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Mai 553 AD
 
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 Lymsleia - Berserker du Bahamut

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LymsleiaLymsleiaArmure :
Cuirasse du Bahamut

Statistiques
HP:
Lymsleia - Berserker du Bahamut G-bleu1200/1200Lymsleia - Berserker du Bahamut V-bleu  (1200/1200)
CP:
Lymsleia - Berserker du Bahamut G-rouge1350/1350Lymsleia - Berserker du Bahamut V-rouge  (1350/1350)
CC:
Lymsleia - Berserker du Bahamut G-jaune750/750Lymsleia - Berserker du Bahamut V-jaune  (750/750)
Message Lymsleia - Berserker du Bahamut   Lymsleia - Berserker du Bahamut EmptyVen 8 Mai - 14:29
Lymsleia
Qui est-il ?
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    Nom : Lymsleia
    Date de naissance : En 532.
    Âge : 21 ans.
    Sexe : Féminin.
    Armure demandée : Cuirasse du Bahamut


Comment est-il ?

    S’il y a une chose qu’il est difficile de nier en voyant Lymsleia, c’est certainement le fait qu’elle semble avoir été bénie par Venus.
    Tout d’abord dans sa silhouette. Grande femme aux formes généreuses, semblant presque être une incarnation d’un fantasme masculin. De longs cheveux d’ébènes descendant jusqu’aux fesses, généralement simplement attachés à l’extrémité afin d’éviter un minimum qu’ils ne la gênent. Sa corpulence ne laisse nul doute sur le fait qu’elle n’est pas du genre à se laisser aller et qu’elle entretien une véritable forme physique.
    Puis plus dans le détail. Un visage de poupée, des lèvres pulpeuses, des yeux rouges accrochant presque inévitablement le regard à première vue.
    Le tout d’un naturel pur, nulle trace de maquillage ou d’artifice n’étant visible, son apparence étant le cadet de ses soucis.

    Pourtant, la perfection n’existe pas.
    Sa peau, paraissant sans imperfection à première vue, est marquée des traces d’une vie difficile, nombreuses cicatrices, brûlures ou autres parsemant celle-ci. Et, bien que ses vêtement en masquent généralement la majorité, il n’est pas rare d’en apercevoir certaines.
    Nombreux pourraient également être dérangés par l’expression semblant la plus présente sur son visage. Une certaine indifférence, comme si les événements glissaient sur elle sans l’affecter.

    Et ce dernier sentiment va généralement en s’accroissant en la fréquentant. Ceux la connaissant un minimum diraient qu’elle vit dans son propre monde et est déconnectée de la réalité. Peut-être est ce la conséquence de son passée, mais il arrive assez fréquemment qu’elle se détache de ce qui l’entoure, pouvant aller jusqu’à parler seule, y compris lorsqu’elle ne l’est pas.
    L’instant d’après elle peut se transformer en véritable furie sans raison apparente, invectivant quiconque a le malheur de la croiser et n’hésitant pas à véritablement s’en prendre à celui qui oserait l’approcher.
    Bien entendu, il s’agit là de cas extrême, elle reste capable de relations normales avec autrui, bien que l’indifférence visible sur son visage ne la quitte que rarement et qu’il peut donc être difficile de deviner ses sentiments réels.


Son Histoire

    >> An 532
    Constantinople, capitale de l’Empire romain d’Orient. Comme tout lieu d’une telle importance, la prospérité se mêle généralement à la misère. Si certains ont la chance de vivre dans la première, nombreux sont bien évidemment à subir la deuxième. Nulle ville d’une telle importance ne peut survivre sans son côté sombre.
    Et c’est donc au sein de celui-ci que Lymsleia vit le jour. Nul ne connaissait son père, sa mère étant l’une des nombreuses prostituées gravitant dans les bas quartiers. Si cette pratique fut, pendant un temps, autorisée et encadrée, lui apportant une certaine protection, cela remontait maintenant à bien longtemps. Plusieurs Empereurs tentèrent d’y mettre fin, scellant progressivement le sort de celles en vivant sous couvert d’un but louable. Justinien enfonça un dernier clou, interdisant le proxénétisme et tentant de réhabiliter les prostituées en ouvrant un centre. Ce fut un échec,
    La mère de Lymsleia, Fausta, se retrouva donc à devoir faire un choix. La rue avec un bébé sur les bras, ce qui était inimaginable et l’obligerait donc, inévitablement, à l’abandonner tôt ou tard. Ou bien devoir requérir la protection de criminels. Et, malgré la situation, une chose était certaine. Fausta aimait véritablement sa fille comme ce qu’on pouvait attendre d’une mère. Et, bien que n’ayant nul doute sur le destin qui attendrait une fille dans le deuxième cas, ce fut ce dernier qu’elle choisi, l’abandon étant inconcevable pour elle.

    >> An 540
    L’enfance de Lymsleia ne fut en rien comparable à celle de la majorité des gamines de son âge. Son éducation fut des plus rudimentaires. Si la majorité des filles avaient au moins le droit à un début de scolarité classique, tel ne fut pas son cas. Seuls les bases les plus importantes lui furent inculquées. Savoir parler un minimum correctement, ainsi que le strict nécessaire d’éléments pour ne pas trop laisser transparaître son « statut » au sein de la société. Car seul l’utile était important. Et à son âge, seule la mendicité était utile.
    Des camarades ? Elle en avait quelques uns. Des rebuts de la société, comme elle, ou des orphelins. Lorsqu’ils ne servaient pas à rapporter de l’argent à leurs « maîtres » ils avaient le droit de profiter un peu. Mais comme s’amuser ne faisait pas parti de leur éducation il était difficile d’imaginer que leurs jeux étaient ceux des autres enfants. Mais si un point de vue extérieur pouvait se rendre compte de leur misère, tel n’était pas leur cas. Après tout, ils ne connaissaient que ça. Les premières années de la vie ne furent donc pas malheureuse en soi.
    Jusqu’à un certain point.

    N’ayant que ça pour subvenir un minimum à ses besoins et à ceux de sa fille, Fausta continua de se vendre. Et, sans réelle surprise, elle fini par tomber malade. C’était chose courante autour d’eux, peut être simplement un peu plus chez les prostituées. Et l’issue était presque systématiquement la même. Si bien que rapidement on arracha l’enfant à sa mère. Lymsleia n’eut même pas l’occasion de lui dire au revoir qu’on lui annonça qu’elle ne la reverrait jamais.
    Les années suivantes furent un peu plus compliquées pour elle. Du fait de son âge on ne lui demanda pas plus qu’auparavant. Mais elle n’avait plus la protection d’une mère aimante. Le changement de traitement fut une première étape dans ce qui allait faire d’elle la femme qu’elle était. Si elle avait réussi à conserver un minimum de l’innocence d’une enfant, son huitième anniversaire en marqua la fin.

    >> An 544
    - Eh, Lym’. Ça t’fait quel âge maint’nant ?

    Cette question semblait des plus anodines. Elle-même ne comprenait pas pourquoi on la lui posait, et ce fut donc avec une réelle candeur que, après un instant de réflexion afin de difficilement compter, elle lui répondit qu’elle devait avoir plus ou moins douze ans. Cephalas, l’homme qui s’était certainement le plus occupé d’elle depuis la séparation d’avec sa mère, semblait pensif, la détaillant méticuleusement du regard.
    Il fallait dire que ses formes commençaient à véritablement se dessiner et, bien qu’il n’y avait pas de doute sur le fait qu’elle n’était pas encore une femme, il commençait à voir en elle une autre source de gains que la mendicité. S’ensuivit un certain silence. Lorsque Lymsleia lui demanda naturellement la raison de sa question, il répondit de façon des plus évasives avant de s’absenter. Ce simple échange semblait anodin pour elle et marqua pourtant un véritable tournant dans sa vie.

    Deux semaines plus tard se produisit l’un des événements les plus marquants, et paradoxalement l’un de ceux dont elle se rappelait le moins. Cette nuit de printemps, les derniers vestiges de son enfance furent vendus à un quelconque commerçant de la ville.
    Ce fut certainement à ce moment que sa personnalité actuelle commença à être forgée. Les jours, voir semaines tellement le temps fut une notion étrange pendant cette période, qui suivirent furent marqués par son absence. Encore maintenant elle était incapable de les décrire, étant réellement simple observatrice de sa vie. Personne ne lui en parlait non plus. Ce ne fut que quelques temps plus tard qu’elle compris ce qui s’était passé.

    Car ce qui avait été sa première fois vendue au prix fort devint dans un premier temps régulier. Certains avaient encore quelques scrupules à requérir les services de quelqu’un d’aussi jeune, aussi séduisante pouvait elle paraître. Et ce fut la seule raison pour laquelle sa nouvelle activité ne fut pas encore quotidienne. Le seul avantage, si on pouvait dire, était qu’on ne lui demandait plus de mendier.
    A côté de ça, elle se referma de plus, rejetant ceux avec qui elle passait encor ses rares et précieux moments de distraction un mois auparavant. Au bout de quelques temps elle finit par comprendre, plus ou moins « aidée » par Cephalas, qu’elle était en train d’emprunter les pas de sa mère. Bien entendu, ce dernier présentait les faits comme si elle devait en être fière. Elle voyait les choses de façon quelque peu différente, bien qu’elle ne le montra pas.

    >> An 551
    Les années qui suivirent marquèrent réellement la fin de son évolution. Plus elle devenait femme, plus elle devenait sa mère. Les premières furent marquées d’une volonté d’oublier par le mal. Ce qui était une mauvaise idée, car ses maîtres n’aimaient pas qu’on abîme la marchandise. Au moins, les clients se prenant trop au jeu et laissant des marques se faisaient bien plus sévèrement punir qu’elle.
    Et certains hommes avaient beau lui promettre monts et merveilles, elle savait que ce n’était que du vent et rapidement, consciente qu’elle n’avait nulle chance de sortir de sa condition, elle trouva une nouvelle solution pour supporter ce qui était maintenant sa vie. Et ce fut ainsi qu’elle devint en quelque sorte passagère de sa propre existence.

    Jusqu’à ce jour où tout bascula.
    Si elle travaillait majoritairement dans la ville, il arrivait que certains clients, plus fortunés que d’autres, demandaient ses services dans un lieu tout autre, généralement pour une durée prolongée. Bien entendue, comme elle était une marchandise précieuse, il était hors de question de rendre seule dans ces lieux, que ce soit au cas où elle tentait quelque chose mais également, et véritablement, pour sa protection. Cette fois, il s’agissait d’un simple week-end dans une propriété de campagne d’un quelconque marchand dont elle ne se souvenait plus du nom, et encore moins du visage. Bien entendu, Cephalas et quelques uns de ses hommes l’accompagnait. Et si on rajoutait les gardes de celui l’ayant demandée, la simple idée de s’enfuir fut, comme d’habitude, inimaginable.
    Ce fut pourtant le lieu de sa renaissance. Lorsque ses services n’étaient pas requis, on la laissait seule dans une salle, enfermée, avec tout juste de quoi se nourrir. Aujourd’hui encore, si on lui demande, elle affirme que ce fut dans un coin de cette pièce qu’elle entendu comme un appel provenant de ce qu’elle pensait être un meuble recouvert d’un drap. Simple pièce de la collection du marchand dont il ne se souvenait même pas de l’acquisition, il la laissait dans un coin car certains disaient de cet ornement qu’il était maudit. Lui espérait simplement trouver un quelconque collectionneur crédule afin de lui vendre au prix fort, en vain jusque là.

    Lymsleia ne se souvenait pas très bien de la suite des événements. Elle pouvait dire qu’en soulevant le drap elle s’était retrouvée devant une représentation d’un espèce de serpent ailé fait d’une matière inconnue, semblant véritablement vivante. Puis, comme attirée, elle toucha cette chose, et s’ensuivit la frénésie. Pure, véritable et, surtout, libératrice.
    Son réveil fut des plus particuliers. Seule âme vivante dans la demeure, le sang la recouvrant autant que le sol et les murs, ce fut comme si elle venait de vivre une nouvelle naissance et de devenir une autre personne. Et surtout, elle sentait au plus profond d’elle qu’elle n’était plus seule, comme si son être avait été jusque là fracturé et venait de se compléter.
    De plus, elle savait qu’elle avait dorénavant un but. Il s’agissait encore de servir un maître qui, de nouveau avait besoin de corps, mais de façon bien différente, similaire à ce qu’elle venait de vivre. Cette perspective étant bien plus réjouissante à ses yeux que d’observer sa vie s’écouler sans pouvoir intervenir, elle embrassa pleinement cette volonté et se mis en route, guidée par son nouveau compagnon, Bahamut.



Et vous, qui êtes vous ?

    Age : 29 ans.
    Avatar :
    Code:
    [b]FINAL FANTASY VII[/b] → [i]Tifa Lockhart[/i] est [b]Lymsleia[/b].
    Quelle est votre expérience des forums RP : Je sors d’une pause qui doit être à peu près aussi longue que mon activité. Ce qui se compte en années.
    Comment avez-vous connu le forum : On m’en a parlé, j’ai vu de la lumière, ça m’a chauffé.

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https://www.saint-seiya-ageofgold.com/t2043-lymsleia-centurion-d
RebaRebaArmure :
Lion Mineur

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Lymsleia - Berserker du Bahamut G-bleu1/1Lymsleia - Berserker du Bahamut V-bleu  (1/1)
CP:
Lymsleia - Berserker du Bahamut G-rouge1/1Lymsleia - Berserker du Bahamut V-rouge  (1/1)
CC:
Lymsleia - Berserker du Bahamut G-jaune1/1Lymsleia - Berserker du Bahamut V-jaune  (1/1)
Message Re: Lymsleia - Berserker du Bahamut   Lymsleia - Berserker du Bahamut EmptyVen 8 Mai - 14:33
Bienvenue officiellement, donc. Quel étonnant choix d'avatar !

Ayant eu l'occasion de lire la fiche en avant-première pour m'assurer que tout était en ordre, je ne perds pas plus de temps et te valide à Éveil 5, l'équivalent d'un rang Or.
En tant que nouveau joueur validé durant ce premier mois de réouverture, tu perçois également un bonus de 75 XP, que j'ajoute dès maintenant à ton profil.

Bon jeu sur AoG !
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SamaëlSamaëlArmure :
Cuirasse du Djinn

Statistiques
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Lymsleia - Berserker du Bahamut G-bleu0/0Lymsleia - Berserker du Bahamut V-bleu  (0/0)
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Message Re: Lymsleia - Berserker du Bahamut   Lymsleia - Berserker du Bahamut EmptyVen 8 Mai - 14:37
Tifa... forcément °°

Bienvenue dans la Légion des Ombres et des Murmures poto !
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MehryMehryArmure :
Armure de l'Ophiuchus

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Message Re: Lymsleia - Berserker du Bahamut   Lymsleia - Berserker du Bahamut EmptyVen 8 Mai - 14:52
Bienvenue Lymsleia,
Félicitations pour ta validation et à bientôt dans les rps !
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Message Re: Lymsleia - Berserker du Bahamut   Lymsleia - Berserker du Bahamut Empty
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