Thalès - Général de l'Hippocampe au grand cœur [Terminée]

Thalès

Qui est-il ?

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Nom :

Date de naissance :

Âge :

Sexe :

Armure demandée :

Comment est-il ?

Apparence :

Si il y a bien une question que s'est souvent posée Thalès... C'était bien celle-ci. Pourquoi on demandait toujours l'avis sur l'apparence des autres ? C'était pas leurs problèmes. En ce qui le concerne, Thalès est un jeune homme bien dessiné physiquement parlant... Il a la carrure d'un véritable athlète grec. En fait, partout où ce crétin aux cheveux courts argentés va... Il laisse une trace dans les mémoires de tout le monde sur au moins un trait de son physique. Pour la plupart des jeunes filles, ce sera son regard ténébreux et charmeur... Pour ses rivaux, les hommes, ce seront ses bras qui contiennent une force incommensurable... A tel point qu'il avait même été surnommé le Mastodonte, alors qu'il était loin d'avoir la carrure d'un gladiateur. Pour Thalès, c'est plutôt Mercure. Courir quand il le faut, et très vite. Vraiment très vite.

Il y a une seule couleur qu'il aimera toujours porter. Le Bleu. Personne ne sait vraiment pourquoi, c'est la question à un million de pièces d'or que tout le monde se pose, quand ce tout le monde le connaît vraiment bien. Selon ses dires, il penses que le bleu est une couleur des plus rafraîchissantes, des plus glaciales... Et meurtrière. Le Bleu peut vous exploser la rétine en un rien de temps ! Elle peut vous rendre paranoïaque ! Ou peut-être pas... Thalès aimait juste le bleu pour sa notoriété froide et noble. Après tout, il cherchait à impressionner. Il ne le cachera pas mais il tient à paraître héroïque, même si son attitude ou ses actes pouvaient montrer l'inverse. En réalité, il veut juste être le héros ou le héraut de quelqu'un à qui il tiendrai de toutes ses forces. Alors il paraît bien sappé, le tout d'une couleur froide pour montrer qu'il n'est pas parfait, et qu'il assume ça entièrement.

Son regard ténébreux et charmeur, parlons en. La couleur ? Un bleu océanique des plus émerveillant. A tel point qu'on pourrai croire que son coeur est pur, et que son âme ne cache aucune mauvaise onde. En fait, tout chez lui, que ce soit ses vêtements, sa couleur préférée, son visage et sa gestuelle... Tout laissera sous-entendre qu'il n'est pas quelqu'un de mauvais, qu'il était très loin de ça.

Psychologie :

Et il l'était vraiment, là était la véritable ironie ! Sous ses airs de mauvais garçon, de bad-boy cliché, Thalès était gentil, affectueux et serviable. Malgré toute sa force, il pouvait rivaliser avec n'importe qui... Mais il avait l'esprit de quelqu'un qui voulait faire connaissance avec tout le monde. Même plus que ça, il voulait en faire sa nouvelle famille. Ses proches les plus proches, pour ainsi dire. Et pourquoi pas l'âme sœur ?! Un monde en guerre ne signifiait pas pour autant la fin des bons moments. Thalès n'était pas contre une conquête amoureuse. Au contraire, ça le motiverai encore plus à devenir plus fort afin de protéger celle qu'il aime... Et cela, même si la personne en question savait très bien se défendre. Mais comment séduit-il, diront la plupart ? L'humour, être nature... Ces bêtises habituelles. Son arme fétiche... Jouer avec son physique d'athlète et son regard ténébreux ? Non. Plutôt mettre en confiance la personne qu'il voudrai séduire, passer plus de temps avec elle qu'il ne faudrai d'habitude.

Tout ceci était bien beau... Mais quand était-il du plus intéressant ? Son sens de la justice surdévellopé. Il lui était inconcevable de rester sans rien faire devant un crime des plus odieux, même le plus minime comme un vulgaire vol. Thalès avait souffert, hors de question que les autres souffrent également. Il voulait répandre l'espoir autour de lui. Etre un symbole pour beaucoup. En plus d'être justicier à ses heures, il était aussi loyal jusqu'à la mort. Celui à qui il prêtera serment d'allégeance... Sa bien-aimée... Quiconque aura gagné sa confiance se verra avoir un allié pour l'éternité. Jamais il ne reviendrai sur sa décision, et serai même prêt à donner une seconde chance si il venait à être trahi. Quand à ses ennemis, il leur donnera également l'occasion de fuir, la mort étant l'option la plus extrême à ses yeux. Mais il tuera si son Seigneur lui en donnait l'ordre. N'ayez pas de doutes la dessus, Thalès n'a pas peur d'avoir du sang sur les mains. Mais il se sentira triste pour l'âme qu'il n'aura pas pu aider à continuer de prospérer dans le monde des vivants.

Et comme chaque être humain sur cette planète... Thalès avait un point noir. Un seul. Son sens de la justice cachait une violence sans précédent. Chaque criminel qui pouvait tomber sous ses yeux se verrai avec plusieurs os brisés, et un regard des plus perçants à leurs égards. Il les haïrai du plus profond de son être. Il pouvait être un tout autre homme qu'un gros nounours sur jambes. Ayez l'audace de briser son code d'honneur, et vous en paierez les conséquences. Très cher. Il irai jusqu'à vous laisser à peine de quoi vous gardez en vie, très brièvement. Il voudra que vous reteniez la leçon au millième de degré, il se fiche de votre existence. Ce dont il prête attention en revanche, c'est le maintien de l'ordre et de la paix. Un héros qui n'avait pas peur de se salir les mains. Comment appellait-on ça ? Oh oui, un anti-héros. Seul l'amour de ceux qui lui sont proches lui importait. Quand aux autres inconnus, un simple merci, un regard compatissant envers les victimes, et cela s'arrêtait là. Il n'ira jamais plus loin, et ne s'intéressera jamais à la vie des victimes d'une injustice. Si une personne était plus spéciale que les autres à ses yeux, alors il ira lui parler. La banalité, il s'en foutait. Royalement.

Son code justement, résumait en trois choses distinctes : Honneur, Force et Espoir. Pourquoi l'espoir pour quelqu'un use de tant de violence pour défendre les opprimés, à tel point de presque tuer ses victimes ? Pour espérer les voir réfléchir à leurs existences dans ce monde, à les voir se demander " Et si j'avais fais le mauvais choix ? Et si mon véritable ennemi était celui qui veut rendre ce monde pire que les Enfers ? " Les Hommes étaient des créatures frêles et peureuses. Mais il croyait en l'humanité, il les pensait capables de faire le bon choix au moment opportun. Voilà pourquoi l'Espoir figurait dans son code. Mais tout le monde pouvait faire une erreur dans leurs calculs... Thalès le savait. Et il tuerai sans hésiter celui qui choisissait de vivre parmi les ténèbres et prendre la voie de la facilité. Les lâches, il ne pouvait pas les supporter. Mais il leurs laisserai une seule et unique opportunité de lui prouver le contraire, sans quoi la victime finira les pieds devant la porte de la maison d'un des membres de sa famille.

Naissance d'un justicier trop extrême

Fin Mai 550, une nuit pourrie par la pluie et les éclairs

- Hey, Thalès ! Tu paie ta tournée ?!

- Tss... Pourquoi ? J'ai rien commandé que je saches.

- Oh allez, fais pas ton rabat-joie ! Amuses-toi un peu !

- La dernière fois que je me suis amusé, Oscar, j'ai dû supporter une cicatrice à l'oeil... A cause d'un verre brisé. Et c'était ta faute, en plus de ça !

Eh oui. Une fois de plus, Thalès venait voir ses amis à Babylone, toujours dans la même taverne au coin d'une ruelle. Il ne s'en lassait jamais. C'était en 545, précisément le 14 Mai 545. Il avait tout d'un jeune homme de vingt ans qui passait son temps à voyager, de ville en ville, de contrée en contrée. Et ce depuis qu'il a perdu son père des mains d'un chasseur de primes... La raison ? Le père de Thalès avait un ennemi dans le marché du bois, quelqu'un jaloux de ses travaux. Afin de s'approprier tout ce dont il a passé des heures, des journées entières, il décida de mettre fin à sa vie. Par pure jalousie. Thalès avait vu faire le meurtrier, alors que son père revenait chercher de l'eau pour le souper. Il se fit trancher la gorge, en une fraction de secondes. En un instant, il perdit son père à jamais et vit s'enfuit le lâche responsable de cette atrocité. Le petit garçon alors âgé de neuf ans à l'époque, fit le serment de poursuivre le responsable... Et de lui trancher la gorge également. Oeil pour oeil... dent pour dent.

- Hey Thalès ! On t'a jamais dit que t'avais un nom de philosophe ?! C'est vrai quoi !

Disait-on, d'un ton très certainement ivre.

- Pauvre tâche... Va dormir au lieu de dire des âneries !

Répondait le jeune homme, amusé, riant.

En vérité, Thalès était à Babylone pour une chose. On l'aurai deviné facilement. Il avait enfin retrouvé la trace du chasseur de primes qui avait prit la vie de son père, il y a onze ans de ça. Il riait, ça oui, il riait. Mais il cachait toute sa colère, et toute son impatience d'enfin pouvoir mettre les mains sur l'assassin. Sa mère était retournée à Thèbes, ville natale de Thalès, après le meurtre de son mari. Lui, il avait fait le serment de ne plus jamais y retourner tant que l'assassin n'avait pas payé pour ce qu'il a commis. Justice devait être rendu. Et Thalès avait le pouvoir de lui faire payer ça au centuple... Il l'avait acquis il y a six ans, et depuis... Il n'a cessé de s'entraîner à combattre...

Mais la petite fête à l'auberge continuait. Thalès regardait les gens s'amuser, il cherchait surtout si celui qu'il voulait voir était présent. Malheureusement non. Après un léger soupir, il reprit le sourire pensant qu'il devait se détendre un peu. Etre tendu à chaque instant était mauvais pour son corps et son esprit. Alors il buvait son rhum, tranquillement et calmement. Jusqu'à ce qu'il voit une chaise voler au dessus de lui. Puis un tabouret... Ainsi qu'un homme avec un joli œil au beurre noir. Très intrigué, il se retourna afin de mieux comprendre ce qu'il s'était passé. Voir deux objets voler... C'était compréhensible. Mais un être humain ? On ne s'y attend jamais quand on veut profiter d'un moment de paix. Thalès commençait à ricaner peu à peu... Les bagarres dans les auberges étaient fréquentes après tout. Jusqu'à ce que la garde arrive, alerté par les cris, les encouragements à se battre et les fracas.

- Mais qu'est-ce qui se passe ici ?! Vous allez la fermer oui ?!

Criait un d'eux, glaive sorti.

- Eh bah vous savez... Vous les gardes... Bah vous êtes moches. Voilà. Avec votre cuir, on dirai des écuyers !

Disait un homme ivre avant de se prendre un poing en plein visage de l'un des gardes, ce qui fit lever Thalès de sa chaise.

- Il est ivre, ce coup n'était pas nécessaire... Disait-il, le ton froid, le regard l'était tout autant.

- Et t'es qui toi pour nous dire quoi faire, hein ? On vient rétablir l'ordre ! Point barre !

- Je serai celui qui vous enseignera comment on rétablit l'ordre si vous ne faites pas mieux votre travail. Ou alors si vous n'avez pas encore compris, je vous piétinerai comme des larves si vous touchez à encore un seul cheveu de ces hommes et femmes innocents.

- Espèce d'enfoiré !

Le garde voulait le frapper, Thalès bloqua sans même bouger. Celui avec le glaive sorti planta sa lame dans une table après que Thalès l'ai levée avec son pied. Il avait déjà perdu son sourire, les gardes étaient allés beaucoup trop loin. Maintenant, ils allaient tous le payer. Tous autant qu'ils étaient.

- Vous avez agis. Maintenant, à mon tour.

Disait-il avec un ton hargneux.

Et il frappait rapidement, sans pour autant négliger la force dans ses coups. Il lança une chaise en plein visage d'un des gardes, mit un coup de coude violent sur un autre et terrassa le dernier avec un coup de pied retourné. L'affrontement était violent, intense mais très rapide. Juste assommés lourdement, Thalès vit que les clients de l'auberge le regardait intensément... Avant de l'acclamer comme un héros qui venait de sauver des gens d'un passage à tabac. Devant tant de gratitude, Thalès prit sa veste à capuche bleue, et sortit rapidement... Capuche rabattue sur la tête. La pluie était torrentielle, le tonnerre grondait et les éclairs surgissaient. Ce qui venait de se passer était nécessaire, pour le bien de plusieurs vies. Mais il se fichait pas mal de ce que pouvaient penser les autres, qu'ils aient un bon ou un mauvais avis sur lui. Ce qui lui importait étant l'acte, pas les bénéfices. La vengeance... Depuis plus de onze ans, elle grandissait en Thalès comme du venin dans ses veines, à lui dicter le moindre de ses actes. Toutes ses pensées, toute sa violence renfermée n'étaient destinée qu'à une seule personne. C'est alors que son aura d'un bleu profond surgissait tout autour de lui... Sa colère nourrissant le Cosmos qui était en lui. Mais comment l'avait-il éveillé ... ?

Décembre 539, un jour enneigée

Thalès n'avait alors que quatorze ans, main dans celle de sa mère. Même avec sa propre mère, le très jeune adolescent n'avait que pour sujet... L'assassin de son père. L'enflure qui l'a privé de vivre une aventure avec son paternel, de vivre ce que tout les autres enfants pouvaient ressentir avec le leurs ! La figure maternelle était là, rassurante, chaleureuse... Mais il lui fallait un modèle à suivre, une icône à vénérer. Et son père était le seul à pourvoir à ce poste. Personne d'autre, pour la simple raison que sa mère n'avait les épaules assez solides pour supporter tant de responsabilités. Thalès réécrivait très souvent le même paragraphe, d'un ton assez angoissant :

Pour celui qui a créé le monstre que je suis,

et qui a pris l'être le plus cher à mes yeux

Moi, Thalès, te déclarerai la guerre à tout jamais,

L'arme de destruction massive que je supportes

Connue comme la vengeance

va oblitérer chacun de tes biens, éteindre tout espoir dans tes yeux,

Jusqu'à ce qu'il ne reste absolument plus rien de toi,

Pour mon père, tu mourras, tu pourriras, tu brûleras.

Il le réécrivait pour ne pas oublier. Mais la plupart du temps, ça finissait par le papier écrabouillé dans sa main et lancé contre un mur avec un cri. La colère était si intense, que lorsqu'il frappait le papier enroulé... Une légère onde de choc bleutée éclatait à ce moment là, sortant de son poing. Il commençait peu à peu à le ressentir... Comme un pouvoir en lui, qui venait à peine de s'éveiller. Un large sourire apparut sur son visage, il venait d'acquérir un pouvoir qui allait l'aider à démembrer quiconque oserai s'en prendre à lui. Il serra son poing tellement fort qu'il en tremblait... Une aura bleue l'entourait, son regard était des plus colériques. Le lendemain matin, il en profitait pour essayer de maîtriser ce pouvoir... Cette énergie qui était en lui. Mais rien n'était.

- Allez ! Bon sang, ça marchait hier soir ! ALLEZ ! Criait-il, frustré.

Peu importe ses efforts, il continuait d'échouer pour retrouver ce pouvoir qui venait de lui la nuit dernière. Quel état l'élément déclencheur ? La colère ? Le désir de se venger ? Ou tout autre chose lié à son but ultime ? Pour user de son Cosmos à pleine puissance, il devait connaître les légendes racontées à ce sujet. De passage à Athènes pour une affaire de famille, Thalès en profitait pour fouiner dans les bibliothèques de la ville... Mais rien sur le Cosmos, mise à part une similitude avec ce que l'on appelait... l'Univers. Un espace sans fin, l'infini. Alors il se posait la question... Et si le Cosmos fonctionnait si on avait la volonté de le ressentir ? Si on voulait ressentir tout l'Univers en soi sous forme d'énergie ? Devant son tronc d'arbre, Thalès fermait les yeux.

- Je veux utiliser le Cosmos pour venger la mémoire de mon père. Je veux utiliser le Cosmos pour protéger quiconque aurai à subir ce que j'ai vécu. Je veux utiliser le Cosmos pour être garant de la paix partout, même sous les mers. Je ne donnerai ma loyauté qu'à un grand leader avisé, et qui veut donner à ce monde la paix qu'il mérite.

Sous les mers... Il disait ça après avoir lu les légendes de Poséidon, Dieu des Océans. Des hymnes également. Le puissant Poséidon, sur son char tirés par quatre chevaux, armé de son Trident d'airain. Il avait un profond respect pour celui qui régnait sur les mers, et qui punissait les plus indignes des êtres humains avec des tempêtes ou des raz de marée. Poséidon avait t'il le sens de la justice en lui ? Pensait-il que seuls ceux qui étaient dignes de représenter le meilleur de l'Humanité pouvaient continuer de prospérer ? Même à quatorze ans, Thalès ne souhaitait que ça également. Éradiquer le Mal par le Mal, et ne laisser que ce qui il y a de meilleur dans l'Humanité. Pour lui, les notions de la lumière et des ténèbres n'étaient que des bêtises sans noms, des foutaises à faire dormir debout. Il n'y avait pas de Bien ou de Mal. Juste les actions, et rien d'autre. On devait faire ce qui devait être fait. Le jeune garçon regardait ses mains avec attention... Avant de fendre l'air d'un coup de poing dont une aura bleutée l'entourait. Puis son poing gauche avait la même aura peu à peu... Il donnait des coups dans les airs, de plus en plus vite, émettant les onomatopées du guerrier. Son regard changeait du tout au tout, passant la colère aveuglante à la volonté de protéger ce qui restait de meilleur dans ce monde, même si la Terre était déjà bien pourrie par tout les salopards, les seigneurs de guerre dans les différents pays, les gloutons de rois de toute sorte... Thalès donnait trois coups de poings rapide avant d'avoir l'impression que le temps ralentissait après avoir fait un léger saut pour donner un ultime coup de poing. Il sentait l'énergie en lui se fortifier, devenir de plus en plus puissante ! Puis en donnant son dernier coup, il créa comme une torpille de vent qui fonçait droit vers l'arbre, éclatant en morceaux à l'impact de cette petite bourrasque ! Thalès ricanait après avoir assisté à ce spectacle de force... Il n'osait pas imaginer ce qu'il ferai subir à celui qu'il cherchait.

Retour en 550, mois de Juin

Thalès tenait une piste. Il avait entendu par les rumeurs urbaines qu'un mercenaire était en ville, ici à Babylone et qu'il projetait de partir pour Alexandrie, mais dont il ignorait encore le but. Il se précipitait vers les écuries, ne voyant que celui qui prenait soin des chevaux.

- Est-ce qu'un homme est venu ici ? Grand, les cheveux longs de couleur ambrée, et armé de dagues ? Dites-le moi, c'est très urgent !

- Euh... Oui, il m'a acheté un cheval pour des centaines de pièces d'or, il a fait ma richesse pour des années.

- Je vous en prends un aussi. Tenez. Disait Thalès, tendant un sac de pièces d'or qu'il avait repris à un voleur après l'avoir passé à tabac.

- Woh... Hey merci, mon brave !

Thalès chevaucha Lièvre Rouge, un cheval aux poils marrons mais qui donnait l'illusion d'être rouges ! Dans sa tête, les mêmes mots se répétaient sans cesse. Toujours et encore.

" Cette fois, je te tiens. Tu ne t’enfuiras pas. C'est terminé. "

Il faisait courir son cheval, il l'encourageait à continuer ! Jour et nuit, Lièvre Rouge et son cavalier dévalèrent les plaines désertiques aux alentours de Jérusalem, la grande ville la plus proche après Babylone. Mais les pistes montraient que sa cible se dirigeait vers Tyr. Alors il prit la même route, ne relâchant absolument rien. Les seules pauses qu'il prenait était pour nourrir et laisser Lièvre Rouge reprendre des forces... Mais il était beaucoup trop impatient... Il pensait perdre un temps précieux. Finalement, le voyage vers la ville de Tyr avait prit une bonne semaine. Thalès s'était bien attaché à son cheval, entre les caresses ou coller son front contre le cou de l'animal tout en souriant... Il l'aimait beaucoup. Une des beautés de cette planète étaient les animaux, majestueux, nobles... Les chevaux correspondaient parfaitement à la description. Pour un léger murmure " Je te laisserai pas tomber, vieux frère. " aux oreilles du cheval, Thalès prit la direction du port. Là, il vit une grande embarcation, un véritable navire de transport qui était en train d'entreposer des caisses de vivres... Tout l'équipage était armé. Et il le voyait enfin. Près du gouvernail. Le regard de Thalès était rempli de mépris et de fureur à cet instant précis. Il l'avait enfin retrouvé, après des années à s'être entraîné... Seul, avec pour seule motivation de retrouver ce déchet vivant, et l'exterminer. Il n'avait qu'une envie, aller sur le navire et lui trancher la gorge tout de suite. Mais il était en infériorité numérique, il devait faire preuve de ruse. C'est alors qu'il entendait plusieurs voix, une conversation... Qui le concernait car le nom de Grégor fut prononcé.

Le capitaine veut retourner à Alexandrie pour s'expliquer avec celui qui l'avait engagé pour un vieux contrat rempli.

- Pourquoi au juste ?

- A ce qu'il paraît, le contrat est encore d'actualités. On dit que le capitaine est poursuivit par un fou furieux.

- Et on a assez de marins pour lui assurer sa protection ?

- Non, justement. J'en recherches. On sait jamais, mon vieux.

- Je suis volontaire ! Disait Thalès, marchant comme si de rien n'était.

- Mais d'où tu sors toi ?!

- Je ne faisais que passer, jusqu'à ce que j'ai entendu que vous recherchiez des matelos. Je suis volontaire.

- D'accord, petite nature. Mais je te préviens, pas d'argent, et que des corvées pour toi. Je me suis bien fait comprendre ?

- Je serai parti si ce n'était pas le cas.

Il prenait la caisse que le matelos lui indiquait, et reçut l'ordre de l'amener sur le navire, qui était déjà prêt pour le départ.

- Hey ! Mais qu'est-ce que tu fais ?! Cette caisse là ne va pas vers les vivres, elle va aux quartiers de l'équipage, ce sont nos outils et armes supplémentaires que t'as entre les mains, là ! Alors dépêches toi !

Thalès répondait avec un signe de la tête avant de se diriger vers les lieux qu'on lui avait indiqué sur le navire. Il déposait la caisse près des lits, il se fichait de la position exacte où il fallait la mettre. Il ouvrait la caisse, et pouvait y voir plusieurs épées, des arcs, des flèches en abondance... Thalès n'hésitait pas à se servir pour prendre une longue épée... Même si en lui coulait l'énergie de l'Univers, le Cosmos. Il voulait offrir à son ennemi le châtiment qu'il avait donné à son père. Il périra par la lame, dans l'agonie et la pourriture. Il ne lui fallut que peu de temps avant qu'il puisses enfin apprendre le nom de son ennemi... Déméter. Thalès passait le balais sur le pont, et un peu partout pour ne pas attirer l'attention sur lui... Mais il continuait de garder un œil sur le gouvernail et celui qui le tenait... Déméter.

- Petite nature ! De l'eau pour le capitaine !

- Oui, tout de suite... ! Disait-il, avec comme un goût d'amertume qui venait se coincer dans sa bouche.

L'opportunité de le tuer par empoissonnement se présentait mais ça serai bien trop facile. Il allait chercher un seau d'eau ainsi qu'un large bol. Après avoir plongé le bol dans l'eau et donner le tout à Déméter, son regard méprisant était plus que remarquable. Il était prévisible, et surtout très imprudent.

- Un soucis, le nouveau ?

- Non. Non, aucun souci... Capitaine. Souhaitez-vous autre chose ?

- Oui. Que tu me foutes la paix. Dégages.

Ainsi le premier face à face avait eu lieu entre les deux hommes. La tension était électrique, plus qu'intense et prenante... Thalès rebroussait chemin, il devait se montrer patient. Tôt ou tard, il allait enfin pouvoir passer à l'acte. A encore plusieurs jours avant d'arriver à Alexandrie, une tempête se levait, mettant le navire en difficulté ! C'était le moment qu'attendait Thalès depuis plus d'un mois passé sur ce bateau. Tout l'équipage l’appelait au secours, mais Thalès avait fait tomber le masque, fini le débutant. Il avait l'épée de dégainée, la plupart des hommes à bord se demandait ce qui arrivait à la petite nature. Puis il firent la découverte que ce n'était pas un de leurs marins, mais un clandestin guidée par la vengeance. Un courageux voulait attaquer Thalès, qui para le coup d'épée avant d'envoyer son poing gauche en pleine figure et d’empaler l'homme dans son épée. Sans aucune hésitation. Tout ceux qui soutenaient Déméter allaient mourir ce soir, sous cette tempête et cette pluie torrentielle. Thalès fit apparaître son aura bleutée, avant de concentrer son énergie dans ses bras. Son Cosmos entourait également sa lame, et Thalès fit un coup vertical. Il utilisait la pluie elle-même comme arme... Transformant les gouttes d'eau en un projectile tranchant.

La maîtrise de l'eau ? Il avait prit conscience de ça à ses seize ans, lorsqu'il fuit la maison de sa mère pour la première fois et qu'il n'y revint jamais. Il s'entraînait à maîtriser son Cosmos, comme tout les matins. Il voulait apprendre seul, sans personne pour le guider. Il s'apprêtait à se rafraîchir à une rivière quand l'eau se mit à trembler lorsqu'il approcha sa main. Il fit plusieurs gestes... Il ne fit bouger que des gouttelettes. Mais c'était suffisant pour lui faire prendre conscience qu'il pouvait être le maître des éléments si il devenait assez fort un fort. Alors il continua de s'entraîner encore plus durement, à renforcer son corps et son esprit, à intensifier son Cosmos ! Il fit des coups de poings devant la rivière afin de créer comme un projectile d'eau. Sans succès. Les jours passèrent, et toujours rien. C'est là qu'il avait compris son erreur... Le Cosmos. Il ne lui servait pas uniquement à se renforcer lui... Il pouvait également le ressentir partout autour de lui. Il devait se servir du Cosmos environnant à son avantage. Le Cosmos était comme un flux, qui nous pénètres et nous entoures... Gardant la galaxie en un tout unique. Il devait sentir le Cosmos autour de lui. Alors il se concentrait davantage, l'esprit calme. Son aura doublait de volume... Et il donnait le coup à une vitesse incroyable ! La cascade qui se trouvait devant lui se séparait alors en deux le temps de quelques secondes, et une grande vague fut crée par son coup.

Sur le bateau, le bain de sang vengeur continuait. Le coup porté avec la maîtrise de l'eau tua sur le coup celui qui l'avait encaissé. Thalès parait avec facilité un autre coup d'épée, le regard plein de haine à l'égard de tout le monde sur ce bateau. Les éclairs éclatèrent toutes les minutes... Comme si lorsque Thalès en assomait un, les éclairs éclataient. L'équipage entier était contre Thalès, et Déméter essayait tant bien que mal de contrôler le navire malgré la tempête dans cette nuit noire. Mais il voyait Thalès avancer de plus en plus vers lui, et le regard sur lui... Vengeur, méprisant, furieux... Il lui glaçait le sang. Thalès prit un officier par le cou, et le souleva... La victime étouffait de plus en plus... Et Thalès forçait de plus en plus jusqu'à lui faire perdre connaissance sans le tuer. Il le jeta derrière lui, et s'avançait rapidement vers un autre membre d'équipage. Il portait un coup d'épée rapide et puissant qui tranchait le bras droit de l'homme, faisant gicler des litres de sang... Du sang qui attérisait sur le visage de Thalès. Il n'en restait plus que trois. Deux officiers, et Déméter lui-même. Un des deux officiers s'avançait en courant vers Thalès, criant par peur et désespoir. Mais ce dernier paraît par son épée dans son épée, et le souleva par la suite avant de le jeter derrière lui. Thalès l'acheva en plantant son épée dans son oeil gauche, avant de le lui retirer. Il prit l’œil par le nerf optique et l'écrasa dans sa main avant de le jeter également par dessus bord. Le dernier officier s'était uriné dessus, en voyant Thalès les battre un par un, comme si il ne pouvait pas être stoppé. La pluie ne s'arrêtait pas, non, elle ne faisait que s'amplifier.

- Mais... pour...pourquoi faites-vous ça ?! Criait l'officier, tétanisé.

- Je libères le monde de votre présence putride et inutile. Vous n'êtes que des parasites grouillant sur un monde qui mérites mieux que ça. Et vous, l'équipage, vous méritez de crever pour avoir prêté allégeance à celui qui mérites des souffrances pires que la mort elle-même. Ton destin est déjà scellé, prépares toi à pourrir dans les abysses de la mer. Répondait Thalès.

Et il lui planta son épée juste à côté de sa tête, la frayeur était telle qu'il pensait être déjà mort... Mais Thalès ne faisait que jouer avec son esprit. Donner la mort était le dernier recours, ce marin pouvait encore être sauvé et ramener dans le droit chemin.

- Mais qui es-tu, nom d'un chien ?

- Comment as tu osé oublier ça... Rappelles toi Grégor, l'homme que tu as abattus de sang-froid.

- Mais qu'est-ce que ça a à voir avec toi ?!

- Ça a tout à voir !!! Criait Thalès, donnant un violent coup de poing à Déméter.

Il se déchaînait enfin sur lui, faisant pleuvoir les coups de poings. Le visage de Déméter ne tardait à s'ensanglanter, avant qu'il ne se fasse relever de force par Thalès, le tenant par le col de sa chemise.

- Je vais te saigner, Déméter.

- Mais qu'est-ce que ça a à voir avec toi, bon sang ?! Criait-il, presque en train de pleurer.

- Je suis Thalès, fils de Grégor. L'homme que tu as tué était mon père... Tu m'as privé d'une vie sans figure paternelle, tu m'as privé d'un bonheur que je ne connaîtrai jamais... C'est mon âme que tu m'as enlevé... Oui c'est mon âme que tu m'as arrachée !!

Thalès le jeta droit sur le gouvernail qui explosa en mille morceaux. A terre, Déméter reçu plusieurs coups de poings avant d'être envoyé sur le pont, par dessus la barrière de bois. Thalès ne prenait pas les escaliers, sautant du haut du poste de commande jusqu'au pont. Déméter décida de se défendre en fonçant droit sur Thalès, qui fut prit comme pour un plaquage. Il atterrit dos contre mur, et encaissa un coup de poing au visage de Déméter, puis un autre, et encore un autre. Avant de parer le dernier et de contre-attaquer avec un coup de tête dans le nez. Thalès l'envoya s'écraser contre un mat avec un coup de pied à l'abdomen, mat qui commençait alors à se fissurer peu à peu au fur et à mesure des chocs qui devinrent de plus en plus violents. Il explosera finalement lorsque Thalès fut passé à travers. Déméter voulait profiter d'un moment d'inattention pour fuir vers les barques de secours. Thalès le voyait faire.

- Tu ne m'échapperas pas, pourriture !!

Thalès courait aussi vite qu'il le pouvait pour le rattraper mais Déméter était déjà en train de descendre vers les eaux de la Méditerranée dans sa barque. Il n'y avait plus aucune barque pour le sortir de tout ce carnage ! Déméter rigolait de vive voix, tout en regardant Thalès qui était bloqué sur le navire qui tombait en ruines, s'enfonçant dans la mer. Or, Déméter n'avait pas prit en compte le Cosmos que maitrîsait Thalès... Il s'en était donc servi pour propulser la barque dans les airs, grâce à sa maîtrise de l'eau. Cette attaque était à double tranchant, car elle endommageait encore plus le navire dans lequel se trouvait Thalès. Mais désormais, Déméter était devant lui... A genoux, implorant sa pitié. Il rampait devant lui, comme une larve. Thalès le prit par le cou, et le souleva.

- Cette fois, tu es fini ! Criait-il, avant de jeter Déméter dans les airs !

Pendant que son ennemi dansait dans les airs, Thalès se concentrait ! Son Cosmos s'amplifiait, son cri était enragé ! Et il positionna ses mains comme pour une vague déferlante... De plus en plus, l'air autour de lui se déchaînait... Avant de partir très rapidement en direction de Déméter, une véritable bourrasque qui fonçait droit sur lui ! Il prit de plein fouet l'assaut cosmique de Thalès, avant que ce dernier n'utilises son dernier atout, un sabre forgé par les plus grands forgerons d'Athènes. Un sabre que Thalès avait surnommé... La Pourfendeuse du Ciel. La lame aiguisée, scintillante, appeurait le pauvre Déméter. L'aura bleutée de Thalès entourait également sa lame... Il prit une position d'attaque, avant de fendre l'air devant lui. Il laissait la puissance de son Cosmos se déchaîner une nouvelle fois, la foudre était désormais son arme! Un géant arc électrique en forme de croissant fonçait droit sur Déméter, qui fut tué sur le coup après ce dernier assaut.

C'était enfin terminé. Il voyait le cadavre fumant de Déméter, avec des arcs électriques autour de son corps le temps de quelques secondes... Il n'était plus de ce monde. C'en était terminé. Pour la première fois depuis des années, Thalès se permettait de sourire sincèrement... Sans relâche ou retenue. Or, le bateau continuait de se désintégrer. Il savait que c'était déjà trop tard pour lui. Que tout était terminé. Le déluge de vagues, la tempête, les éclairs... Tout était contre lui en ce moment. Et au même instant, son Cosmos s'intensifiait sans qu'il le veuilles ! Il vit un tourbillon sous le navire, puis il entendit une voix, sage, puissante... Intimidante.

- Cet homme sera le nouveau Légat dès son réveil. Son prédécesseur est perdu pour nous à l’heure actuelle.

Mais qu'est-ce qu'il venait d'entendre ?! Légat ?! Thalès s'enfonçait de plus en plus dans ce tourbillon qui atomisait le navire tout entier. Si il était condamné... Autant ne pas faire durer l'angoisse. Thalès se jetait droit dans le tourbillon, dans un cri de désespoir !

Cité antique sacrée d'Atlantis, Fin Juin 550

Il ne se réveilla que deux jours plus tard, tombé dans un léger coma. A son réveil, il ne vit qu'une seule chose... Une cité majestueuse, l'Océan au dessus de sa tête, et sept gigantesques piliers. A peine remit sur ses pieds, plusieurs personnes venaient l'interrompre dans sa stupéfaction. Des soldats à première vue, mais la conception de leurs armures faisaient penser à des poissons.

- Ou-est ce que je suis ?

- A Atlantis, étranger. Et tu n'as aucun droit d'être ici.

- Aucun droit ? Je devrai être mort, écrasé par un tourbillon ! A moins que... On voulait que je sois ici.

- Prépares-toi, blanc-bec !

- Hors de mon chemin !! Criait Thalès, tout en intensifiant son Cosmos devenu bien plus puissant !

Les soldats s'arrêtaient net, pour eux, ce Cosmos était similaire au Général de l'Hippocampe ! Ils n'arrêtaient pas de dire ce nom, Hippocampe, Hippocampe... Puis Liao.

- Qui-est ce Liao ?

- L'ancien Général de l'Hippocampe, devenu Légat de notre Seigneur Poséidon !

- Poséi... Attendez, vous voulez dire que...

Eh oui, il n'y croyait pas au début, mais le simple fait d'avoir énoncé le nom de Poséidon le fit revoir ses réflexions. Il était bel et bien à Atlantis, et que si il était ici, c'était dans le but de devenir un de ses valeureux Généraux. L'Hippocampe allait être son Ecaille, sans doute. Si Liao était devenu Légat, alors l'Ecaille était sans porteur. Thalès était le nouvel élu pour cet honneur et privilège.

- Dites moi, les gars... Vous pouvez me conduire là où se trouve l'Ecaille de l'Hippocampe ?

- Vous seul pouvez la trouver, car votre Cosmos sera en totale symbiose avec celle de l'Ecaille. Nous ne pouvons rien faire pour vous.

- Je vois... Merci quand même. Au fait... Moi c'est Thalès. Ravi de vous rencontrer ! Disait-il avec un sourire niaid, et le regard gentil.

Thalès se mit à courir vers la cité d'Atlantis, dans sa tête, il s'apprêtait à vivre une aventure de folie ! Il croyait avoir été englouti... Mais au contraire, il venait de voir une opportunité s'offrir à lui, la chance de servir une plus grande cause que celle de la justice locale. Avec Poséidon, il allait avoir le pouvoir de changer le monde entier !

- YAAAAHOOO ! Hurlait-il comme un demeuré, tout en courant de plus en plus vite !

Son Cosmos brûlait plus intensément... Jusqu'à ce qu'il arrive au pilier du Pacifique Nord. Il ressentait la présence de l'Ecaille, non loin... Une épreuve ? Très bien, il acceptait avec plaisir ce défi. Il ne cherchait pas comme un guignol le ferai, à tout retourner. Il utilisait son Cosmos pour le guider, jusqu'à ce qu'il arrives en face d'une petite colline, dont une lumière orangée ressortait par les fissures. Il savait ce qu'il devait faire, créer une brèche. Il essaya le coup de poing basique, mais il se fit saigner les phalanges plus qu'autre chose. Le coup de pied avec de l'élan ? Non plus, il créa plus d'ondes de chocs que de fissures sur cette roche ultra solide.

- D'accord... Très bien, puisque c'est comme ça...

Thalès se concentrait davantage ! Il laissait son Cosmos s'amplifier, et frappait ! Il vit une géante bourrasque de vent fonçer droit sur la roche, qui se fissurait grandement à l'impact de cette torpille d'air.

- MAINTENANT ! Criait-il, tout en s'élançant vers le mur de pierres, son Cosmos augmentant la force de son bras droit !

Il frappait de toutes ses forces, détruisant le mur fragilisé par sa bourrasque d'y il y a peu ! Thalès attérisait sur le ventre, quelques peu épuisé, mais il pouvait la voir maintenant. Cette armure orangée, scintillante, puissante... L’Écaille de l'Hippocampe était là, devant lui. Le Cosmos de Thalès était attiré par l'armure, jusqu'à ce que cette dernière ne viennes se coller pièce par pièce sur son corps ! La symbiose était parfaite. Lui-même n'y croyait pas... Toute cette force qui se dégageait de lui ! Et puis il avait une cape ! Une longue cape blanche qui descendait jusqu'aux chevilles ! Il regardait le Temple de Poséidon avec une telle joie ! Il avait déjà hâte de tous les rencontrer, de leurs parler ! Une vie s'était éteinte, celle de Thalès, jeune homme au cœur vengeur, justicier extrême. Puis une nouvelle s'était manifestée... Celle de Thalès, nouveau Général de l'Hippocampe, la relève de Liao, désormais puissant Légat de Poséidon. Que la fête commence !

Et vous, qui êtes vous ?

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Code:: [b]Devil May Cry[/b] → [i]Vergil[/i] est [b]Thalès[/b].

Quelle est votre expérience des forums RP :

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Thalès

La suite de son histoire

Si l'histoire de votre personnage est trop longue pour tenir sur un seul post, vous pouvez la continuez ici.

Bienvenue à toi!

Très bon choix de camp, je ne peux qu'en attester haha. L'Hippo, c'est la classe! Razz

(et beau vava, et.../SBAF °°)

Bref, bon courage pour le reste de cette prez et au plaisir de faire ce rp qu'on repousse déjà depuis 1 an. Wink

J'ai déjà hâte, vois-tu ! What a Face

Merci Arianou ! :3

J'ai enfin le plaisir de dire que ma fiche est terminée ! Very Happy

Alors alors, voyons voir ce qu'avons nous là...

Mon petit Thalès, nous avons longuement échangé toi et moi sur cette présentation, et je te remercie d'avoir modifié comme demandé l'ensemble de toute la deuxième partie de ta présentation, qui soit dit en passant et beaucoup mieux. Il y a encore quelques erreurs dans la tournure des phrases et tout, mais rien de bien méchant cela dit. Je te donne donc 18 PC et 5 points d'Eveil.

Je te souhaite bon jeu parmi nous et au plaisir de se croiser en rp!

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