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 Dardanos - Capitaine de l'Atlantique Sud, marina d'Antée

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DardanosDardanosArmure :
Sirène Maléfique
Message Dardanos - Capitaine de l'Atlantique Sud, marina d'Antée   Dardanos - Capitaine de l'Atlantique Sud, marina d'Antée EmptySam 30 Mai - 3:48
Pseudo
Qui est-il ?


    Nom : Dardanos Bjornaer.
    Date de naissance : 15 septembre 527.
    Âge : 26 ans.
    Sexe : Masculin.
    Armure demandée : Marina d'Antée.


Comment est-il ?

    Apparence et Psychologie :

    Tous veulent savoir à quoi je ressemble ? Mais pourquoi ? Simplement pour ne pas croiser ma route, pour beaucoup : parce qu’ils me doivent quelque chose, pour les autres et surtout, pour ne pas avoir à faire face à la rage des Bjornaer. Certains aussi, car ils rêveraient de voir leurs poings arriver dans ma gueule ou une lame dans mes côtes. Je les comprends. Je les attends. À toi de voir à quelle catégorie tu appartiens et surtout, pourquoi tu cherches à en savoir tant sur moi. Pour répondre à tes questions, bien, je suis un homme d’une taille respectable. Je mesure presque un mètre soixante-quinze. Une bonne taille pour un capitaine. Le reste, je ne suis pas très gros, plutôt sec et musclé. La mer a le don de marquer les hommes. Bref, tu l’auras compris, j’ai le corps de quelqu’un qui s’entretient, et surtout, qui sait se battre.

    Mais ce genre de description peut correspondre à bien des gens. Peut-être que je ne me rends pas justice, mais ça sera à toi de voir si tu finis par me croiser. Pour le reste, j’ai les cheveux noirs, aile de corbeau, presque bleuté. Je les ramène en arrière sur mon front pour les laisser couler dans mon dos sans qu’il ne me tombe dans les yeux. Des yeux d’ailleurs, qui sont à l’image d’une certaine façon de la couleur de mes cheveux. D’un bleu moins sombre mais intense. Des yeux qui sont témoins des horreurs que j’ai vues et qui m’habitent toujours. Je porte aussi une barbe de quelques jours qui ronge mes joues, mon menton et le dessus de ma bouche. Voilà, tu devrais avoir une meilleure idée d’à quoi je ressemble maintenant. Mais tu veux plus de détails ? Tu ne dois vraiment pas avoir envie de me croiser.

    Qu’est-ce que je pourrais te dire d’autres ? Eh bien, mettre mon écaille n’est pas forcément une sinécure pour moi. D’ailleurs, au moment où tu me poses la question, je n’en ai plus alors… Alors tu fais attention aux détails sur mes bras. Je m’habille souvent en pensant d’abord aux pratiques plutôt qu’à l’esthétique. Des habitudes prises en voyage. Les manches sont bien souvent une gêne alors je n’en porte pas. Par contre, j'ai des bracelets fini de chaînes sur les poignets. Pratique pour frapper les connards qui ne veulent pas payer et se rattraper au vol pendant une chute lors d’une tempête. Le reste, tu verras que je porte un collier similaire autour du cou, souvenir de famille, relique d’un temps oublié et des morts que j’ai enterrés. Pour les vêtements… jadis j’étais vêtu comme un riche perroquet, bigarré et idiot. Maintenant, comme je t’ai dit, je vais au pratique. Des vêtements qui peuvent durer longtemps, résister aux éléments. Au vent, au sel, à la mer surtout. Au final, nous sommes des marins et trop l’ont oublié.

    Tu entendras surtout ma voix avant de me voir. Une voix forte, très grave. Une voix de général, de capitaine je préfère. J’ai rendu mes armes et mes étoiles. Je suis juste le capitaine de mon navire maintenant, du moins… j’aimerais n’être que ça.

    Tu m’as eu, maintenant, j’ai envie de parler et je n’ai même pas eu à me gaver de vin pour raconter une histoire. J’aime ça, les histoires. Du moins, j’ai appris à aimer ça. À mettre en scène les récits et les raconter à un auditoire. Capter les réactions des gens et les amener où je veux dans mon récit. Bien sûr, ces récits sont des mensonges, les gens ne veulent pas de la vérité. Pour plusieurs raisons, d’abord, parce qu’elle est laide. La vérité c’est la violence des guerres, la douleur de la mort. Des expériences que j’ai vécues trop profondément dans ma chair lors de nos anciennes défaites. Alors je connais la laideur de la vérité et j’en ai assez. Vraiment. Je ne peux plus de la violence, de la haine et du conflit. Oh, je t’arrête de suite. Casser la gueule d’un connard irrespectueux ou d’un mauvais payeur, c’est un devoir citoyen. Aller massacrer des femmes et des enfants chez eux… c’est autre chose !

    L’autre chose sur la vérité, c’est qu’on cherche finalement à lui ressembler, qu’importe la façon dont on l’a tordue. J’ai raconté à mes hommes si souvent comment ils avaient été héroïques, qu’ils ont fini par me croire et surpasser même la légende que je fais d’eux dans mes récits. C’est un peu ça finalement, celui que je suis. Un homme vieilli avant l’âge, qui en a soupé du sang et de la guerre. Mais un homme qui a cru ses propres mensonges et qui veut faire en sorte que d’autres ne deviennent pas vieux avant d’avoir leurs premiers cheveux blancs… Un con, tu aurais raison et c’est la première fois que je te laisserai me parler comme ça sans t’écraser le poing dans le nez. Oui, je suis con de faire ça. J’en ai eu assez de ce monde et il en a eu assez de moi. On ne peut pas étouffer les fantômes comme on cache la poussière sous le tapis et il faut savoir parfois y faire face. J’ai fui assez longtemps les ombres de mon passé pour finalement maintenant être capable d’y faire face. Heureux ? Non. On ne peut pas être heureux dans notre monde. Nous sommes des animaux, violent par nature. Soumis à nos passions, nos pulsions. Soumis à la guerre et aux ordres. Soumis aux dieux et à leur violence. Soumis à tout, libre de rien. C’est pour fuir ça que j’ai voyagé, mais finalement, il est temps que ce collier autour de mon cou reprenne sa véritable signification.

    Et peut-être, comme un idiot, je ferais une différence. Dans un monde où tous nous avons le sang rouge. Les Vulgaires, les patriciens et la plèbe… Ça n’a plus de sens, si ça en a jamais eu. C’est le résultat d’un système qui va mourir. Son agonie est juste lente et terrible. Mais qu’est-ce qu’on connaît d’autres ? J’aime les miens, je révère mon Dieu et mon sang, mais, est-ce que cette révérence est due ? Je ne crois pas qu’elle ne soit jamais due. Ce n’est jamais le cas avec le respect, il se gagne, il ne se mérite pas. J’en ai longtemps fait ma devise et j’essaie de vivre par cette dernière. C’est compliqué, c’est peut-être aussi pour ça que je suis revenu ici, après tout ce temps, après tout ce sang. Oui, peut-être… peut-être que je suis revenu ici pour mourir. Mourir ici plutôt que nulle part ? Je ne sais pas, je me pose toujours la question : pourquoi est-ce que je suis vraiment revenu ? Pour égaler ma légende de mensonge…


Son Histoire

    L'histoire de votre personnage :

    Bon, le prochain qui me coupe et qui dit que j’ai déjà raconté cette histoire, je lui coupe les couilles et je lui en fais des boucles d’oreilles ? Vu ! Bien, vous voyez quand vous voulez vous pouvez ! Je me souviens plus ce que je racontais du coup ! Bravo ! Bon, je vais recommencer une nouvelle histoire. Je vais vous raconter celle d’un héros oublié. D’un héros de la cité des flots, qui a connu la gloire, la mort et le désespoir. Un héros qui s’est perdu et qui cherche à retrouver son chemin. Un héros ne se perd vraiment jamais vous allez me dire . C’est ce qui fait que ce sont des héros. Vous aurez raison. Mais il y a deux types de héros, ceux qui le deviennent et ceux qui le sont. Nous parlons là de la première catégorie. Vous savez aussi bien que moi qu’il est particulièrement difficile de devenir un héros. Mais dans ces cas-là, le héros ne reste qu’un homme et il peut échouer ! Souvenez-vous d’Orion ! Le chasseur qui est mort. Souvenez-vous de Jason ! Souvenez-vous de tous les héros qui sont morts.

    Comme tous les héros, celui de notre histoire mes amis est bien né. Sauf que celui-là le sait. Il ne passera pas du temps à chercher son père et ses origines. Sa quête sera toute autre ! Il est né dans une famille où il ne manquât jamais de rien. On pourrait même dire qu’il avait même beaucoup trop ! C’est un passage qui n’est pas vraiment intéressant pour le bien de notre histoire. Alors nous le passerons. L’enfance est le terreau de la vie mais à quoi bon regarder les plantes pousser . Vous n’êtes pas là pour ça non . Notre héros, d’ailleurs, c’est la seule façon dont nous l’appellerons ici . Pourquoi ? Eh bien, je n’ai pas envie de me faire noyer par les flots sur le champ pardi ! Son nom est un mystère, perdu dans les flots, caché là-bas par Poséidon en personne ! Me pensez-vous assez idiot pour défier la volonté de notre maître à tous ? Jamais ! Alors notre héros il sera, du moins pour ce soir.

    Comme à tout héros, la vie sourit. C’est peut-être ça au final, la différence entre les héros et nous . La chance ? Nous nous n’en avons pas beaucoup, coincez là avec vous ! Bon bon, d’accord, ça pourrait être pire ! Ce héros avait tout ce dont rêve un jeune homme. Du pouvoir, de l’argent, la force, l’amour et les combats. Il a été éduqué pour être un meneur, un guerrier. Et il s’est montré particulièrement doué pour ça. Il a rapidement réussi à maîtriser l’essence de l’âme de l’univers. Ce cosmos qui nous aide et nous habite. C’est un héros, mais un héros voleur et l’essence même de son cosmos c’est de s’accaparer ce qui ne lui appartient pas. De vampiriser ceux qu’il frappe, comme la sirène dont il sera le héraut. Peut-être que vous avez entendu parler d’eux . Les fiers généraux des armées de la mer ?

    Oh oui ! J’en déduis à vos cries que vous savez de qui je parle ! Eh bien, notre héros au nom perdu dans les flots a été de ceux-là. Et il a porté l’orichalque peu de temps. Vous savez, la vie des héros n’est jamais linéaire, elle est faites de haut et de bas. Alors laissons notre histoire grimper. Héraut de la Sirène, guerrier de Poséidon, fils d’une très bonne famille et surtout, époux et jeune père. Que demander de plus . Pas grand-chose. Vraiment pas grand-chose. Oh, au départ, le mariage dont il est question ici n’était qu’une simple alliance politique, mais parfois, sur les tas de merde poussent quelques fleurs. C’est ce qui s’est passé pour cette histoire. Leur histoire a donné des fleurs et ils se sont aimés. Ils ont eu un enfant. Un petit garçon, un fils ! Voyez, il est difficile maintenant pour notre héros d’avoir plus de bienfait que ça ! Peut-être une deuxième femme ? Mais quand on est amoureux, on n'a pas le sens des priorités ! Je vois par contre, à vos rires gras, que vous, vous ne l’avez pas perdu !

    Mais une bonne histoire, n’est pas une bonne histoire sans un bon méchant et c’est là que l’aventure du héros va commencer. L’orichalque, aussi précieux et fort qu’il ne soit, ne résiste pas forcément longtemps contre l’or. Et c’est ce qui s’est passé ici. Fut une époque pas si lointaine que ça où notre Dieu bien-aimé avait perdu une grande bataille et dans cette baille, notre héros perdit plus encore que le dieu. Oh, il était général, alors il fut en première ligne. Et il fut aussi de ceux qui furent battus. Défait par l’or de la sagesse. Et avec l’or de la sagesse suit toujours la violence de la guerre et cette guerre-là fut sale. Le Sanctuaire sous-marin, ce lieu de légende, qui existe bel et bien je vous l’assure, fût détruit ! Et dans les combats, bien des gens trouvèrent la mort… Je vois sur le visage de certains d’entre vous que vous avez y compris. Oui, parmi les morts : on trouva la femme et l’enfant de notre héros. Peut-être que vous avez déjà vécu ce genre de chose, la perte de vos fondations. C’est ce qui arriva à notre héros. Son corps, son esprit et sa volonté furent détruits ! Vraiment ? Mais savez-vous ce que font les héros à ce moment ? Oui, ils se battent encore plus ou… ceux qui ne sont pas encore des héros le deviennent ! Mais notre héros lui, choisit la fuite. Oh non, pas la fuite du lâche, mais il comprit plus tard qu’il avait fui.

    Notre général, dévasté, rendit les armes et son écaille. Rendit son commandement et ses responsabilités. Pour se concentrer uniquement sur son sang. Après tout maintenant, de patricien important, il était devenu vraiment très important. Alors il alla au Sénat pour faire de la politique. Mais la politique, ce n’est pas l’art des héros. Et notre héros qui n’en est pas encore un ne pouvait plus voir son palais, sa maison, maintenant vide son amour et de son futur. Alors il se porta volontaire pour une mission secrète et périlleuse pour les siens. Une mission qui avait besoin de quelqu’un possédant ses capacités pour en venir à bout. Notre pays avait besoin d’armes et de ressources. Les métaux nécessaires à la fonte de l’orichalque ! Voilà l’objectif que devait poursuivre notre héros au nom du Sénat. Et pour ça, il fallait prendre la mer et c’est qu’il choisit de faire. Il quitta tout ce qui lui restait, ses fantômes et ses ombres, pour voyager. Et il voyagea longtemps. C’est durant ses voyages que Poséidon, triste de voir son fils partir, cacha son nom au fond de l’océan pour être sûr qu’il lui revienne un jour. Les dieux leur font les pires saloperies, mais ils aiment leur héros au fond.

    Et les voyages, c’est là que se forment les héros justement. Le jeune coq à l'âme brisée a appris plus qu’il ne l’aurait fait dans ses palais, entourés de ses richesses et ses serviteurs. Le héros, c’est ouvert au monde et il a compris à quel point le sien va mal. Il n’est pas assez naïf pour penser que c’est pour ça que le révéré des flots l’a envoyé ainsi de par les vastes océans. Mais il cherche son but, sa place dans les rouages de la vie. C’est le rôle du héros après tout, d’être là quand on a besoin de lui. Mais est-ce qu’on a vraiment besoin de lui ? C’est une question qu’il s’est longtemps posé et il n’y a toujours pas trouvé de réponses, malgré six années à arpenter les mers du monde. Et il en a vu du pays, des continents inexplorés aux longues étendues de glaces.

    Le monde est vaste. Les mers bien plus. Les nuits y sont longues et mystérieuses, perdues au milieu de rien. Les journées sont longues, rythmées par les vagues et les vents. On apprend à vivre et à supporter les autres. C’est peut-être de ça dont avait besoin notre héros, après avoir perdu femme et enfant. Du moins, ça lui a appris des choses, tous les héros ont besoin de leur quête initiatique. Mais ça serait trop long de tout vous raconter ce soir. Et vous voulez savoir la fin de cette histoire non . Histoire que puissiez retourner picoler en paix ! Alors… comment finir cette histoire ! Oui, simplement. Tout bon héros se doit de finir son histoire après un combat.

    Oh, notre héros continue donc sa mission, voilà maintenant presque six ans qu’il a quitté son monde et les siens. Six ans qu’il a changé de vie et soudain… lui qui n’avait pas dû se battre vraiment depuis si longtemps, il perdit une nouvelle fois beaucoup. Il avait des amis sur son bateau, des gens qui ont quitté l’île des flots avec lui et qui ne la reverront jamais. Tué par une force inconnu, violente et brutale. Une force de sang utilisant vie et sacrifice. Mais il a fait face. Il a croisé le fer et les chaînes avec cette entité. Avec ce guerrier servant une cause qu’il n’a reconnu que trop tard. Il en avait entendu parler par des légendes oubliées et ne pensait qu’il n’aurait jamais à faire face à ces mythes perdus. Ces cauchemars enfouis au plus profonde de l’abîme. Il a dû faire face et il a gagné. La tête de l’homme qui s’est présenté à lui a roulé. Il a su à ce moment, qu’il était temps pour lui de rentrer. De rentrer chez lui et de revoir son monde. Il avait trouvé de quoi aider son île mais un héros ne revient pas les mains vite. Bon, je suis fatigué et j’ai soif maintenant, alors buvons, profitons de cette halte avant d’arriver. Buvons mes amis, à la fin de notre voyage. À Alexandrie !

    Mon bon ami Argurios, j’espère que tu ne viens pas les mains vides avec cette tête-là. Bien, buvons avant que tu ne poses la question que je devine déjà. Oui, tu veux savoir pourquoi je n’ai pas dit que je suis le héros de l’histoire, que mon nom n’est pas scellé et que le reste, n’est qu’une version poétique de mes années d’errance que je me suis imposé à moi-même au prétexte du Sénat ? Parce qu’ils ont besoin de croire en quelque chose. Moi aussi, je veux croire que je suis cet homme et que j’ai un but dans ma vie. Même si je dois encore le trouver. Je dois croire que je ne vais pas les abandonner pour rien à Alexandrie pour qu’ils ne connaissent pas le sort des Vulgaires. J’aime ce monde autant qu’il me dégoûte et j’y ai ma place autant que j’y suis étranger. Mais d’abord, je dois aller voir le Sénat, me faire transférer dans les griffes de l’amirauté. Si je peux toujours porter une écaille. Je sais que ma vieille protection a déjà trouvé un nouveau maître, j’espère pour. L’avantage des armures, c’est qu’elles savent aller de l’avant. Contrairement à nous qui ne voyons que les ombres… Peut-être que je pourrais servir et combattre de nouveau. Mais je ne sais pas vraiment si c’est ma place. Je cherche mon rôle dans l’ordre des choses. Mais il le faut, après ce que j’ai croisé… Je n’ai plus le luxe du choix et de l’apitoiement. J’espère au moins que mon cadeau plaira au légat !


Et vous, qui êtes vous ?

    Age : OK Boomer
    Avatar : Le nom du personnage de votre avatar, présenté de cette manière :
    Code:
    [b]LEAGUE OF LEGENDS[/b] → [i]Sylas[/i] est [b]Dardanos[/b].
    Quelle est votre expérience des forums RP : Y'a pas de bonnes ou de mauvaises situations rp, la vie, c'est avant tout des drama, des gens qui vous mettent dans la merde à des moments où ça vous amuse...
    Comment avez-vous connu le forum : Oh, il se peut que je connaisse particulièrement bien le staff. Genre vraiment bien et que bon, j'ai eu envie de passer le cap et de me mouiller !

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DardanosDardanosArmure :
Sirène Maléfique
Message Re: Dardanos - Capitaine de l'Atlantique Sud, marina d'Antée   Dardanos - Capitaine de l'Atlantique Sud, marina d'Antée EmptyDim 31 Mai - 15:04
C'est terminé °°
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OrpheusOrpheusArmure :
Légat

Statistiques
HP:
Dardanos - Capitaine de l'Atlantique Sud, marina d'Antée G-bleu1350/1350Dardanos - Capitaine de l'Atlantique Sud, marina d'Antée V-bleu  (1350/1350)
CP:
Dardanos - Capitaine de l'Atlantique Sud, marina d'Antée G-rouge900/900Dardanos - Capitaine de l'Atlantique Sud, marina d'Antée V-rouge  (900/900)
CC:
Dardanos - Capitaine de l'Atlantique Sud, marina d'Antée G-jaune1350/1350Dardanos - Capitaine de l'Atlantique Sud, marina d'Antée V-jaune  (1350/1350)
Message Re: Dardanos - Capitaine de l'Atlantique Sud, marina d'Antée   Dardanos - Capitaine de l'Atlantique Sud, marina d'Antée EmptyDim 31 Mai - 19:15
Je te valide niveau 5 d'éveil pour le titre de Marina d'Antée, très cher Capitaine du "Dardargnan" ! Tu possèdes donc 21 PC et 500 points d'XP liés à ton éveil pour ta Fiche Technique.

Prépare toi, ancien Général, car ton Légat a hâte de voir ton cadeau. J'ai apprécié la manière d'amener l'histoire, ça change.
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