait également aucun doute sur son attirance pour la jeune esclave. Elle avait tout juste 21 ans, mais cela ne l'empêcha nullement de se prendre d'affection pour cette femme qui semblait si faible et si désespérée, en attente d'un héro pour la sauver.
Les deux esclaves n'avaient pourtant rien essayé pour se rapprocher, sachant pertinemment que les répercussions du maître Hector seraient sans aucun doute mortelles. Pourtant, ce dernier, pris d'une jalousie grandissante, fit fouetter Hyacinthe de plus en plus régulièrement au fil des semaines, voyant l'amour qu'il avait interdit sous son toit grandir dans les deux esclaves. C'était pour lui une abomination que de voir deux esclaves espérer et aimer. Son but était de les posséder, de les briser, de les dresser pour être leur vrai seul maître.
Les punitions q'infligeaient Hector à son souffre-douleur prenait une telle importance, que ce dernier faillit en mourir bien plus d'une fois. Cet état de douleur incessant fut le déclic qu'il lui avait fallu pour apporter son amour et sa protection à Hélène. S'il devait souffrir, il voulait avoir une raison de souffrir. Car pour le moment, il n'avait jamais touché Hélène malgré les coups de bâtons répétés de son maître qui l'insultait et le réduisait en charpie. Il était, pour Hector, l'incarnation du diable dans cette maison, en aimant éhontément une jeune esclave pour la séduire et la posséder.
Néanmoins, alors que Hyacinthe avait pris sa décision de prendre Hélène comme femme, se dirigeant avec force de conviction vers la femme de son cœur, les deux esclaves furent amenés de force à une des fêtes du maître des lieux. Ils étaient présentés comme le clou de la soirée que tout le monde attendait avec impatience. Hélène savait très bien de quoi il en retournait, mais ce fut avec horreur que Hyacinthe dû assister à la scène de viol de la jeune esclave qui fut posséder ce soir là par tous les hommes conviés, Hector finissant la besogne. Hyacinthe fut le suivant à subir cette humiliation. Cette soirée sonna le glas pour les deux esclaves.
Des années passèrent. Hélène enfanta une jeune fille qu'elle appela Cassiopée. Cette enfant fut elle aussi, une esclave, cependant, elle était également la fille d'Hector, ce qui l'immunisait contre les coups de fouets et les humiliations quotidiennes. Pourtant, elle connut malheureusement les bras d'Hector, alors qu'elle n'était âgée que de sept ans. Tout comme il avait agit avec Hélène des années auparavant, il le réitérait avec Cassiopée. Elle était plus belle que sa mère, de part son plus jeune âge et respirait le bonheur, malgré ses malheurs journaliers. Il était attiré par cette innoncence et pureté qu'elle dégageait. Jamais il n'avait senti une telle puissance que lorsqu'il entrait dans sa couche les nuits, même pas avec Hélène qu'il adorait. De plus, le fait de savoir qu'elle était sa fille exultait en lui des pulsions nouvelles.
Âgée de seize ans, Cassiopée, discutant avec sa mère, mentionna plusieurs histoires qui mirent la puce à l'oreille d'Hélène, qui en fut horrifiée. La culpabilité et la situation que sa fille vivait depuis neuf ans précipita un plan d'évasion le soir même qui fut un échec cuisant, malgré l'aide apportée par Hyacinthe. Pris en flagrant délit, les deux esclaves furent immédiatement pris en main par d'autres esclaves afin de les séparer de Cassiopée. C'est à ce moment précis, que pris d'une folie furieuse, Hélène confessa avec la plus grande rage un secret qu'elle avait cachée depuis bien des années.
« Elle n'est pas ta fille, sale porc répugnant ! Elle ne l'a jamais été et ne le saura jamais ! »
Ces paroles prirent une ampleur telle qu'Hector rentra dans une colère noire. Il s'empara du cou d'Hélène et la tira, la jetant au sol comme un déchet. Pris de folie, il la battit à mort, par des coups de pieds dans l'estomac et dans la tête. Hyacinthe fut tué à son tour, percé par une lance, alors qu'il tenta de sauver la femme de sa vie des mains de leur maître.
Cassiopée, témoin de cette scène, sut à présent que son vrai père n'était autre que Hyacinthe et qu'Hector était un monstre répugnant qui avait abusé d'elle de toutes les manières possibles. Il ruait de coups le corps sans vie d'Hélène, cette dernière ayant le crâne fracassé et les yeux boursouflés. Il s'arrêta néanmoins, mais ce n'était que pour reprendre son souffle. Bien vite, il s'approcha, menaçant, de la jeune fille. Il la prit par le col de son vêtement et la jeta contre un mur de pierre brut.
Son regard était tel que le diable s'enflammait dans ses yeux. Il désirait une vengeance, une justice, il voulait la mort et la souffrance. Et c'est ce qu'il allait offrir à la jeune fille. Il la garda captive pendant des années, l'obligeant aux plus grandes cruautés, aux plus grandes tortures. À plusieurs reprises, Cassiopée tenta de s'enlever la vie, mais à chaque fois, elle en fut sauvée par Hector, pour qu'il puisse continuer à lui infliger un calvaire sans fin. Sa haine s'éteignit quelques mois plus tard. Son dégoût prenant l'ascendant sur sa violence. Il se débarrassa rapidement de la jeune femme qui ne lui inspirait plus que de l'horreur. Elle n'était qu'une coquille vide, sans espoir, comme sa mère le fut autrefois. Il la jeta dans la rue, loin, la laissant pour morte.
C'est à partir de cet instant que la vraie souffrance de Cassiopée prit naissance.
Le froid, le désespoir, la solitude, l'amertume, la faim et la soif rongeait le corps déjà meurtri de la jeune femme qui n'était plus rien, même pas une esclave.
Elle quitta rapidement cette ville qu'elle haïssant tant, entreprenant son voyage vers partout et nulle part. Elle vécut de nombreux tourments, quelques moments joie qui lui donnèrent la force de continuer à vivre, et une myriade de rencontres qui lui fit découvrir de nouvelles choses, comme les divinités. Athéna en l’occurrence. Cassiopée la détestait de toute son âme, car si un tel Dieu avait pu exister, elle n'était ni l'incarnation de la sagesse, ni digne d'être adorée.
Alors qu'elle se trouvait dans une contrée qu'elle n'avait jamais connu, marchant sans but, haïssant tout autour d'elle, elle fut capturée par un groupe de brutes qui jalonnaient les environs. Cette fois-ci, ce ne fut pas de viols dont elle fut l'objet. Elle était humiliée et torturée à souhait pour le seul plaisir des hommes qui payaient pour assouvir leurs fétiches les plus sales. C'est à ce moment-là qu'elle tenta une approche vers Athéna ou n'importe quel autre dieu pouvant la sauver de cette horreur. Pourtant, personne ne vint à sa rescousse, personne. Elle n'était personne, personne n'avait besoin d'elle, elle était un jouet, une marionnette. Son destin était scellé. Son état de captive ne s'améliora pas, passant entre les mains de nombreux êtres abominables. Elle réussit néanmoins à s'échapper, prétendant sa mort. Elle fut jetée dans la Mer Noire, près d'Odessus, morte aux yeux de ses persécuteurs. Bien qu'elle essayait de survivre, elle désirait tellement en finir qu'elle se laissa mourir de faim après avoir rejoint une côte qu'elle ne connaissait pas.
Elle erra sur les nouvelles terres qu'elle foulait. Un cadavre ambulant sillonnait les terres de Transylvanie, mettant en horreur les qui pouvaient croiser leurs routes. La jeune femme âgée de vingt-cinq années à présent, se trouva finalement ce qui semblait être un abris en bois coincé dans des arbres et des ronces dans une forêt dense. Elle décida de s'y établir afin de s'y laisser mourir simplement. Ce n'était pourtant sans compter les allers et venus dans les bois, de chariots immenses qui de temps en temps se faisaient attaquer sous le regard inintéressé de Cassiopée. Passant après les attaques, elle prenait et se servait des restes d'objets laissés, mangeant quelques fois des restes humains afin de soulager son estomac meurtri. C'est durant ces fouilles hebdomadaires, qu'elle trouva des écrits religieux qu'elle utilisa d'abord pour d'autres fonctions que la lecture. Néanmoins, un jour, elle tomba sur des lignes qui attirèrent son attention. Des lyriques à la gloire du Seigneur des Ténèbres, du Maître de la guerre, de la vengeance et de la souffrance : Arès.
Si il y avait bien une chose qui avait fait battre son cœur depuis des dizaines d'années, il s'agissait de souffrance et d'une volonté exacerbée de vengeance et qu'elle voulait exercer sur toutes les nations de cette Terre. Animée par une présence nouvelle dans son esprit, Cassiopée se mit à déchirer les parchemins qu'elle tenait en mains.
« J'ai connu la douleur, la souffrance, la faim, la soif, la torture, l'humiliation, le désespoir, le goût de la chair humaine, la cruauté et le désir de mort . Qu'est-ce qu'un Dieu peut-il faire pour moi. Arès, Dieu de la Guerre ? Et bien qu'il fasse la guerre à ses hommes, à cette puante humanité et leurs croyances brisant tout espoir. Que son courroux vienne sur cette humanité répugnante, qu'il écrase et détruise tout ce qui se meut sur cette sale terre exécrable. Qu'il me tue, me réduise en charpie et m'annihile de cette vie stupide. Quelle fantaisie stupide que de croire en ces soi-disantes divinités qui ne pourraient supporter la moitié de ce que j'ai enduré dans ma vie. Je maudis la terre, la mer, le ciel et les dieux, les hommes et les femmes, leurs progénitures et leurs stupides dieux sans vie. »
Sa rage, son ton incrédule et sa haine silencieuse appelaient un désir foudroyant de mort et de douleurs qui fit écho dans les temps et les univers, piquant l'intérêt certain d'une forme de puissance millénaire qui voulait répondre ardemment aux cris de haine désespérant que dégageaient la chétive petite Cassiopée, amère de sa vie et remplie d'une puissante colère inassouvie et sans mesure tournée contre toutes formes de dieux et d'humains.
Viens à moi semblait toner son cœur, libère-toi, viens à moi, déchaîne ta colère entonnait-il, grave et puissant. Hurle ! Résonnait son âme.
Prise d'une douleur éreintante, écrasant son thorax déjà étroit, les crocs de la Famine prenaient en tenaille le petit corps de la femme. Ces hurlements firent s'envoler les corbeaux, s'enterrer les insectes. Elle s'effondra à terre, se roulant de douleurs contre la crasse et la boue des bois. Elle tentait de s'arracher les côtes qui la faisait souffrir le martyr. Elle se griffait, s'arrachait la peau, se saignant pour tenter de retirer cette tenaille invisible qui s'enfonçait dans sa chair comme des couteaux aiguisés. Elle connaissait cette souffrance, elle l'avait déjà vécu, peu importait.
« ACHÈVE MOI ! »
Elle n'avait pas peur de la mort, elle voulait mourir, la souffrance n'était rien pour elle. À ces paroles, la douleur intense stoppa. De la chair ensanglantée était coincée sous ses ongles, son buste était griffée, arrachée, sur son ventre coulaient des filets de sang.
Son esprit sombra dans l'inconscience, se rendant compte des dégâts qu'elle s'était infligée, pour se réveiller quelques heures plus tard, affamée. Cette sensation de faim qu'elle n'avait pas eu l'occasion de ressentir depuis des années par habitude, la prenait à la gorge, comme une punition pour avoir défier les dieux. Se levant d'un bond, toujours blessée, entaillée et griffée, elle courut dans toutes les directions pour trouver de quoi manger, mais tout ce qu'elle trouvait ne semblait pas calmer sa faim. Cet état de famine écrasa la femme pendant des semaines. Une douleur qui ne s'arrêtait pas, ne disparaissait pas. Elle tenta même de se manger elle-même tellement la douleur de son ventre vide la rendait folle.
Tue-toi tonnait son esprit, fais-toi une faveur et tue-toi.
Pourtant, elle endura cet état de souffrance, hurlant son agonie. Cassiopée comprenait qu'elle passait un test, cela ne pouvait en être autrement. C'était un combat qu'elle ne pouvait perdre, même contre un soi-disant dieu.
Au bout de ses semaines de famine, la tenaille invisible prit à nouveau le corps de Cassiopée, mais cette fois, aucune douleur ne s'empara d'elle. Ses joues devinrent plus roses, son corps gonfla de muscles et de chair, ses cheveux prirent du volume, son corps se régénérait, effaçant les cicatrices sur son corps, les marques faites au fer chaud, les lacérations, les années de tortures qu'on lui avait infligé. Ses lèvres craquelés par la soif se régénérait, son teint gris se renouvela, laissant place au teint de pêche de ces jeunes filles. Ses membres faibles reprenaient leurs forces d'antan.
Un souffle puissant la fit revivre, lui ouvrant les yeux sur un nouveau monde dans lequel elle n'avait jamais cru. Une puissance qui la fit marcher vers une Citadelle faite de chair et de sang qui appelait la nouvelle recrue vers une gloire sans fin, vers la guerre et la bataille, vers la réponse à ses cris de désespoirs, vers Arès.
Khelyn était à présent née de nouveau, brisant le cercle insipide de sa vie passée, prête à servir Arès qui lui donnait le pouvoir d'écraser ceux qui l'avaient écrasés. Et vous, qui êtes vous ? Age : 23 ans.
Avatar : Demon est Khelyn de l'artiste Guweiz.
Quelle est votre expérience des forums RP : Je fais du RP depuis mes 12 ans avec des pauses entre certains forums. J'ai fait des passages sur des forums Naruto (environ 5 différents, comment ça, j'suis une fangirl...), Bleach, Gunnm, Pensionnat, Charmed (dont j'étais la fonda), et d'univers inventés (me souviens plus combien par contre). En ce moment, je suis active sur Gunnm and dream (depuis 2006 avec pauses) et Shinobi no Hattan (depuis 2014).
Comment avez-vous connu le forum : Par un concours de circonstances fâcheux, je dois dire. Mais ravie d'être là ^^
Dernière édition par Khelyn le Ven 11 Nov - 17:01, édité 5 fois |
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