Une petite pression sur l’épaule, de quelque chose qui s’y pose. Il vit cet homme qu’il n’avait pas encore remarqué mais qui venait d’arriver. Offrir le gant ? Décidément il n’avait jamais été familier avec l’étiquette dans ce monde. Et puis ce n’était le principal sujet de son éducation assez tardive par rapport à une personne instruite depuis son plus jeune âge.
Non pas vraiment Messire, j’ai bien aperçu une connaissance que j’ai vu il y a longtemps, mais je ne pense pas qu’elle m’a vu pour le moment, enfin ce n’est pas grave j’irai lui parler peut-être plus tard. Oui j’observais, je n’ai jamais appris aucune de ces danses, je n’ai pas trop envie de ridiculiser ma faction par mon incapacité à les reproduire.
Il voyait un homme arriver pour le servir avec du vin, et son verre n’était pas encore tout à fait vide, Akir se posa en son for intérieur la question : *Comment faire parler encore plus une personne bavarde ?* Il connaissait la réponse car elle était sous ses yeux, il avait pu agacer tant de Berzerkers par ses palabres incessantes, là on essaye de les exploiter pour sans doute sous-titrer des informations précieuses sur les guerrier d’Arès, tant mieux il ne savait pas grand-chose de toute façon, du moins il le pensait.
L’homme était amical, mais il fallait rester prudent. Et effectivement cette réception qui était l’œuvre d’un certain seigneur Léodagan était assurément une grande réussite.
En effet messire le Seigneur Léodagan à fait les choses en grand. Et je suis surpris ce tout ce petit monde, même s’il y a des groupes qui se forment on l’air de coexister alors qu’il existe beaucoup d’inimités entre certaines factions. Mais je suppose que je ne vous apprends rien.
Il bu une petite gorgée de son vin, même si pour les Berzerkers et les Saints il le savait, et c’était assez évident depuis la guerre. Mais pour le reste il n’avait aucune idée des relations entre les différentes factions, enfin peut-être une autre, mais c’était tout.
Mon nom est Akir, et vous-même Messire ?